LA SÉCURITÉ QUI IMMUNISE ET CONFÈRE L’IMMUNITÉ ET L’IMPUNITÉ, IL FAUT LA CHERCHER AU BON ENDROIT!

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   La sécurité évoque l’état d’esprit confiant et serein de celui qui se croit à l’abridu danger ou qui n’est pas exposé à aucun danger.  Elle traduit l’état d’une situation écartant tout danger et présentant le minimum de risque, donc la situation qui s’obtient de l’organisation optimale des conditions matérielles et autres à tous points de vue.  La sécurité augmente avec la connaissance et elle diminue avec l’ignorance.  Dans ce contexte, elle peut toujours être menacée par le degré de l’obsession qu’on peut en avoir puisqu’on attire toujours puissamment ce qu’on redoute.

   En spiritualité, la sécurité se fonde sur la qualité des valeurs intérieures puisqu’elle décrit l’état où tous les besoins sont comblés dans le Soi divin.  Chacun ne peut satisfaire ce besoin que par lui-même en s’aimant, en croyant que le monde est sûr, en se félicitant de ce qu’il fait.  Seul le Soi divin peut répondre complètement à de pareilles attentes.  Car la sécurité extérieure se fonde d’abord sur un sentiment de sécurité intérieure, non sur l’avoir ou le revenu, la compétence, le nombre des possessions, la diversité du réseau des relations, le degré de notoriété, le niveau des études, le dynamisme d’une carrière, le courage personnesecuritel.

   Surtout, si on cherche la sécurité par l’inclusion d’une autre personne dans son projet de vie, on sera toujours déçu du monde extérieur.  Car ce que l’autre apporte ne supprime jamais la carence profonde qui réside en soi-même.  Du reste, on la retrouve dès son départ, ce qui fait précisément tellement mal, quand ce n’est pas cette faille qui a justifié le départ d’un être qui en avait assez d’être asservi ou vampirisé.

    La sécurité évoque l’état d’esprit confiant et serein de celui qui se croit à l’abri du danger ou qui n’est pas exposé à aucun danger.  Elle traduit l’état d’une situation écartant tout danger et présentant le minimum de risque, donc la situation qui s’obtient de l’organisation optimale des conditions matérielles et autres à tous points de vue.  La sécurité augmente avec la connaissance et elle diminue avec l’ignorance.  Dans ce contexte, elle peut toujours être menacée par le degré de l’obsession qu’on peut en avoir puisqu’on attire toujours puissamment ce qu’on redoute.

   En spiritualité, la sécurité se fonde sur la qualité des valeurs intérieures puisqu’elle décrit l’état où tous les besoins sont comblés dans le Soi divin.  Chacun ne peut satisfaire ce besoin que par lui-même en s’aimant, en croyant que le monde est sûr, en se félicitant de ce qu’il fait.  Seul le Soi divin peut répondre complètement à de pareilles attentes.  Car la sécurité extérieure se fonde d’abord sur un sentiment de sécurité intérieure, non sur l’avoir ou le revenu, la compétence, le nombre des possessions, la diversité du réseau des relations, le degré de notoriété, le niveau des études, le dynamisme d’une carrière, le courage personnel.

   Surtout, si on cherche la sécurité par l’inclusion d’une autre personne dans son projet de vie, on sera toujours déçu du monde extérieur.  Car ce que l’autre apporte ne supprime jamais la carence profonde qui réside en soi-même.  Du reste, on la retrouve dès son départ, ce qui fait précisément tellement mal, quand ce n’est pas cette faille qui a justifié le départ d’un être qui en avait assez d’être asservi ou vampirisé.

   La sécurité invite à s’occuper en priorité de sa propre évolution en se conformant aux lois naturelles et aux principes cosmiques, en évitant de s’impliquer de façon indue dans la vie des autres, car, alors, on investit ses meilleures énergies dans le projet de l’autre, non dans le sien.  Quand on s’immisce indument dans la vie d’autrui, on s’ajoute un dixième de son poids d’obscurité.  En effet, la sécurité ne peut être assurée que par un plus grand que soi en visant quelque chose qu’on veut atteindre pour soi afin d’ensuite mieux le rayonner vers les autres.  Voilà comment on peut rendre les petites blessures et les événements insignifiants de la vie moins lourds par rapport à ce qu’on cherche.

   Pour se sentir en sécurité, il faut sentir qu’on évolue, qu’on grandit, qu’on se renforce, qu’on élargit le champ de vision de son monde, qu’on grandit en conscience, ce qui implique à la fois la prudence et la sagesse.  Car on ne peut s’assurer la sécurité qu’en cessant de transgresser les lois naturelles et les principes cosmiques.  Or, pour cesser de les transgresser, il faut d’abord les connaître.

   Pour atteindre l’état de sécurité, on gagne à se valoriser par ce qu’on est, non pas à ce qu’on fait, paraît ou possède, et encore moins par ce qu’un autre apporte dans sa vie.  Comme dirait l’autre, un être ne peut compter sur la sécurité que s’il mène une bonne vie, ce qu’il faut éviter de définir en termes d’un système de valeur particulier, mais en termes de cohérence avec les impératifs de la vie en incarnation.

   Un être n’a jamais à vivre ce qu’il n’a pas attiré consciemment ou inconsciemment.  Alors, c’est dans la compréhension de ce qu’il peut s’attirer par son état d’esprit, particulièrement par ses paroles, ses pensées, ses ressentis, ses actes, qu’il peut trouver son salut.  En tout cas, elle ne peut résulter de la lâcheté, notamment de celle de projeter sur autrui ses propres torts, ce qui est le summum de l’irresponsabilité et la plus grande atteinte personnelle à sa propre sécurité.

   Ici, on pourra opiner qu’un être ne peut pas tout prévoir des conditions extérieures.  C’est ignorer que les conditions extérieures, mêmes les catastrophes ou les conditions climatiques, chacun y participe à sa manière, puisqu’ils répondent à la qualité psychique d’un milieu.  Ainsi, si un être vit en conformité avec l’Univers, il sera toujours appelé à se trouver là où il peut compter sur la plus grande sécurité.  Même qu’il peut être protégé sur place quand tous les autres peuvent être affectés par les conditions ambiantes.

   Chose certaine, nul ne pourra trouver la sécurité dans le statu quoi, un choix facile à faire en raison de la force des habitudes et des routines, car il amène à stagner et à régresser, à rapetisser, à perdre des forces.  Puisque tout change sans cesse, un être ne peut s’assurer la sécurité qu’en s’ouvrant au changement et à la nouveauté, en coulant avec le flot de la vie, en prenant des risques calculés pour affiner son expérience – ce qui écarte la témérité.  Surtout, il gagne à s’ouvrir toujours davantage, surtout au niveau du cœur, pour découvrir toujours mieux qui il est et ce qu’il peut faire.  En innovant sur un point, il se sent plus fort et plus courageux dans les autres domaines de sa vie.  En cherchant à préserver  sa zone de confort, un environnement sûr, un être piétine sur place, ne pouvant que sombrer dans la peur et perdre sa sécurité.

   La sécurité invite à s’enraciner dans son corps, à clarifier son mental, à vivre amoureusement, à s’insérer dans le présent, mais surtout à se relier intimement à sa Source intérieure de manière à parvenir à maîtriser tout son être.  Dans un monde apparemment hostile et cruel, les désirs de protection et de sécurité sont légitimes, mais ils deviennent morbides et d’autant inefficaces lorsqu’ils tentent de contribuer à la reproduction de gestes infantiles et rétrogrades, comme l’enfant qui court se réfugier dans les bras de sa mère à la moindre atteinte.

   Nombre de gens recourent ainsi à des substituts de l’action dès que la vie se corse un peu, bien capables de se procurer des amulettes ou de recourir à des procédés apparemment magiques pour tenter de conjurer le sort dans une volonté de se protéger artificiellement, ce qui est impossible.  Ceux-ci témoignent du fait qu’ils ont peur de naître à la réalité, à la vie, à la responsabilité personnelle, à la maturité psychique et spirituelle.  Ils cherchent toute leur vie l’asile serein du ventre maternel.  Aussi, n’est-il pas rare que ces êtres, aussi puérils qu’infantiles, s’endorment dans la position du fœtus, un oreiller ou un animal en peluche entre les bras, au creux d’un lit bien chaud et douillet, dans une chambre sombre et bien close.

   En passant, la spiritualité ne dédaigne en rien la sécurité financière puisque tout être est appelé à ressembler à Dieu, à détenir tous ses attributs, dont l’un d’eux se nomme la prospérité qui va jusqu’à l’opulence.  L’important c’est d’en faire un moyen d’évolution plutôt qu’une une fin en soi.  L’argent apporte l’autonomie, un sentiment de dignité personnelle, le respect de soi, permettant de se procurer tout ce qui est indispensable (autant le nécessaire qu’une part de l’essentiel) pour grandir et se réaliser pleinement.

  Pour le commun des mortels, qui pense peu à découvrir la véritable manière d’assurer sa sécurité, le bonheur consiste à jouir des avantages qu’il attribue uniquement à la mort : éternité, sécurité, invulnérabilité.  Il n’ose pas penser qu’au terme d’une recherche bien menée, qui inclurait sa globalité, il pourrait s’assurer tout cela de son vivant et qu’il est conscient d’être en vie.

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  Le thème de la sécurité invite à vérifier si on s’occupe, en priorité, de sa propre évolution en se conformant aux lois naturelles et aux principes cosmiques. Et cela, en évitant de s’impliquer de façon indue dans la vie des autres, car celui qui se mêle de l’affaire des autres sans y être invité ni avoir la compétence investit alors ses meilleures énergies dans le projet de l’autre, non dans le sien.  Quand on s’immisce indument dans la vie d’autrui, on s’ajoute un dixième de son poids d’obscurité.  En effet, la sécurité ne peut être assurée que par un plus grand que soi en visant quelque chose qu’on veut atteindre pour soi afin d’ensuite mieux le rayonner vers les autres.  Voilà comment on peut rendre les petites blessures et les événements insignifiants de la vie moins lourds par rapport à ce qu’on cherche.

   Pour se sentir en sécurité, un être doit sentir qu’il évolue, qu’il grandit, qu’il se renforce, qu’il élargit le champ de vision de son monde, qu’il sait prendre du recul, qu’il croît en conscience, ce qui implique à la fois la prudence, le discernement et la sagesse.  Car il ne peut s’assurer la sécurité qu’en cessant de transgresser les lois naturelles et les principes cosmiques, en vivant et en laissant vivre, dépourvu de jugements de valeur, et en s’occupant bien de ses propres affaires, laissant autrui faire de même.  Or, pour cesser de transgresser les lois naturelles et les principes cosmiques, il faut commencer par les apprendre.

   Pour atteindre l’état de sécurité, on gagne à se valoriser par ce qu’on est, non pas à ce qu’on fait, paraît ou possède, et encore moins par ce qu’un autre apporte dans sa vie.  Comme dirait l’autre, un être ne peut compter sur la sécurité que s’il mène une bonne vie, ce qu’il faut éviter de définir en termes d’un système de valeur particulier, mais en termes de cohérence avec les impératifs de la vie en incarnation.

   Un être n’a jamais à vivre ce qu’il n’a pas attiré consciemment ou inconsciemment.  Alors, c’est dans la compréhension de ce qu’il peut s’attirer par son état d’esprit, particulièrement par ses paroles, ses pensées, ses ressentis, ses actes, qu’il peut trouver son salut.  En tout cas, elle ne peut résulter de la lâcheté, notamment de celle de projeter sur autrui ses propres torts, ce qui est le summum de l’irresponsabilité et la plus grande atteinte personnelle à sa propre sécurité.

   Ici, on pourra opiner qu’un être ne peut pas tout prévoir des conditions extérieures.  C’est ignorer que les conditions extérieures, mêmes les catastrophes ou les conditions climatiques, chacun y participe à sa manière, puisqu’ils répondent à la qualité psychique d’un milieu.  Ainsi, si un être vit en conformité avec l’Univers, il sera toujours appelé à se trouver là où il peut compter sur la plus grande sécurité.  Même qu’il peut être protégé sur place quand tous les autres peuvent être affectés par les conditions ambiantes.

   Chose certaine, nul ne pourra trouver la sécurité dans le statu quoi, un choix facile à faire en raison de la force des habitudes et des routines, car il amène à stagner et à régresser, à rapetisser, à perdre des forces.  Puisque tout change sans cesse, un être ne peut s’assurer la sécurité qu’en s’ouvrant au changement et à la nouveauté, en coulant avec le flot de la vie, en prenant des risques calculés pour affiner son expérience – ce qui écarte la témérité.  Surtout, il gagne à s’ouvrir toujours davantage, surtout au niveau du cœur, pour découvrir toujours mieux qui il est et ce qu’il peut faire.  En innovant sur un point, il se sent plus fort et plus courageux dans les autres domaines de sa vie.  En cherchant à préserver  sa zone de confort, un environnement sûr, un être piétine sur place, ne pouvant que sombrer dans la peur et perdre sa sécurité.

   La sécurité invite à s’enraciner dans son corps, à clarifier son mental, à vivre amoureusement, à s’insérer dans le présent, mais surtout à se relier intimement à sa Source intérieure de manière à parvenir à maîtriser tout son être.  Dans un monde apparemment hostile et cruel, les désirs PROTECTION-CELESTEde protection et de sécurité sont légitimes, mais ils deviennent morbides et d’autant inefficaces lorsqu’ils tentent de contribuer à la reproduction de gestes infantiles et rétrogrades, comme l’enfant qui court se réfugier dans les bras de sa mère à la moindre atteinte.

   Nombre de gens recourent ainsi à des substituts de l’action dès que la vie se corse un peu, bien capables de se procurer des amulettes ou de recourir à des procédés apparemment magiques pour tenter de conjurer le sort dans une volonté de se protéger artificiellement, ce qui est impossible.  Ceux-ci témoignent du fait qu’ils ont peur de naître à la réalité, à la vie, à la responsabilité personnelle, à la maturité psychique et spirituelle.  Ils cherchent toute leur vie l’asile serein du ventre maternel.  Aussi, n’est-il pas rare que ces êtres, aussi puérils qu’infantiles, s’endorment dans la position du fœtus, un oreiller ou un animal en peluche entre les bras, au creux d’un lit bien chaud et douillet, dans une chambre sombre et bien close.

   En passant, la spiritualité ne dédaigne en rien la sécurité financière puisque tout être est appelé à ressembler à Dieu, à détenir tous ses attributs, dont l’un d’eux se nomme la prospérité qui va jusqu’à l’opulence.  L’important c’est d’en faire un moyen d’évolution plutôt qu’une une fin en soi.  L’argent apporte l’autonomie, un sentiment de dignité personnelle, le respect de soi, permettant de se procurer tout ce qui est indispensable (autant le nécessaire qu’une part de l’essentiel) pour grandir et se réaliser pleinement.

  Pour le commun des mortels, qui pense peu à découvrir la véritable manière d’assurer sa sécurité, le bonheur consiste à jouir des avantages qu’il attribue uniquement à la mort : éternité, sécurité, invulnérabilité.  Il n’ose pas penser qu’au terme d’une recherche bien menée, qui inclurait sa globalité, il pourrait s’assurer tout cela de son vivant et qu’il est conscient d’être en vie.

© 2012-15, Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime.

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