BIEN DES EXPÉRIENCES SUR LES ANIMAUX SE DÉMONTRENT INDIGNES DE NOTRE ESPÈCE ET, MÊME SOUVENT, COMPLÈTEMENT INUTILES… 

Actuellement, on mène des expériences de toutes sortes sur les animaux, supposément pour améliorer la qualité de vie de l’être humain.  La vivisection sur des animaux, parfois sans anesthésie, entraîne annuellement la mort de centaines de millions d’entre eux, certains n’étant employés que pour des tests sur l’innocuité des produits de beauté et d’hygiène qui constituent une véritable torture, surtout que certaines expériences ne visent qu’à confirmer des hypothèses scientifiques.  Suite à certaines révélations scandaleuses, un tollé mondial a légèrement fait régresser ces pratiques, mais souvent elles ne sont devenues que plus secrètes et mieux protégées.  Ainsi, on mène des épreuves de recherche pratique, théorique, pédagogique et industrielle.  Dans ce contexte, le métaphysicien peut se demander si de telles pratiques sont admissibles au niveau des valeurs et si elles ont un caractère de nécessité scientifique.  Dans les deux cas, il faut répondre par la négative.

Faire souffrir délibérément un être doté de sensibilité reste toujours condamnable.  Quant aux objectifs scientifiques, ils sont à la fois discutables et définitivement contestables,  En effet, dans ses recherches, la science peut trouver nombre d’alternatives à l’utilisation d’animaux.  On peut notamment penser à l’observation clinique sur les cadavres EXPERIENCES SUR LES ANIMAUXqui peut en dire plus long sur la physiologie humaine que l’anatomie des animaux qui, étant d’une autre espèce, ne donnent jamais de données concluantes.  Il s’agit purement et simplement d’une hérésie ou d’un sophisme de dire le contraire.  Les expériences sur les animaux ne peuvent déterminer avec certitude l’action, l’efficacité ou l’innocuité d’un produit.  Elles représentent même un énorme danger pour la santé humaine dans bien des cas.  Un autre phénomène tendancieux, c’est la déshumanisation qui découle de telles recherches.

Certaines tortures employées contre des êtres humains, en temps de guerre, ont été empruntées à des techniques de laboratoire.  Même en temps de paix, la curiosité des scientifiques sans conscience peut les amener à pratiquer certaines techniques nocives sur l’être humain, comme c’est le cas pour la manipulation programmée des cerveaux ou l’effet psychologique des effets électroniques en publicité.  On dit que seulement cinq pourcent des renseignements obtenus de la vivisection peuvent avoir une quelconque utilité en médecine, alors que l’on connaît des méthodes alternatives pour parvenir aux mêmes fins.

Soulignons les essais sur les cultures de cellules d’organes humains (cellules de foie, membranes collagènes, systèmes de capillaires artificiels, matrices de fibrine).  En effet, ces cellules conservent leur caractère propre, mêmes capables de produire des anticorps spécifiques, ce qui est plus rapproché de la physiologie humaine et écarte l’utilisation d’animaux pour l’expérimentation.  On peut également tester ave plus de sûreté et de certitude certains produits à des doses infinitésimales directement sur des êtres humains, évidemment volontaires.  Et on découvre de plus en plus d’autres moyens qui évitent le recours à des animaux.  En vérité, on a tort de recourir à de telles expériences cruelles quand on n’a pas mesuré, par mépris, l’efficacité de certaines techniques traditionnelles d’Orient, d’Afrique et d’Amérique.  On peut également approfondir la valeur des techniques douces ou alternatives.

La prétentieuse et dogmatique médecine scientifique nie être dans une impasse alors qu’elle sait fort bien qu’elle traite les symptômes plus qu’elle ne change les causes pour guérir;  que certains de ses produits règlent un problème pour en causer des pires par les effets secondaires cumulatifs;  qu’elle soulage au moyen de produits dont elle ignore les effets à long terme;  qu’elle continue de se servir de produits désuets, devenus inefficaces par l’adaptation des bactéries et des virus ou par affaiblissement des anticorps.  Il est temps que la société réagisse à ces aberrations, impose plus de rigueur et de sagesse, amène les chercheurs à mettre de l’ordre dans leurs méthodes, leurs priorités et leurs buts.  Chacun doit dénoncer tout ce qui n’est pas spirituellement admissible au lieu de laisser faire.  On ne sait jamais à quel excès peut mener une science sans conscience, comme on en a de faibles reflets dans l’usage de l’atome, des gaz destructeurs, des bombes bactériologiques, employées en temps de guerre, même, paraît-il, de guerre froide.  Au fait, qui a décrété que les animaux valaient moins que l’être humain?  L’être humain, bien sûr, dans son orgueil incommensurable!

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