OU… DE LA TERRE AU CIEL

De la terre au ciel, c’est inclure l’air, de la surface du sol à la stratosphère.  Mais il est ici question surtout de la topographie terrestre.

LA COLLINE 

colline

Cette petite élévation de terrain de forme arrondie, parce qu’érodée, symbolise les premiers éléments terrestres qui ont émergé du Chaos primordial, les premières manifestations de l’Émanation divine, illustrant désormais le Monde en perpétuel devenir.  Par ses lignes douces, faibles en hauteur, elle marque un haut degré d’accord avec le Monde sacré.  Dans certaines traditions, comme chez les Celtes, elle évoque l’Autre Monde.  Pour l’individu, elle indique le début d’une émergence ou d’une différenciation.  S’agit-il d’un projet qui prend forme, d’une carrière qui se dessine, d’une harmonie qui s’installe en soi, de sa conscience qui s’élève progressivement?  À chacun de voir.

LE MONT

La grande masse de terre ou de roche fort élevée au-dessus de la surface d’une région évoque le Monde physique et la Pyramide de l’Émontvolution.  Elle symbolise la montée progressive de la conscience au sommet d’elle-même où elle subit l’Illumination.  Dans le langage mystique, le Mont désigne le centre d’énergie au sommet de la tête, le Centre spirituel où il faut se réfugier en cas de danger ou de menace pour trouver force, lumière et protection.  C’est le Toit de la Maison dont parlait Jésus quand il demandait de monter sur sa maison, en temps de guerre, pour y trouver un refuge sécuritaire.  C’est le centre occipital.  Ne vécut-il pas toutes ses grandes initiations sur un mont : Thabor et Golgotha?  Il illustre un état de conscience élevé, le Lieu où l’on rencontre l’Esprit.  Il est associé au Capricorne, le signe le plus élevé du Zodiaque.  Il indique à la fois le but à poursuivre et le pouvoir sacré qu’on y découvre.  En psychologie, le mont indique la puissance d’aspiration, la progression de l’évolution psychique et spirituelle.  Dans la Tradition chinoise, c’est le K’ouen-Louen, le Centre du Monde.

MONTS (Les) : En chiromancie, il s’agit des saillies charnues de la paume de la main, dont les principaux sont les suivants : Mont de Vénus (Amour, toute la base du pomontsuce);  Mont de Jupiter (Commandement, sous l’index);  Mont de Saturne (Approfondissement, Patience et Fatalité, sous le majeur);  Mont du Soleil (Gloire et Renommée, sous l’annulaire);  Mont de la Lune (Imagination et Intuition, au bas de la main, sous le petit doigt);  Mont de Mars (Dynamisme, Ardeur, Activité, Agressivité, au milieu de la main, sous le petit doigt, entre le Mont de Mercure et le Mont de la Lune, au rebord de la main).  On complète ensuite ces premières notions par l’étude du motif en «M», au milieu de la paume de la main, qui révèle : premièrement, le Cœur (première ligne sous les doigts);  deuxièmement la Tête (deuxième ligne du «M»);  troisièmement la Chance ou Bonnes Occasions (troisième ligne du «M» ;  quatrièmement la Vitalité ou le Sang (quatrième ligne du «M»), qui entoure le Mont de Vénus).  On passe ensuite à la Plaine de Mars, formée par le triangle de la ligne de Vitalité ou Vie, de la ligne de Tête et de la ligne de Santé (allant du bas du Mont de Vénus, près du poignet, au Mont de Mars), la Voie lactée ou ligne d’Affectivité ou Passion (allant du même point de départ que la ligne de Santé à la saillie du petit doigt), la ligne de Vénus, le demi-cercle au-dessus de la ligne de Cœur, (s’étalant entre l’index et le majeur, jusqu’à la division de l’annulaire et du petit doigt ou auriculaire).

 

MONT CAPITOLE : Dans la Rome ancienne, c’est l’équivalent du Mont Olympe de Grèce, le Séjour des Dieux.

MONT-CHAUVE : La Montagne des sorciers (sourciers), symbole d’infécondité et de stérilité.

MONT DE SABLE : Construction artificielle pour la célébration du Nouvel An, au Cambodge et au Laos.

MONT MAUDIT : Lieu où se retrouveraient les diables et les sorcières pour célébrer leurs sabbats (fêtes orgiaques et tapageuses).

MONT MÉRU : Chez les Hindous, c’est la Montagne aux Cinq Sommets, située au milieu des Mondes habités, renommée pour ses richesses naturelles.  C’est le symbole du Paradis.  Synonymes : l’Axe du Monde ou le Rayon de l’Univers.

MONT MYSTIQUE : La Grande Montagne au Pic bleu, le Sommet du cerveau ou du crâne.  La Demeure de «Shiva».

MONT OLYMPE : Dans l’Antiquité grecque, le Séjour des Dieux, régi par Zeus.

MONT PARNASSE : Dans la Grèce antique, montagne consacrée à Apollon et à ses Muses.

MONT-MARTRE : Étymologiquement, il s’agit du Mont des martyrs.

MONT-SALVAT (MONTSALVAT ou MONSALVAT) : Le Mont du Salut, le Mont sacré au milieu d’une Île centrale, éminente et inaccessible, dans la Quête du Graal.

MONT QAF : Pour les Musulmans, il désigne l’Idéal, le But ultime.  Dans le cheminement spirituel, viennent toujours des moments de mise au point nécessaires pour définir et évaluer d’où on vient et où on va.  Le Seigneur de la Montagne peut guider et indiquer le bon chemin si on se met à son écoute.  Il suggérera de voyager, de se déplacer, de se mettre en mouvement, comme un nomade, pour découvrir d’autres mondes.  Il conseillera d’aller son chemin, ne laissant rien ni personne écarter de la route qu’on a soi-même choisie.

LA MONTAGNE

La puissante masse de roches dominant de haut les terres avoisinantes prend le même sens que le mont, traité juste avant.   Elle exprime un désir de conquête ou la possibilité de dépassement requérant un travail assidu, la force de volonté, le dépassement des contingences.   Elle offre une occasion d’élargir sa perspective et sa compréhension.

Elle symbolise la Pyramide de la Création;  le Centre spirituel en soi où il faut trouver force, lumière, amour et protection;  la Transcendance;  la Montée à gravir graduellement;  le Centre et la Hauteur (l’Élévation);  le Point de rencontre du Ciel et de la Terre dans la Lumière;  la Sortie du Principe (Alpha) ou le Retour au Principe (Oméga);  le Lieu d’apprentissage de la Manifestation;  l’Ossature de la Terre;  la Création qui aspire à l’élévation et à la fusion en montagneDieu;  la Vision spirituelle élargie par la spiritualisation;  la Matière immobile;  le Cycle cosmique bouclé;  le sommet du crâne où se trouve le premier centre spirituel, la Monade divine;  la grandeur et la prétention des hommes;  la pureté, la stabilité, l’immutabilité, la fermeté, la solidité;  un centre de retrait dans la solitude et le silence pour méditer;  le Lieu des théophanies et des visions;  la Présence ou la Proximité de Dieu Sommet);  le Séjour des Dieux, monde caché rempli de secrets qu’il faut éviter de troubler;  le Refuge de sécurité en temps de guerre ou de revers.  Ainsi, la montagne illustre la montée de la Vie, son évolution graduelle vers les hauteurs spirituelles, sa projection vers le Ciel (le Royaume de Dieu).  Elle n’existe que pour défier l’homme de l’escalader et l’homme n’existe que pour accepter le privilège ou l’honneur de ce défi : mener le Bon Combat.  Mais elle est peuplée d’entités redoutables qui défendent l’accès de son sommet, sur la Voie qui conduit au Ciel, pour en refouler le profane, le téméraire, l’inconscient, l’ignorant, l’homme ordinaire.  Car on ne peut gravir la Montagne sacrée qu’après s’être dûment préparé par les méthodes spirituelles adéquates et avérées, notamment par l’apprentissage de l’esprit de paix et d’amour.  Elle figure la succession des obstacles qui renforcit, élève et illumine.  Et son sommet réalise, par son point, l’Unité de la Pyramide évolutive.  Dans la vision du quotidien, la montagne suggère la révélation intuitive d’une apogée ou d’un appel à un grand destin.  On devrait ressentir être voué d’avance à accomplir de grandes choses.  Il ne reste qu’à trouver la juste direction, pour y parvenir, à s’y tenir avec fermeté et constance, à refuser de se laisser distraire de son but.  Si on est parfois arrêté par des obstacles, contraint à l’immobilité, on ne laissera jamais sa détermination fléchir.  Ainsi, la perception de sa destinée s’affirmera et deviendra de plus en plus claire.  On détient déjà une grande force intérieure et un calme étonnant dans l’adversité.  On fait preuve d’une stabilité prodigieuse qui évite de bouger inutilement ou de s’en faire pour rien.  La montagne figure les hauteurs intellectuelles et spirituelles de la Vérité et la Volonté divine qui transcendent les limites physiques et psychiques de la Nature.

La chaîne de montagnes peut évoquer un obstacle majeur qui barre la voie ou le désir aventureux de conquérir les grands espaces psychiques ou spirituels.

 

MONTAGNE AU PIC BLEU (La Grande) : La Demeure de «Shiva», correspondant, dans l’homme, au sommet du crâne.

MONTAGNE DE LA BÉNÉDICTION : Réalisation de la joie qui vient de l’expérience vécue.  La Voie du cœur ou le sentier de l’Amour pur.

MONTAGNE DE LA LUNE : L’œil gauche, figurant la nature inférieure de l’homme.

MONTAGNE DE L’ILLUMINATION : Réalisation de claire perception qui vient de l’expérience vécue, l’aboutissement de la voie de la tête, du sentier de la connaissance.

MONTAGNE DE LA TRANSFIGURATION : Le Lieu de la conscience où on comprend que toutes les créatures visibles et invisibles sont leur origine en Dieu.  On y comprend que la multiplicité n’est qu’apparente, que l’Unité s’exprime dans la diversité, sans séparation, et que toute expérience de vie est aussi valable qu’une autre.  Jésus y figure le Christ;  Moïse, la Loi;  et Elie, la prophétie réalisée.

MONTAGNE DE CRISTAL : Le Siège suprême du Père-Mère qui émet un rayonnement de platine, doré, violet et rose.  Le Père y tient un bâton de platine doré et la Mère, un bâton violet-rosé.

MONTAGNE DU PARADIS : Pour l’Islam, il y en a quatre : Ehud, Sinaï, Liban et Hassid.

MONTAGNE DU SOLEIL : L’œil droit, représentant l’Individualité, la Nature supérieure de l’homme.

MONTAGNE et VALLÉE : Flux et reflux d’énergie, impulsions cycliques.  L’expérience de lumière suivie d’une expérience sombre ou d’une période morne et stérile.  L’alternance de la vie et de la mort dans les cycles sans fin.

MONTAGNE SACRÉE : Le Lieu de rencontre du Ciel et de la Terre.  Pour l’escalader, pas besoin de réserves, de piolet, de cordes, de sacs, de chaumontagne sacréessures spéciales, car ses pieds nus font l’affaire.  On s’y élève selon son degré d’Amour (à ne pas confondre avec l’affection qui n’en est que le premier degré trop humain).  La Montagne sacrée invite à porter attention au présent, à se centrer sur lui, car il constitue le carrefour de ses réalités psychiques et spirituelles.  Elle illustre comment le Haut et le Bas se sont unis pour exprimer le moi actuel.  Elle fournit un aperçu sur qui on est en ce moment même, sur ce qui est à changer ou à conserver ici et maintenant.  Elle invite à percevoir constamment si on agit dans l’équilibre ou la perturbation.  Elle suggère de savoir se retirer dans le silence et la paix, au moment opportun, pour obtenir des réponses à ses questions.

MONTAGNE SAINTE : Centre où on se retire dans le silence, la solitude et la paix pour méditer, car c’est le Lieu des théophanies (manifestations divines) et des visions.

MONTAGNE (Escalade en) : Perception des efforts qu’on fait pour arriver à son accomplissement ou à son but.  Meilleure évaluation de sa situation de vie.  Force magnétique agissant dans tout ce qu’on entreprend pour accélérer son évolution.  Courage permettant d’accéder à de nouvelles forces lumineuses de la Vie universelle.  Détermination à faire preuve de créativité pour réaliser ses buts ou son Idéal.  Phase d’efforts soutenus apportant des résultats heureux ou fructueux.  Audace et clarté d’esprit dans ses expériences.

MONTAGNE (Pic de) : Le sommet du cerveau, le Centre de rencontre entre le Ciel et la Terre.  Le Lieu de la mort ou de la transition spirituelle.  Le Point d’Idéal.  L’Absolu réalisé.

MONTAGNE (Regarder du haut d’une) : Voir les choses de haut, prendre du recul face aux contingences.

MONTAGNE (Sommet de la) : La Réalisation ultime, le terme de l’Évolution humaine, l’Accomplissement parfait;  l’apogée desommet sa gloire;  la culmination de ses énergies;  le zénith de sa carrière;  l’aboutissement de ses projets;   le terme de sa vie;  etc.

LA VALLÉE

 

La dépressivalleeon de terrain entre deux montagnes exprime le lieu où se joignent la terre et l’eau du ciel, annonçant une transformation fécondante.  Elle symbolise le Monde de l’éphémère, lieu de repos et de sommeil ou lieu d’insouciance et d’ignorance.  Vide et ouverte par le haut, elle forme une coupe et figure la réceptivité aux influences célestes.  Vers elle convergent nécessairement les eaux venues des hauteurs voisines.  Elle désigne un point de convergence ou un espace médian où s’opèrent les transformations salutaires qui amèneront à donner de riches moissons.  Voilà le lieu où se joignent l’âme humaine et la grâce de Dieu pour donner les révélations et l’extase mystique.  Elle désigne parfois la caverne du cœur où s’est établie la vacuité qui permet de recevoir l’inspiration.  Pour le commun des mortels, elle illustre la synthèse des opposés au cœur d’une personnalité intégrée ou équilibrée.  Elle évoque l’humilité, la modestie, l’inertie.

VALLÉE D’AFFLICTIONS : La Géhenne, image du Purgatoire, puisqu’elle constituait le dépotoir fumant de la ville de Jérusalem, au temps de Jésus.

VALLÉE DE JOIE : La terre en extase par son degré d’illumination.  C’est l’état que prendra la terre lorsque l’Humanité aura collectivement accepté une vision éternelle des courants de la Perfection immortelle d’où vient le Moi spirituel de tout homme.

VALLÉE DE JOSAPHAT : Plaine entre Jérusalem et le mont des Oliviers où les hommes seront rassemblés, dit la Bible, au jour du Jugement dernier.  C’est le théâtre de la dernière sédition et de la dernière défaite du Monde en lutte contre les serviteurs de Dieu.  Mais par Jérusalem, il faut entendre la Jérusalem céleste, non la capitale de l’État d’Israël.

VALLÉE DE LA DÉCISION : Dans la Tradition judéo-chrétienne, la Vallée où se déroulera le Jugement dernier.

VALLÉE DE LA MORT : Dans la Cabale, il s’agit de «Geheremoth», la Demeure des Esprits de la Révolte et des Faux-Dieux, régis par Samaël dans son aspect de «Belzébuth» (aussi orthographié «Belzebudd»).

VALLÉE DE LARMES : La Terre de labeur où il faut mélanger la terre et l’eau qu’elle reçoit pour transmuter l’être et maîtriser le feu et l’air afin d’établir sa puissance spirituelle ou la Maîtrise transcendantale.  C’est le Lieu des transformations fécondantes.  Dans la Cabale, il s’agit de «Malkuth», la Terre, le Royaume, présentement polluée par les pensées et les sentiments impurs de l’Humanité où les émanations de la pensée collective s’emparent des feux de l’être et les agences dans des matrices imparfaites.  Désirant davantage se perpétuer sur son plan dense, dans les plaisirs artificiels, les hommes se revêtent ainsi d’une couche gluante de qualités et de conditions destinées à préserver les désirs de la personnalité (l’ego ou le petit moi), s’absorbant dans des entreprises visant à leur propre préservation.  Ainsi, ils obscurcissent la Lumière de la Vérité jusqu’à la contester, s’enfonçant tous les jours davantage dans le malheur de leur prison illusoire.

VALLÉE DE L’ILLUSION : Le plan astral, le plan de la sensibilité et des désirs, relié à Vénus.

VALLÉE DE L’OUBLI : La Géhenne, le Purgatoire où la flamme du regret et des remords consume l’être.vallee-des-immortels

VALLÉE DES IMMORTELS : Lieu mystérieux béni où les gens savaient concentrer en eux la force vitale par la respiration.  L’Extrême-Orient.

VALLÉE DES ROIS : Pour la Bible, la vallée bien gardée, près de Thèbes, avec ses falaises, ses éboulis et ses oueds, figurant la Voie royale vers l’Immortalité.  C’est le Lieu d’une harmonie universelle qui vibre et ne bouge pas.  Élément de la Tradition égyptienne.

VALLÉE DU SOMMEIL : La Géhenne, le Purgatoire.  On peut rapprocher cette expression du Fleuve de l’Oubli à d’autres traditions religieuses.

VALLÉE (Versant ensoleillé de la) : L’aspect yang, positif ou solaire, de la Lumière.

VALLÉE (Versant ombreux de la) : L’aspect Yin, magnétique, l’ombre de la Lumière.

 

LA PLAINE

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La grande étendue plate et unie la moins élevée d’une région symbolise les grands espaces illimités de l’Univers.  Par sa notion d’horizontalité, le moindrement ondulée, elle figure le pays idéal pour l’habitation des êtres humains et le lieu de la joie de vivre.  Selon sa nature et son état, elle peut évoquer ce qui est plus ou moins défriché et cultivé, donc clair, dans sa vie, ou une situation plus ou moins statique, monotone et ennuyante.  Le pays de l’homme ordinaire.

PLAINE DE LA GRANDE BATAILLE : Dans la Tradition hindoue, il s’agit du «Kurukshetra», l’équivalent de la Plaine d’Harmaguédon de l’Apocalypse (Évangile), le Lieu de la purification ou le Champ de bataille de l’aspirant à la Lumière, où il apprend à maîtriser ses pulsions, ses désirs et ses émotions, soit la dynamique de ses plans inférieurs.

PLAINE DE LA JOIE : Synonyme des Champs Élysées.

PLAINE DE MARS : En chiromancie, espace formé par le triangle de la ligne de Vie, de la ligne de Tête et de la ligne de santé.  Voir à monts.

PLAINE D’HERMAGUÉDON : Dans l’Apocalypse de la Bible, il s’agit du Champ de la Grande Bataille qui se livrera à la Fin des Temps.

PLAINE DU PARADIS : Pour les Gaëls, peuple ancien qui a colonisé la Gaule et l’Irlande, c’est le Paradis.

PLAINES DU CIEL : L’Immensité infinie dans laquelle circulent les Dieux.

© 2009-2015  Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime.

 

 

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