LA RONDE SECRÈTE DES NOMBRES…

Le nombre désigne la notion fondamentale des mathématiques qui permet de dénombrer ou de classer les objets ou de mesurer les grandeurs.  Ils servent à former les chiffres.  Donc, de 1 à 9, on parle de nombre, et de 10 à l’infini, on parle de chiffres.

En spiritualité, les nombres désignent les principes fondamentaux qui supportent la charpente de l’Univers dont la connaissance est essentielle pour comprendre la doctrine ésotérique ou pour découvrir les apparents mystères de Dieu.  Ils vont de un (1) à neuf (9), les autres chiffres figurant leurs différents multiples.  Ainsi, le dix (10), le un (1) et un œuf (0), exprime la perfection d’un terme et le commencement d’un nouveau.  De ce fait, pour les chiffres supérieurs à neuf, il faut procéder à la réduction théosophique pour les ramener à un nombre premier, ce qui aide à comprendre son sens fondamental.  Ainsi, le dix (10) doit se comprendre comme un (1) parce qu’il figure 1 + 0 = 1, l’Unité en potentiel d’expansion;  onze (11) devient deux (2), parce qu’il est 1 + 1 = 2, le couple, la dualité;  etc.  Ce langage primordial de la réalité constitue les enveloppes visibles des créatures.  Ils règlent l’harmonie physique, les lois vitales et spatio-temporelles, ainsi qnumbersue les rapports des créatures avec le Principe divin.  Ils expliquent des principes coéternels qui servent à couvrir la Vérité unique et ils permettent, une fois connus, d’accéder à une véritable compréhension des êtres et des événements.  Ils déterminent le degré de coopération entre l’identité solaire et l’identité atomique.

 Les nombres expriment des quantités, des qualités, des idées et des forces qui révèlent le Savoir suprême et permettent d’approcher la Vérité.  Car le Créateur a géométrisé et structuré le Monde en s’appuyant sur eux, assurant ainsi la permanence de l’Ordre et de l’Harmonie, au-delà des fluctuations du Mouvement de la Vie universelle.  Les nombres règlent les rapports avec le Principe unique et ils ramènent tous à l’Unité primordiale.  Ils recèlent une force inconnue au profane qu’il ne faut pas utiliser mal à propos.  Une fois énoncés par le Verbe, ils déplacent des forces qui établissent un courant invisible, mais présent et réel.  Ils constituent la racine secrète du signe, dont la parole est l’explication.  Chaque nombre est relié à un ensemble d’influences.  En fait, ils ne servent, par le Multiple, qu’à analyser l’Unité ou à traduire l’Unité qui résulte de la synthèse du Multiple.  L’Intelligence cosmique en est la source unique.

Ce qui précède ne doit pas laisser entendre qu’il faut chercher dans les nombres le fondement ésotérique d’une compréhension de l’Univers, mais il faut voir en eux un résumé de l’Architecture sacrée qui permet d’aimer la Création.  La Mathématique céleste fournit la Clef qui fait sauter d’une dimension à une autre chez celui qui possède l’humilité de se mettre à vibrer au rythme de son cœur.  On ne peut la comprendre qu’en cessant de réfléchir pour penser avec elle.  Comme Pythagore l’a exposé : Tout est arrangé d’après le nombre.  Il constitue l’expression de l’harmonie de l’Univers et des lois qui en ordonnent le mouvement.  En fait, il révèle les archétypes cachés.  Chaque nombre s’ajoute aux autres pour former une gerbe, un agencement complet.  Chaque type de matière est sous-tendu et pensé par un nombre.  La lumière elle-même, qui la nourrit et l’active, constitue une architecture totale, exprimant la conséquence d’une géométrie fabuleuse, sans possibilité de hasard.

Le nombre, la pluralité ou le grand nombre d’une collectivité, ne fait pas la qualité, alors que la qualité se retrouve rarement dans le grand nombre.  Dans la même veine, la croyance du nombre n’en fait pas une vérité, elle ne sert qu’à sécuriser le poltron ou le timoré.

Dans la Cabale, le nombre complet réfère au sept (7) parce qu’il est réputé comprendre la totalité de L’Esprit (Trinité) et de la Forme (quatre), les trois puissances du Ternaire et leurs quatre relations.  Le nombre de naissance, qu’on appelle aussi le nombre du destin, résulte de la réduction théosophique de la date, du mois et de l’année de naissance.  Il exprime le mélange particulier d’énergies dont est fait le plan de vie d’un sujet, cette voie qui peut le conduire plus haut.  Ainsi, il représente la montagne que chacun doit gravir au cours de son existence.

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   Ainsi, par la réduction au nombre 1, il traduit la primarité, l’élan créateur, le commencement et la confiance en soi.  Il exprime une énergie de mouvement d’expression qui permet, si elle est correctement orientée et canalisée, de faire un travail constructif dans n’importe quel domaine.  Sinon, survolté, le candidat pourrait sombrer dans des comportements destructeurs et tomber dans la dépendance.  Il sera appelé à considérer l’énergie dans son sens inspirant et créatif et à l’investir dans l’esprit de service, plutôt que dans la témérité et l’héroïsme, s’il veut rester bien dans sa peau.  Sans quoi, exagérément propulsé vers l’extérieur, il aura du mal à tenir en place et trouver son centre.  Devant l’échec, il se sentira bloqué, coincé, et il dévetéléchargementloppera un complexe d’infériorité, de l’inquiétude, de la léthargie, qu’il pourrait masquer par la dépendance.  Il pourra porter un masque de calme et de confiance, témoigner de froideur et de distance, qui voilerait une profonde insécurité.  Il pourrait alors devenir enclin à la concurrence ou à l’envie, craignant toujours de ne pas pouvoir s’en tirer seul.

   Le nombre 2, associé à la dualité et au déchirement, doit mener à la coopération et à l’équilibre.  Cette énergie, source de force, de soutien et de service dans la collaboration et l’entraide, requiert la reconnaissance des limites personnelles et de la marge réelle de sa responsabilité.  On sera porté à trop donner, à donner plus qu’on reçoit, par sens exagéré du devoir, ce qui induirait progressivement dans une servilité qui appellerait le mépris des autres, mais qui ferait surgir en soi le ressentiment, la résistance et le repli sur soi.  Surtout que, de nature, on est porté à la diplomatie, à la quête d’harmonie et d’équilibre.  En général, très conscient de ses limites, le sujet est enclin à s’aider et à aider les autres dans la même mesure.  Sinon, il se sentira vite débordé, prenant une attitude réactionnelle souvent inflexible.  On est porté à commencer à aider avec zèle, mais, peu à peu, on se replie sur soi-même, si on n’est pas suffisamment apprécié.  La marque de ce nombre, c’est de voiler une nature tendue sous un couvert d’esprit analytique pondéré, un résultat des conflits et des contradictions intérieures.  Perfectionniste, on présente une attitude calme, mais tout bouge constamment à une vitesse folle en dedans.  Heureusement qu’on est doté d’une grande vitalité, bien qu’on manifeste de nombreuses carences au niveau physique.  Et lorsqu’on dit un non ferme et inflexible, cela ne témoigne que d’une tendance intime à dire oui trop facilement, puis, ensuite, à critiquer l’apport des autres, mais en se blâmant soi-même.

   Le nombre 3, relié au projet abstrait et à l’archétype, témoigne du potentiel d’expression et de la sensibilité.  Il invite à rendre ses projets à terme en les revêtant de matérialité et en les exprimant par une forme sensible constructive.  On doit apprendre à exprimer ses sentiments de façon directe, honnête et pondérée.  On doit se servir de sa sensibilité et de son expressivité innées pour réjouir son âme et son cœur et pour communiquer, de façon inspirée, dans la joie sereine.  Sinon, on sera désappointé, frustré et on sombrera dans la dépression ou l’amertume, ce qui cacherait une sensibilité exacerbée.  Comme on est porté à douter de soi, on se plaint souvent et on critique plus qu’à son tour.  La marque de ce nombre s’exprime par une attitude confiante et optimiste qui voile les doutes que l’on porte à son endroit qui garde dans une dépression latente.  On voile sous la logique des sentiments profonds qui ont souvent atteint le stade émotif, donc perturbant pour soi et pour les autres.

   Le nombre 4, associé aux assises fortes, fermes, solides et stables, incline vers la méthode.  Il invite à commencer par se donner une fondation concrète, tangible et palpable, en suivant méthodiquement, étape par étape, le but qu’on s’est fixé.  Mais, ici, on gagnerait à pondérer sa force en souplesse et en modération et à atténuer son esprit d’analyse par plus d’écoute de l’intuition.  On œuvre avec le nombre de la maîtrise de la méthode qui doit servir à atteindre un but ou un idéal.  En général, on ne sait pas comment se préparer et préciser les étapes de son projet, d’où on doit apprendre à le faire.  On doit également équilibrer un excès de rationalité par un peu plus de sensibilité et d’écoute de son monde intérieur.  Mais, assez superficiel, on peut manquer de patience, de constance et de persévérance, être trop porté à tout réussir immédiatement, donc, dans la hâte, à sauter des étapes.  Alors, à la fois ambitieux et impatient, on risque de sombrer dans la confusion ou l’agressivité, vivant dans l’instabilité.  La marque de ce nombre réside dans une attitude de parfaite assurance et de d’extrême contenance qui voile un doute sur soi et la pure logique.  On risque toujours de prendre des décisions prématurées ou téméraires par impulsivité.

   Le nombre 5, associé à la notion de centre, des liens, de la famille, de changement forcé par le lâcher prise, englobe le conflit qui surgit entre la liberté et la discipline.  On veut tout connaître, profiter de tout, ne rien manquer.  Par des expériences directes et indirectes, on est porté à explorer la limite de sa liberté, ce qui amène souvent à choisir trop d’activités en même temps, oubliant que, ce qui compte, c’est la profondeur d’une expérience.  On doit apprendre à se discipliner, à centrer sa pensée sur des choix limités, évitant d’osciller entre les extrêmes de la dépendance et de l’indépendance.  C’est la liberté intérieure qui doit primer.  Alors, on doit appliquer ses multiples talents dans un but précis.  Sinon on disperse ses énergies et on se vide, trop porté à jeter de la poudre aux yeux et à fabuler, passant de la plus grande indépendance à la dépendance, ou inversement.  La marque de ce nombre se cache dans une indépendance farouche qui voile la pire dépendance à l’endroit d’autres personnes ou de toxicomanies.  On veut faire preuve de résolution et de concentration d’esprit, mais dispersé, on se laisse toujours séduire par des expériences nouvelles, trop nombreuses pour instruire vraiment, ce qui finit par engendre la peur et l’ennui, un grand mal de vivre.

   Le nombre 6, associé aux aspects compatibles et complémentaires de la vie, à la nécessité de fusionner les extrêmes, à établir des alliances entre les opposés apparents, induit dans la vision et l’acceptation de la réalité comme elle est.  Nombre lié à un noble idéal de beauté et de pureté, souvent faussé par les jugements sur soi, sur les autres et sur le monde, qui doit mener à choisir, comme but de vie, la reconnaissance et l’acceptation de la perfection supérieure, transcendante.  Tout en réalisant son idéal, il faut s’accepter soi-même et accepter les autres tels qu’ils sont dans le moment présent et éviter de croire qu’ils ne peuvent changer avec le temps.  Il faut développer une vision d’ensemble du monde et accepter la perfection intrinsèque qui se voile derrière les apparences.  En fait, ce nombre devrait donner une vision d’ensemble qui porte à travailler dans la patience, mais sans devenir perfectionniste.  On doit apprendre à pardonner et à se pardonner, en acceptant les autres comme ils sont, ce qui est possible quand on fait de même pour soi.  Car on est toujours enclin à l’extrémisme, à se perdre dans les détails, ce qui mène à l’hypercritique.  La marque de ce nombre présente une tendance à se juger et à juger les autres selon d’impossibles critères, sous une image extérieure de réussite et d’attitude calme, souriante, gentille, prévenante, juste.  On cache mal un désappointement et une rage face aux nombreuses fautes et injustices du monde.

   Le nombre 7, associé à la plénitude et au succès appelle à la foi et à l’ouverture.  Il évoque un esprit perspicace qui sait lire entre les lignes et qui est porté vers la Nature.  En lui-même, ce nombre incline vers l’amour, la foi et la sagesse, à faire un bon usage du meilleur qui existe en soi.  Il invite à faire confiance ne l’Esprit qui travaille en soi et partout pour sortir de la réclusion, apprendre à s’engager et à se donner librement.  On doit apprendre à croire en soi et à faire confiance aux autres, prendre des risques calculés au niveau affectif, pour apprendre à canaliser sa sensibilité profonde, à ouvrir son cœur aux autres.  On a du mal à exprimer ses émotions et ses ressentis dans la transparence.  Alors, on est porté à vivre dans l’amertume parce qu’on se sent souvent trahi, risquant de devenir paranoïaque.  On se sert de l’intellect comme d’un bouclier pour cacher ses sentiments profonds, ce qui amène à perdre confiance en soi et dans les autres.  La marque de ce nombre s’exprime dans les décisions rapides, sans consulter personne, d’apparence très sûres, mais fondées sur un grand manque d’estime de soi.  Mais, par sa vivacité d’esprit et son charme en société, on crée une diversion qui permet de garder jalousement sa vie privée et son monde intérieur.

   Le nombre 8, associé à la circulation infinie de l’énergie, exprime l’abondance et le pouvoir.  Ce nombre ambivalent amène à chercher ou à fuir l’argent, les postes de décision, l’autorité, les éléments de contrôle.  C’est pourtant dans ces domaines qu’on trouve ses plus grandes satisfactions, comme ses pires défis.  On doit apprendre à mettre ses biens et ses talents au service d’une cause plus élevée au lieu de les poursuivre comme une fin en soi.  En général, on n’est pas trop porté à en abuser, on partage avec générosité et sagesse.  Si on n’agit pas ainsi, on ne peut que se mettre à les chercher pour la domination et la notoriété qu’ils confèrent.  On est effrayé par les aspects de partage et de relations qui préoccupent sans cesse l’esprit et on est porté à saboter ses meilleures valeurs. La marque de ce nombre passe par un renoncement apparent à toute forme de pouvoir qui n’empêche pas qu’on tente de tout contrôler.  Cette ambiguïté fourvoie les autres.  Alors, on peut en venir à témoigner d’une extrême passivité qui compense pour une agressivité refoulée et une soif intense et inassouvie de pouvoir, de prestige et de succès.

   Le nombre 9, associé à l’achèvement, incline ultimement vers l’intégrité et la sagesse.  Nombre de la plus haute intégrité, il exige que la conduite concorde avec les principes de vie les plus élevés pour que son exemple personnel inspire les autres et les entraîne.  Il confère cette énergie des êtres profonds et charismatiques, presque toujours placés dans des postes d’autorité ou des rôles de meneurs où ils deviennent des témoins édifiants et suivis.  Tout leur défi réside dans l’aptitude à trouver l’équilibre pour sortir du déséquilibre, car, très magnétiques, ils entraînent selon l’orientation qu’ils prennent.  Sinon, ils perdent de vue leur but supérieur, ils se coupent du monde, ils vivent dans l’isolement amer, enfermés dans leur tête, n’écoutant plus leur cœur ni leur intuition.  La marque de ce nombre témoigne d’une propension à se voiler sous les apparences d’une certaine profondeur de sentiment et les jeux d’influence fondée sur le dogmatisme ou le moralisme qui cachent la fragilité du sentiment d’identité et l’influençabilité.  On a du mal à vivre avec les principes élevés auxquels on croit ou auxquels on aimerait croire.

   Le nombre 0, qui constitue une addition assez récente aux nombres, établit les dons intérieurs et les vertus supérieures en latence.  Il implique un nouveau départ au terme d’un cycle d’évolution achevé.  Il amène à mettre ses dons de sensibilité, de force, d’expression et d’intuition au service des autres ou d’une cause supérieure.  Sinon, on sombre dans la nervosité, l’hypersensibilité, l’entêtement, parce qu’on est fondamentalement confus.  Alors, on réagit par la susceptibilité, les sarcasmes, la causticité.

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Le nombre de la personnalité résulte de la somme des lettres du  nom et du prénom d’une personne.  Il révèle ses possibilités, ses réalisations et sa relation aux autres.  Il révèle la carrière vers laquelle on se destine

Les nombres de Lucas, calculés à partir de la puissance du Nombre d’or, s’étalent ainsi : i = 1, 3, 4, 7, 11, 18, 29, 47, 76, 123, 199, 322, 521, 843, 1 364, etc.

Le Nombre d’or est le ratio qui offre la clef du Cosmos puisqu’il contient la résonance vibratoire de toute matière et qu’il active le Portail vers les dimensions parallèles et les plans de l’antimatière.  C’est un ration selon lequel le rapport entre le petit (microcosme) et le grand (macrocosme) est égal au rapport entre le grand et le Tout (Omnivers ou Cosmos).  Il repose sur le rapport phi (f) qui équivaut à 1,618by-the-numbers etc., donc à 1 + 8 = 1/x.  Si on lui ajoute un, cela conduit à sa propre inversion : 1 + 0,618 = 1,618 = 1/0,618.    On l’illustre comme suit.

Le nombre du destin sert de synonyme au nombre de naissance.

Le nombre extérieur s’obtient par la somme des consonnes du nom complet d’un sujet (prénom ou prénoms et nom de famille, non d’alliance).  Il exprime le degré de vitalité, donc la santé, l’apparence physique, la façon dont les autres le perçoivent à travers sa façon d’agir, de s’habiller, de se comporter.

Le nombre impair réfère à un pouvoir mâle, à une puissance qui peut devenir redoutable, parce qu’elle est associée au sacré gauche et à l’anti-ordre.  Ce nombre ambigu, rempli d’une énergie de liberté, mais affligé d’un déséquilibre temporaire, amène à se demander s’il participe du sacré droit ou du sacré gauche, du divin ou du diabolique.  Il évoque le Ciel qui peut paraître autant une puissance divine usurpée et détournée de ses fins, qu’une puissance licite et légitime.  Mais il est dit que le Créateur aime l’impair qu’il peut compléter.

Le nombre intérieur désigne la somme des voyelles du nom complet d’un sujet (prénom ou prénoms et nom de famille, jamais d’alliance).  Il exprime les motivations profondes d’un sujet, sa véritable personnalité, ses sentiments, ses jugements, les attitudes qu’il peut adopter dans la vie.  Les nombres maîtrisés réfèrent aux nombres doubles comme 11, 22, 33, 44, 55, 66, 77, 88 et 99.

Le nombre pair est relié à l’énergie féminine, à la Matrice universelle et à la Terre.  Il contient les éléments compatibles et complémentaires, qui fondent les opposés apparents au nombre impair.

 

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2 Responses

  1. Pladon

    extrait de votre texte : ci-dessous:
    […De ce fait, pour les chiffres supérieurs à neuf, il faut procéder à la réduction théosophique pour les ramener à un nombre premier…]
    ce qui est erroné : ….chiffres supérieur à neuf …. …à un nombre premier…
    Les vingt-cinq nombres premiers inférieurs à 100 sont :
    2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 79, 83, 89 et 97.
    note personnelle : il n’existe pas de chiffre supérieur à 9.
    suggestion d’écriture pour votre article :
    De ce fait, pour les NOMBRES supérieurs à neuf, il faut procéder à la réduction théosophique pour les ramener à un chiffre.

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    • Bertrand Duhaime

      Mais où avais-je la tête! Difficulté de concentration après la prise de beaucoup de médicaments, suite à une intervention chirurgicale majeure. Par bonheur, grâce à la vigilance et à ces aimables corrections de Pladon, j’ai pu rectifier mes propos. Gratitude.

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