ORION, UNE CONSTELLATION MYSTÉRIEUSE!

Dans la mythologie grecque, Orion désigne un Géant, chasseur, qui clamait pouvoir tuer n’importe quel animal.  Pourtant, selon la légende, il fut tué par le Scorpion.  Les Sumériens voyaient un mouton dans la constellation d’Orion. Les Égyptiens, qui l’appelaient «Sah», la considéraient comme une offrande à Osiris, dieu de la mort et de l’Outre-monde.  Pour les Chinois, culturellement, il a toujours représenté l’une des 28 constellations de leur zodiaque.  Enfin pour les Mayas, il faisait image d’un dieu.

Mais c’est la mythologie grecque qui en raconte le mieux l’histoire.  Selon la légende grecque, un jour, Zeus, en voyage sur la Terre, demanda l’hospitalité à un paysan du nom d’Hyrieus, un vieillard qui le reçoit de son mieux en lui sacrifiant son unique bœuf. Pendant le séjour du grand dieu, tout en le servant de son mieux, il lui raconta ses problèmes.  Ainsi, il évoqua qu’il était devenu veuf avorionant d’engendrer un enfant et qu’il avait promis à sa femme, avant la mort de celle-ci, de ne jamais se remarier.  Touché par ce récit, le clément Jupiter, profondément touché, décida de lui accorder une faveur.  Il lui suggéra d’enterrer la peau du bœuf qu’il avait immolé pendant neuf mois.

Au bout de ce délai, naquit un enfant d’une grande beauté, mais d’une grande violence, qu’Hyrieus appela Orion et qu’il entreprit d’élever.  Mais, en l’absence d’une femme pour adoucir sa matière brute, ce genre d’enfant, qui avait reçu une grande vitalité dans ses gènes, ne put que se démontrer assez instinctif et sauvage.  Il se démontra une vraie brute primitive, comme une bête fauve, vivant de chasse et de rapines.  Comme le scorpion, issu  des entrailles de la Terre, le jeune homme se démontra rusé, méfiant, indépendant, n’obéissant qu’à la loi de ses désirs.  Par bonheur, le scorpion allait le ramener à l’équilibre et à la Lumière.

C’est ainsi que, un jour qu’il avait été Invité chez un ami, il attaqua la femme de ce dernier, la belle Mérope. Naturellement, le mari, furieux, décida de se venger.  Il servit des boissons à Orion jusqu’à l’enivrer complètement, ce qui lui permit de lui crever les yeux.  On retrouve donc Orion aveugle, tâtonnant dans l’obscurité pour trouver son chemin.   Il fit ainsi l’expérience de la vie du scorpion, cet être des ténèbres accoutumé aux voyages dans la nuit, mais lui, c’était pour expier ses fautes.  Au gré de ses errances, il rencontra un rebouteux qui lui conseille de tourner son visage vers le Soleil levant, doté d’une lumière curative. Voilà comment la déesse Aurore l’aperçut et s’éprit d’un amour éperdu pour lui, ce qui l’amena à lui rendre la vue.  Hélas, à ce qu’il paraît, le scorpion aurait une très bonne mémoire et il n’oublierait jamais une injure.  Aussi, à peine Orion eut-il recouvré la vue qu’il ne cessa de retrouver le mari de Mérope, toujours désireux de se venger.

Alors qu’Orion poursuivait sa route, il fit la rencontre de sa vie : la divine Artémis, déesse de la chasse.  Il en devint follement amoureux et, aiguillonné par sa passion, il commit de nouveau l’irréparable : il tenta de la violer, presque en lui déchirant son voile.  Mais le pauvre ne savait pas à qui il s’était mesuré.  Ainsi, Artémis, la fière et puissante dame, se fâcha et, pour se débarrasser de son agresseur, frappa le sol d’une colline, qui s’entrouvrit.  Il en émergea un animal de mort : le scorpion.  La dite bête poursuivit Orion et le piqua à mort.  Mais le scorpion ne détruit jamais pour annihiler, il  agit pour produire une reconstruction.  Lui-même ne peut-il pas s’immoler pour revivre?  Bien sûr, la belle Artémis finit par regretter son mouvement de vengeance et elle demande à Zeus d’installer Orion parmi les étoiles où il pourrait continuer à se livrer à ses chasses.  C’est ainsi que ce géant est devenu une constellation, à la manière du scorpion qui s’était réfugié parmi les étoiles après son expédition punitive.

La légende ne précise pas comment le scorpion, encore insecte, avait été mis en relation avec la constellation et avec l’automne. Mais l’explication, qui remonte à la nuit des temps, reste une part des intuitions collectives du peuple, ce qui a permis à la légende de traverser les siècles pour accompagner l’humanité.  Dans la voûte céleste, le Scorpion fut placé à l’opposé d’Orion, de sorte qu’ils ne soient jamais au-dessus de l’horizon en même temps. Auriez-vous pensé d’associer le Scorpion à l’automne?  Comme quoi le mythe d’Orion traduit poétiquement une forte réaction de l’inconscient collectif en face de l’animal : peur de la douleur, peur de la mort qu’il peut produire, effet de surprise d’une attaque sauvage (car nul ne le voit pas venir puisqu’il surgit des entrailles de la Terre, sortant de dessous les pierres.

C’est ainsi que, à l’origine, selon la mythologie, Orion n’est rien d’autre qu’un chasseur.  On le décrit allégoriquement comme si grand qu’il pouvait marcher au fond de la mer tout en gardant la tête et les épaules hors de l’eau (ce qui en fait un membre de la confrérie des géants).  Comme on a pu le voir, de nature dualiste et primitive, peu à peu, il a pu retourner à la Pure Lumière pour fusionner avec elle.  Dès ce moment, un amas d’étoiles exprima son retour à la Lumière.  Certains croient que c’est un Éon qui se serait occupé d’organiser cette constellation.  Quoi qu’il en soi on lui a attribué son nom.  Au départ, Orion n’était rien d’autre qu’un géant, un chasseur primitif, beau et violent.  Dès sa naissance, ce héros subit l’aveuglement à cause de son amour pulsionnel.   Autrement dit, il n’allait pas découvrir son aspect royal, inné en lui, et en recevoir l’héritage, la noblesse du cœur, tant qu’il se montrait imparfait.  C’est ainsi que, à prime abord, Orion ne pouvait qu’ignorer son lignage noble, ce qui lui imposa de descendre dans sa grotte intérieure, pour percevoir sa part d’ombre et la transmuter.  C’est ainsi que, guidé par le soleil spirituel, il traversa l’eau (les émotions) et il accéda au feu des Mages, a travers Héphaïstos, l’incarnation du savoir alchimique, qui lui restitua son état d’innocence (symbolisé par Caladion posé sur c’est épaule). Ainsi, il redevient le porteur de sa lumière, grâce a la magie (soit aux sciences de la sagesse), retrouvant son état de virginité (symbolisée par la chasseresse Artémis, image de la lune vierge) qui le fit tuer par le scorpion, l’amenant à mourir pour renaitre pleinement à la connaissance.  Car, grâce à un contrepoison alchimique, contenu dans le poison du Scorpion (symbole du feu de la sexualité, élément de mort et renaissance), il retrouva la vie.  Le Scorpion choisit alors de l’initier jusqu’au seuil de sa vie d’adulte (âge du discernement spirituel).  Dès lors, grâce au Dieu des dieux, il prit sa place dans le ciel, devenant la constellation d’Orion.

Au beau milieu du ciel, on peut apercevoir cette magnifique constellation, qui fait partie des rares agglomérations stellaires immédiatement reconnaissables par leur forme.  En effet, ses sept étoiles les plus brillantes forment un nœud papillon (ou un sablier) facilement identifiable : quatre étoiles très brillantes forment un rectangle caractéristique au milieu duquel se trouve un alignement de trois autres étoiles qui constituent une signature remarquable.  On nomme ces trois dernières étoiles de la ceinture, les plus remarquables, par leur alignement à l’œil nu: Alnitak (zéta d’Orion), Mintaka (delta d’Orion) et Alnilam (epsilon d’Orion).  Ces trois étoiles formant le Baudrier d’Orion, aussi appelé «les Trois Rois», ces entités qui, selon la tradition populaire, représentent les Trois Rois Mages qui auraient rendu visite à la Sainte Famille après la naissance de Jésus, afin de lui offrir, outre leur adoration, de l’or, de l’encens et de la myrrhe.

Juste en dessous de ces étoiles se trouve la nébuleuse d’Orion, appelé M42, ou encore Messier 42. Cet agrégat est visible à l’œil nu, bien que, aux jumelles, le spectacle soit encore plus beau. Deux essaims lui sont attribués : les Orionides,  un essaim actif du 2 octobre au 7 novembre, et les chi-Orionides, l’autre essaim actif du 26 novembre au 15 décembre. L’objet céleste le plus spectaculaire de la constellation est la nébuleuse d’Orion (M42).  Visible à l’œil nu (sa magnitude atteint 4,0), il est possible de distinguer qu’il ne s’agit pas d’une étoile.  Avec des jumelles, on perçoit très clairement les beaux nuages de jeunes étoiles, de gaz lumineux et de poussières de cette nébuleuse en émission et par réflexion.

À  proprement parler, Orion représente la superposition de trois formes assez indépendantes.  Le corps d’Orion est facilement visible puisqu’il est marqué par les quatre étoiles brillantes qui sont (dans le sens dextrogyre) Rigel (β Ori), Saïph (κ Ori), Bételgueuse (α Ori) et Bellatrix (γ Ori).  Pour les profanes, les signes étrangers qui accompagnent un nom propre désignent une lettre grecque identifiant, par un code astronomique, l’une ou l’autre des étoiles de ladite constellation, à défaut de leur avoir trouvé un nom plus littéraire.  Les deux plus brillantes, Rigel et Bételgueuse, occupent respectivement les coins sud-est et nord-ouest.  Ces deux étoiles sont nettement colorées : Bételgueuse apparaît rouge, et Rigel, bleue.  Au centre du corps, trois étoiles (δ à l’ouest, ε au centre et ζ à l’est) forment un astérisme immédiatement reconnaissable puisque triplement remarquable : les étoiles sont quasi parfaitement alignées et équidistantes avec une erreur de 3 % par rapport aux dimensions de l’astérisme (ε se trouve à seulement 5′ du milieu du segment δ-ζ, distantes de 2,73°) ; en outre, leurs magnitudes sont assez voisines (respectivement 2,2, 1,7 et 1,8).  Sous l’alignement des trois étoiles centrales, en ligne droite (Alnitak ou ζ Ori, Mintaka ou δ Ori et Alnilam ou ε Ori, formant la «ceinture» ou le «baudrier», un autre alignement nord-sud, plus faible, marque l’«épée» d’Orion, qui se termine sur ι Ori.  Il s’agit de Saïph, l’une des quatre étoiles formant le quadrilatère enfermant les trois étoiles principales de la constellation..  Un demi-degré au nord de ι Ori, on trouve θ Ori, autour de laquelle est centrée la fameuse nébuleuse d’Orion, faiblement visible à l’œil nu, par de bonnes conditions.  Rattaché au «corps», la «tête» d’Orion est formée par un faible triangle d’étoiles en formation serrée, λ (au nord), φ1 (à l’ouest) et φ2 (à l’est).

Pour sa part, l’«arc» d’Orion est assez facile à tracer, si les conditions sont satisfaisantes (mag 4). C’est un chapelet d’étoiles dont la plus visible (π3 Ori) est sensiblement dans l’axe Bételgueuse-Bellatrix, à une dizaine de degrés plus à l’ouest. π1, π², π³, π4, π5 et π6 Orionis ne forment pas un système multiple, mais sont disposées plus ou moins selon une ligne nord-sud, à l’ouest d’Orion.  Partant de cette étoile π3 Ori, qui marque la main tenant l’arc, on repère un petit alignement vers le sud, entre π4 et π5, 5° plus au sud.  π6 est située deux degrés plus au SE, et marque la fin de la courbure sud de l’arc. Côté nord, l’alignement est moins évident.  On rencontre successivement π2 et π1, en arc de cercle à intervalle de 2°; et 3° plus au nord, ο2 Ori, à 5° au sud-est d’Aldéboran du Taureau.

Quant à ce qu’on nomme la «massue» d’Orion, elle est beaucoup moins visible, ce qui la rend plus difficile à tracer (d’autant plus qu’elle reste sans grand intérêt).  Elle se situe au pied des Gémeaux, son extrémité formant un petit alignement vers ζ Tau, le nez du Taureau.

La constellation d’Orion est très utile pour déterminer la position d’autres étoiles. En prolongeant la ligne de la Ceinture au sud-ouest, on trouve Sirius (α Canis Majoris ou Grand Chien) ; au nord-est, on trouve Aldébaran (α Tauri). Une ligne vers l’est à travers Bételgueuse et Bellatrix indique la direction de Procyon (α Canis Minoris ou Petit Chien). Une ligne partant de Rigel, à travers Bételgueuse, indique Castor et Pollux (α et β Geminorum).

Bételgueuse (α Orionis) est l’un des sommets de l’astérisme du Triangle d’hiver, avec Sirius (α CMa) et Procyon (α CMi).  C’est l’une des étoiles les plus importantes de la constellation d’Orion, placée à l’épaule droite d’Orion, une super-géante rouge.  Comme elle est 630 fois plus grande que le Soleil et 14 fois plus massive, elle s’étendrait au-delà de l’orbite de Mars si elle occupait sa place.  C’est l’une des étoiles les plus larges que l’on connaisse et, malgré sa distance (environ 430 années-lumière), elle est la seule (mis à part le Soleil, bien sûr) dont le disque a été photographié par le télescope spatial Hubble. On a découvert que sa chromosphère est immense et pourrait s’étendre, selon les dernières études, sur 150 ua.  À titre de comparaison, Pluton ne s’éloigne jamais à plus de 50 ua du Soleil.  Il s’agit également de la neuvième étoile la plus brillante du ciel.  Bételgueuse, dont la magnitude oscille entre 0,4 et 0,9 sur une période de 2 070 jours, est légèrement variable, ce qui est prévisible compte tenu de sa taille. La possibilité que cette étoile soit une étoile multiple a souvent été suggérée mais, pour l’instant, aucune observation n’est venue confirmer cette hypothèse avec certitude.

Rigel (β Orionis), au genou gauche d’Orion, est une super-géante bleue, large comme 80 fois notre Soleil et massive comme 20 d’entre eux. Située à 770 années-lumière de nous (même si, à cette distance, l’imprécision sur cette valeur est forte), elle atteint la magnitude apparente de 0,18, ce qui la classe septième parmi les étoiles les plus brillantes du ciel. Avec une magnitude absolue de -6,7, cette étoile est réellement l’une des plus lumineuses que l’on connaisse.  Elle possèderait entre deux et quatre compagnons, noyés dans son éclat.

Bellatrix (γ Ori), un mot latin qui signifie «la Guerrière», se situe à l’épaule gauche d’Orion.  L’épée est constituée des étoiles multiples θ1 et θ² Orionis. Ce système quadruple forme l’astérisme appelé «le Trapèze». Pour sa part, σ Orionis est au moins un système quintuple. Quant à σ-A et σ-B, ses deux composantes principales, elles orbitent à 90 ua de distance l’une de l’autre. σ-C est distante de3 900 ua du couple, σ-D de 4 600 ua et σ-E de 15 000 ua. σ Orionis est d’ailleurs la composante la plus brillante d’un petit amas d’étoiles situé à environ1 150 années-lumière du Système solaire.  U Orionis est une variable de type Mira et sa magnitude évolue entre 5,2 et 12,9 sur une période de 372 jours.

On rappelle que leur complémentaire, dans le quadrilatère central, Saïph ou Kappa Orionis (magnitude visuelle de 2,07 et magnitude absolue de -4,66), indique l’emplacement de l’épée d’Orion et qu’elle est la sixième étoile la plus lumineuse de cette constellation.  Cette super-géante bleue, qui se diffuse largement dans l’ultraviolet, ce qui semble la rendre, à tort, moins notable que ses trois consœurs, est onze fois plus grosse que notre soleil et elle se situe à 722 années-lumière de nous.

Orion, qu’on appelle aussi «le Chasseur», comme on le sait maintenant, et qui se situe presque sur l’équateur céleste, a amené  certains égyptologues à proposer la théorie de la «corrélation d’Orion», une approche selon laquelle il existerait un lien entre la position des pyramides d’Égypte et la position des étoiles les plus immédiatement remarquables, plus précisément entre les trois pyramides de la nécropole de Gizeh (pyramides de Khéops, de Khépren et de Mykérinos) et les trois étoiles centrales de la constellation d’Orion (δ Orionis, ε Orionis et ζ Orionis, ces constitutives de l’astérisme appelé «Baudrier d’Orion»).  Dans ce contexte, le Nil matérialiserait la Voie lactée.  Même imagesqu’il semble que d’autres pyramides feraient partie de ce système.

L’étoile centrale du baudrier d’Orion, émettrait les énergies d’An (1), les énergies de la révélation de la Réalité divine de l’espèce humaine.  Même que, par ses trois étoiles principales, bien alignée, elle offrirait un Portail cosmique donnant accès à l’Infinité ou à la Réalité du Créateur divin, une issue qui permettrait de transcender les dimensions du temps, de l’espace et de la matière, avant de pouvoir accéder à Sirius, le lieu d’origine de l’espèce humaine et des cétacés, surtout des dauphins, ces êtres complémentaires à l’humanité terrestre.  D’autre part, ces trois étoiles permettraient la conservation en équilibre de notre monde par son étoile de gauche, magnétique (Alnitak ou dzêta Orionis) et son étoile de droite, électrique (Mintaka ou delta Orionis) trouvant leur harmonie dans l’étoile du centre, neutre (Alnilam ou epsilon Orionis), servant, à proprement parler, de Portail interdimensionnel.  Encore plus surprenant, les extra-terrestres régressifs et agressifs qui ont longuement tenté de  conquérir les cieux et de dominer la Terre et l’humanité, les Reptiliens et le Dragons négatifs, des entités à 89 % Végans et à 11 % Lyriens, proviendraient de l’étoile négative de ce système.  Peut-être y reviendrons-nous dans un autre texte.

(1) Pour bien comprendre l’allusion à «An», passer lire l’article intitulé «TANT DE RÉFÉRENCES À «AN»», dans la section «Actualités».

 Note:  Pour rédiger cet article, nous admettons nous être servi du site «Wikipedia».

© 2012-15, Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime.

A propos de l'auteur

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *