LES FAITS ENTOURANT LA VIE DE JÉSUS, NOTAMMENT DE SA NAISSANCE, SONT-ILS AVÉRÉS?

Pour comprendre la part des faits fictifs reliés à la naissance de Jésus, il faut d’abord mener une incursion dans la vie de Gautama Bouddha.  Bien que la plupart des gens pensent que Bouddha identifie une personne ayant vécu vers 500 avant J.-C., on peut également démontrer que le personnage qui le dépeint généralement relève d’une compilation d’hommes-dieux, des légendes et paroles de divers hommes saints avant et après la période attribuée au Bouddha historique.   Le personnage de Bouddha détient les points communs suivants avec le Christ:  il est né de la nativité22Vierge Maya, qui était considérée comme la ((Reine du Ciel)) ;  il était de naissance royale ;  il produisait des miracles et des merveilles, guérissait les malades, nourrit 500 hommes à partir d’un «petit panier de gâteaux» et il marcha sur les eaux ;  il a écrasé la tête d’un serpent ;  il a supprimé l’idolâtrie, il était un «semeur de mots», et il prêchait «l’établissement d’un royaume de justice» ;  il enseigna la chasteté, la douceur, la tolérance, la compassion, l’amour et l’égalité de tous ;  il fut transfiguré sur une montagne ;  Sakya Buddha fut crucifié pour expier ses fautes, souffrit durant trois jours en enfer, puis il fut ressuscité ;  il est monté au Nirvana ou au «ciel» ;  il était considéré comme le «bon berger», le «Charpentier», l’«Infini et Eternel» ;  il fut appelé le «Sauveur du Monde» et la «Lumière du Monde».

On peut ensuite piquer une pointe du côté du Dieu égyptien Horus.  En effet, les histoires de Jésus et d’Horus sont très ressemblantes, Horus ayant de plus contribué à l’attribution du nom de Jésus-Christ.  Horus et son père Osiris sont fréquemment interchangeables dans le mythe «Moi et mon Père sommes un».  Les légendes relatives à Horus datent de milliers d’années, et il a avec Jésus les points communs suivants:  il est né de la vierge Isis-Meri le 25 décembre dans une grotte/crèche, sa naissance étant annoncée par une étoile à l’est et attendue par trois hommes sages ;  il enseignait à des enfants au Temple et fut baptisé à l’âge de trente ans ;  il a eu 12 disciples ;  il effectua des miracles et il éleva un homme, El-Azar-us, d’entre les morts ;  il marcha sur l’eau ;  il fut transfiguré sur la Montagne ;  il a été enterré dans un tombeau et a été ressuscité ;  il se présentait aussi comme «la Voie, la Vérité, la Lumière», «le Messie», «le Fils oint de Dieu», «le Fils de l’Homme», «le Bon Berger», «l’Agneau de Dieu», «le Mot», etc. ;  il était le «Pêcheur» et il était associé à l’Agneau, au Lion, au Poisson ou «Ichthys» ;  l’épithète personnelle de Horus était «Iusa», soit le «Fils éternel» de «Ptah» ou le «Père» ;  il s’appelait le «KRST» ou l’«Oint» longtemps avant que les Chrétiens en reprennent l’histoire.  En fait, dans les catacombes de Rome, on trouve des images d’Horus représenté comme un bébé tenu par Isis, la vierge mère – la «Madonne et l’enfant» initiaux – et le Vatican lui-même est construit sur la papauté de Mithra, qui a de nombreux points communs avec Jésus et qui a existé longtemps avant que le personnage de Jésus ne soit formalisé.  La hiérarchie chrétienne est presque identique à la version de Mithra à laquelle elle s’est substituée. Pratiquement tous les éléments du rite catholique, de l’obole à l’hostie et de l’eau bénite à l’autel, jusqu’à la doxologie, sont directement empruntés à d’anciennes religions à mystères païennes.

Mais on ne pourrait se passer de faire une étude du Krishna de l’Inde.  Les similitudes entre le personnage chrétien et le Messie hindou sont nombreuses. En effet, Massey trouve plus de cent similitudes entre les deux, et Graves, qui inclut les divers évangiles apocryphes dans son analyse, en liste plus de trois cents. Il est intéressant de remarquer qu’une ancienne écriture usuelle de Krishna en anglais était «Christna», ce qui fait ressortir son rapport avec «Christ». On peut encore noter que, tout comme le Messie juif, beaucoup de gens pensaient que Krishna avait physiquement existé.  Ainsi : Krishna est né de la Vierge Devaki, soit «La Divine» ;  son père était charpentier ;  sa naissance était attendue par des anges, des hommes sages et des bergers, et il se présenta avec de l’or, de l’encens et de la myrrhe ;  il s’appelle Dieu des bergers ;  il fut persécuté par un tyran qui ordonna le meurtre de milliers d’enfants en bas âge ;  il était de naissance royale ;  il fut baptisé dans le Gange ;  il effectua miracles et merveilles ;  il ressuscitait les morts et guérissait les lépreux, les sourds et les aveugles ;  il recourait à des paraboles pour enseigner au peuple la charité et l’amour ;  il  vécut pauvre et il aima les pauvres ;  il fut transfiguré devant ses disciples ;  selon certaines traditions, il mourut sur un arbre ou fut crucifié entre deux voleurs ;  il ressuscita d’entre les morts et monta au ciel ;  il est appelé le «Dieu-Berger» et le «Seigneur des Seigneurs» et il était considéré comme le «Rédempteur», le «Premier-né», le «Libérateur», le «Mot universel» ;  il se présente comme la seconde personne de la trinité et il s’est proclamé lui-même la «résurrection» et la «Voie vers le Père» ;  il était considéré comme «le Début, le Milieu et la Fin» ou «Alpha et Omega», comme un être omniscient, omniprésent et omnipotent ;  ses disciples lui donnèrent le titre de «Jezeus», ce qui signifie «pure essence» ;  enfin, il doit revenir combattre le «Prince du Mal» qui désolera la Terre.

Puis il y a des emprunts au Dieu-Soleil de Perse, le fameux Mithra.  Son histoire de Mithra précède la fable chrétienne d’au moins six cent ans.  D’après Wheless, peu avant l’ère chrétienne, le culte de Mithra était le plus populaire et le plus répandu des religions dites «païennes» de l’époque.  Mithra démontre les caractéristiques suivantes, communes avec le Christ:  ce Dieu est né d’une vierge le 25 décembre ;  Il était considéré comme un grand professeur et un maître itinérant ;  il était appelé «le Bon Berger» ;  il était considéré comme «la Voie, la Vérité et la Lumière» ;  Il était encore considéré comme «le Rédempteur», «le Sauveur», «le Messie» ;  il était identifié à la fois au Lion et à l’Agneau ;  son jour sacré était le dimanche, le «jour du Seigneur», des centaines d’années avant l’émergence du Christ ;  il avait sa fête principale à la date qui allait ensuite devenir Pâques, correspondant à sa résurrection ;  il avait 12 compagnons ou disciples ;  il accomplissait des miracles ;  il a été enterré dans un tombeau ;  après trois jours, il s’est relevé ;  sa résurrection était célébrée chaque année ;  enfin, sa religion comportait une eucharistie ou «dîner du Seigneur».

Et si on jetait un œil sur la Tradition grecque.  On a affirmé que le Dieu Grec Prométhée venait d’Egypte, mais son drame se situa en fait dans les montagnes du Caucase.  Prométhée partage avec le Christ de nombreux points communs.  Ainsi : Prométhée descendit du ciel comme un Dieu pour s’incarner en homme afin de sauver l’humanité ;  il fut crucifié, souffrit et fut ressuscité ;  il fut appelé le «Verbe»0 ou le «Mot».  La tradition affirme que Prométhée fut crucifié sur un rocher, mais cependant certaines sources indiquent qu’il fut crucifié sur un arbre et que les Chrétiens modelèrent l’histoire et/ou mutilèrent le texte, comme ils le firent avec les œuvres de tant d’auteurs anciens. Quoiqu’il en soit, le Soleil caché par l’obscurité constitue un parallèle avec le récit chrétien de l’obscurité qui tomba quand Jésus fut crucifié. Cet événement remarquable, qui n’est pas enregistré dans l’histoire, n’est explicable qu’à l’intérieur d’un mythe et comme partie d’une pièce récurrente.

Et que dire du grand Dieu grec Zeus ?  Zeus, connu aussi comme «Zeus Pateras», qui est désormais pris pour une figure mythique, plutôt qu’historique, tire son nom de sa version indienne, «Dyaus Pitar».  À son tour, Dyaus Pitar est relié au «Ptah» égyptien, et de Pitar et de Ptah vient le mot «pater» ou «père».  Le nom même de «Zeus» provient de «Dyaus» qui est devenu «Deos», «Deus», «Dios» et «Dieu», selon la langue contemporaine.  «Zeus Pateras», comme Dyaus Pitar, signifie «Dieu le père», un concept très ancien qui, en aucun cas, n’a commencé avec «Jésus» et la Chrétienté.  Il n’est pas question de considérer Zeus comme un personnage historique.  Dyaus Pitar est devenu «Jupiter» dans la mythologie romaine, et, de la même façon, n’est pas représentatif d’un personnage réel et historique.  Dans la mythologie égyptienne, Ptah, le père, est le «dieu-force» invisible, alors que le Soleil était considéré comme le mandataire visible de Ptah qui apporte la vie éternelle sur Terre.  Par conséquent, le «Fils de Dieu» est vraiment le «Soleil de Dieu».  En effet, selon Hotema, le nom même du  «Christ» vient de la racine «Kris» (comme dans Krishna), qui est un nom pour le Soleil.

Dans les Traditions sacrées du Nord, le fils  ou «Son» de Dieu est le Soleil, écrit en anglais «Sun».

La raison pour laquelle tous ces récits sont si ressemblants, comportant un Homme-Dieu qui est crucifié et ressuscité, qui fait des miracles et est accompagné de douze, c’est que ces contes sont fondés sur les mouvements du soleil dans les cieux, un développement astro-théologique qui peut être retrouvé sur toute la planète parce qu’on peut observer le soleil et les douze signes de zodiaque tout autour du globe.  Autrement dit, Jésus-Christ et tous les autres sur qui son histoire s’appuie, pour en enjoliver le contenu, sont des personnifications du soleil.  Ainsi, l’Évangile ne représente que la reprise d’un texte mythologique — le «Mythos» — concernant les mouvements du Soleil dans les cieux.  Par exemple, on donne pour jour traditionnel d’anniversaire à la plupart des Hommes-Dieux crucifiés le 25 décembre.  Cela s’explique par le fait que les anciens se sont rendu compte que, d’une perspective géocentrique, le Soleil effectue une descente annuelle vers le Sud jusqu’au 21ème ou 22ème jour de décembre, au moment du solstice d’hiver, qu’il cesse ensuite de se déplacer vers le sud pendant trois jours et que, ensuite, il recommence à se déplacer vers le nord.  À ce moment, les anciens disaient que le «Soleil de Dieu» «était mort» pour trois jours avant de «ressusciter» le 25 décembre.

En fait, les anciens se rendaient compte de façon très claire qu’ils avaient besoin du Soleil chaque jour et qu’ils auraient de gros ennuis si le soleil continuait à se déplacer vers le sud et ne s’arrêtait pas pour inverser sa direction. Ainsi, ces nombreuses cultures célébraient l’anniversaire du «Soleil de Dieu» le 25 décembre. Suivent les caractéristiques du «Soleil de Dieu» :  le Soleil «meurt» pendant trois jours, le 22 décembre, lors du solstice d’hiver, quand il arrête son mouvement vers le sud, avant de renaître le 25 décembre, lorsqu’il reprend son mouvement vers le nord ;  dans certaines cultures, le calendrier commençait initialement dans la constellation de la Vierge, et notre étoile était donc «né d’une Vierge» ;  le Soleil est la «Lumière du Monde» ;  il «vient sur des nuages, et chaque œil le verra» ;  se levant le matin, il est le «Sauveur de l’humanité» ;  il porte une «couronne d’épines» ou halo ;  il «marche sur les eaux» ; ses «disciples» sont les 12 mois et les 12 signes du zodiaque ou constellations, par lesquels il doit passer ;  le midi se situe dans la maison ou le temple du «Plus Haut» et, par conséquent , il commence le«(travail de son père» à l’âge de 12 ans ;  il entre dans chaque signe du Zodiaque à 30° et, en conséquence, le «Soleil de Dieu» commence son ministère à l’âge de 30 ans ;  le Soleil est tenu sur une croix ou «crucifié», ce qui représente son passage par les équinoxes, celle de Printemps étant Pâques (Easter), époque à laquelle il est ressuscité.

Contrairement à la croyance populaire, les anciens n’étaient pas ignorants et superstitieux au point de considérer leurs dieux comme de véritables personnes. En fait, cette propagande calomnieuse représente une partie de la conspiration pour faire croire que les anciens étaient effectivement la populace hébétée qui avait grand besoin de la «Lumière de Jésus».  La vérité est que les anciens n’étaient pas moins avancés dans leurs pratiques spirituelles et morales, et même plus avancés dans de nombreux cas, que les Chrétiens avec leur prétendue spiritualité et idéologie qui, avec cette atteinte à l’historicité, ont en fait dégradé l’ancien Mythos. En effet, à la différence des Chrétiens «supérieurs», l’élite intellectuelle des anciens se rendait bien compte que leurs dieux étaient de nature astronomique et atmosphérique. Platon, Socrate et Aristote savaient sûrement que Zeus, le père et dieu du ciel qui est arrivé en Grèce originaire d’Inde et/ou d’Egypte, n’était pas une véritable personne, malgré le fait que les Grecs avaient indiqué en Crète à la fois une caverne de naissance et une caverne de la mort de Zeus. De plus, on peut trouver à plusieurs endroits du monde des sites où ce prétendu Dieu est né, mort, a marché, souffert, etc., un procédé commun qui n’est pas monopolisé et n’a pas commencé avec la Chrétienté.

Alors, puisque Horus s’est appelé «Lusa/Lao/Lesu», le «KRST», et que Krishna ou Christna était appelé «Jezeus» plusieurs siècles avant qu’un quelconque personnage juif porte le même nom, il serait plus sûr de considérer que Jésus-Christ n’est qu’une répétition de Horus et Krishna, entre autres.  Selon le révérend Taylor, dans sa forme hébraïque, le titre «Christ» signifiant «Oint», «Masiah» a été porté par tous les rois d’Israël, et un tel nombre d’imposteurs, de prestidigitateurs et d’autres personnes prétendant à des communications surnaturelles l’empruntaient si facilement, que la seule référence à ce mot est considérée comme une indication d’imposture dans l’évangile elle-même.  Du reste, Hotema établit que le nom de «Jésus-Christ» n’a été officiellement adopté sous cette forme que lors du premier Conseil de Nicée, en 325 de notre ère.

En réalité, même les noms de lieu et les appellations de beaucoup d’autres personnages du Nouveau Testament peuvent être considérés comme des traductions hébraïques des textes Egyptiens.  Par exemple, dans la fable de «Lazare», la momie élevée des morts par Jésus, les copistes chrétiens n’ont pas beaucoup changé son nom, puisque «El-AzarOLYMPUS DIGITAL CAMERA-us» étant la momie égyptienne élevée des morts par Horus probablement au moins 1 000 ans avant la version juive.  Ce récit est une allégorie pour le passage du Soleil par la «constellation de la momie», lui apportant la lumière et la vie.  Il ne s’agit pas d’une histoire vraie.  L’ennemi principal de Horus – initialement l’autre visage d’Horus ou son aspect «sombre» – était «Set» ou «Sata», d’où vient «Satan».  Horus lutte avec Set de la façon exacte dont Jésus lutta avec Satan, 40 jours dans le désert, entre autres similitudes.  C’est parce que ce mythe représente le triomphe de la Lumière sur l’obscurité ou le retour du Soleil pour soulager la terreur de la nuit.

Il semblerait que la ville de Bethléem n’existait pas encore, sous ce nom, au moment de la naissance de Jésus.  Quant à «Jérusalem», le nom de cette ville signifie simplement la «ville de la paix».  Et il y a des raisons de suspecter que la ville réelle en Israël ait été nommée d’après la ville sainte de la paix des textes sacrés égyptiens qui existait déjà avant que la ville ait été fondée.  De même, «Béthanie», célèbre site de la multiplication des pains, et qui signifie la «Maison de Dieu» est une allégorie pour la «multiplication du nombre à partir de l’Unité».  N’importe quelle ville portant ce nom était probablement nommée à partir de l’endroit allégorique des textes qui existait avant la formation de la ville.  Le prédécesseur et sa contrepartie égyptienne est «Bethanu».

Nous n’irions jamais, comme certains, jusqu’à nier l’existence historique du personnage de Jésus ou à tenter de réduire l’impact de son ministère terrestre.  Mais nous sommes tout à fait d’accord que, pour embellir les récits chrétiens et éclipser le paganisme, ce qui a pu être fait dans de bonnes intentions, donc sans méchanceté, bien des passages ont été ajoutés de toute pièce aux textes sacrés, du reste écrits sur le tard, tandis que d’autres ont été remaniés au goût du jour.  Au gré des diverses transformations, sur des centaines d’années, cela en fait aujourd’hui des sources peu fiables.

© 2013-15, Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime.

 

A propos de l'auteur

2 Responses

  1. Fabienne

    Je me posais cette question , récemment. Lorsque l’on fait le jeu où une personne raconte un fait à une autre qui a son tour la raconte à la suivante et ainsi de suite et que l’on voit la déformation à l’arrivée…. On peut imaginer les déformations dans l’Histoire sur des milliers d’années….
    2 000 ans c’est à la fois beaucoup pour nous, à l’échelle humaine, mais tellement peu à l’échelle de notre planète. Il y a tant de choses du passé très lointain que nous ne connaissons pas. Historiens, Archéologues, Paléontologues, Scientifiques, etc, sont sans cesse en recherche sur notre passé. Mais celui-ci est bien secret encore pour nous. Il y a souvent suppositions, thèses, qui ensuite sont remises en cause par d’autres thèses et donc s’avèrent fausses.
    Depuis petite, je me suis posée beaucoup de question sur notre origine, les mystères de la Vie sur cette planète (et les autres planètes). Tant de points d’interrogations qui resteront certainement encore longtemps sans réponse véritable.
    Le problème parfois dans les découvertes quelles qu’elles soient, c’est que l’homme souhaite en tirer une sorte d’honneur. Ce qui souvent peut donner des erreurs d’intéprétation ou autres. Dommage.
    Nous avons tant d’exemple : l’Egypte et la construction de ses pyramides, les fameux crânes de cristal, Stonehedge, l’Atlantide, et encore tellement de mystères encore non élucidés…
    Beaucoup de questions mais peu de réponses…. des thèses différentes où l’on arrive plus à s’y retrouver.

    Répondre
    • mizou

      Quand les questions arrivent, les réponses suivent…moi c’est une amie que j’appelle “mon passeur” qui m’a simplement conseillé de lire des livres qui m’ont ouvert le coeur et mise sur la voie..je citerai 3 d’entre eux: Dialogues avec l’Ange de G.Mallasch
      le Christ en vous …et Conversations avec Dieu de Neale Walsh
      Si vous cherchez,vous trouverez!
      Bonne année
      M.

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *