LA PSYCHIATRIE ET LA PSYCHANALYSE PEUVENT-ELLES AIDER À RETROUVER L’ÉQUILIBRE ET À OUVRIR LA CONSCIENCE?

La psychanalyse désigne l’étude et le traitement des maladies mentales.  Il s’agit de l’art médical qui traite des états graves de dysharmonie psychique entraînant souvent l’incapacité.  Selon le Dictionnaire Larousse, la psychiatrie est la «spécialité médicale dont l’objet est l’étude et le traitement des maladies mentales, des troubles psychologiques», tandis que la psychanalyse, surtout répandue en Europe, désigne la «méthode d’investigation psychologique visant à élucider la signification inconsciente des conduites et dont le fondement se trouve dans la théorie de la vie psychique formulée par Freud.»  Donc deux professions à mettre un peu dans le même sac.  On pourrait y inclure la psychologie, même toutes les formes de psychothérapies.  En l’occurrence, on devrait se rappeler que ce n’est pas par hasard qu’un être choisit un métier ou une profession plutôt qu’une autre : il aspire à s’aider avant de pouvoir en aider d’autres, à partir de ses propres découvertes.  Sauf que certains commencent à aider avant d’avoir terminé de s’aider ou de se faire aider, d’où ils agissent comme des aveugles qui conduisent des aveugles, des infirmes qui tentent d’en psychiatriesoulager ou d’en harmoniser d’autres.  À ce propos, Karl Kraus a osé dire : «La différence entre les psychiatres et les autres malades mentaux, c’est un peu le rapport entre la folie convexe et la folie concave.»

Le psychiatre se propose comme guide pour visiter les profondeurs ténébreuses de l’être, le labyrinthe du subconscient.  Mais il s’infiltre là dans un monde multiforme et multidimensionnel.  Aussi, advenant qu’il manque de vision spirituelle, est-il capable de discerner, parmi les matériaux qui surgissent des profondeurs abyssales, de quel plan de conscience particulier ils ressortissent et est-il capable de les agencer correctement?  Il enferme souvent celui qu’il guide dans une nuit plus noire que celle des enfers où il était sur le point de sortir pour voir le jour.  Du reste, en psychiatrie, on traite souvent de fou ou de déséquilibré un être qui expérimente en fait des éclairs supra-conscients.  Qui a vraiment la compétence et le droit d’examiner dans les catégories qui relèvent des expériences éveillées ou oniriques relevant de la transcendance?

Bien qu’il existe une grande diversité de points de vue et de méthodes dans le traitement des maladies mentales, certains principes restent communs à tous.  Visant à la transmutation de la conscience humaine, elle doit chercher à établir l’harmonie globale de l’être, sous les aspects physique, mental et naturel.  Et pour obtenir un changement durable, elle doit s’appuyer sur les principes métaphysiques fondamentaux, dont les principaux sont la foi, la naissance intérieure et la responsabilité personnelle.  Induire la foi comme fondement du traitement psychothérapeutique pourra surprendre certains praticiens.  Mais on ne parle pas ici de la foi au sens religieux, mais ‘une certitude incontestable ou de la confiance appuyée sur la connaissance née de l’expérience répétée.  Or on sait qu’en psychothérapie, la résistance, le contraire de cette certitude incontestable, constitue le principal frein à la libération de l’inconscient. Elle représente l’opposition pulsionnelle déployée inconsciemment pour contrer tout essai de mettre l’inconscient à nu.  Elle inclut donc une peur instinctive qui empêche de se faire vraiment confiance, d’accepter inconditionnellement l’aide du thérapeute, de s’ouvrir à la vie de manière à se prendre progressivement en charge.

Depuis l’enfance, tout être s’exerce à organiser consciemment sa vie.   À divers degrés, chacun étouffe des pulsions de sa conduite et des actes destructeurs dans son processus qui l’amène à s’intégrer à la société.  Chacun refoule ces éléments impulsifs hors de la connaissance consciente, il les enfouit dans son inconscient.  Avec le temps, l’inconscient devient une boîte de Pandore remplie d’un contenu plutôt sinistre et menaçant.  Le libérer de ses monstres se ressent comme une menace à la sécurité et à l’ordre personnel ou social tels qu’on les perçoit.  Même l’être le plus équilibré fait l’expérience de la résistance du contenu inconscient, à un moment ou à un autre, dans es expériences quotidiennes.  Dans ses formes atténuées, elle se signale comme un doute sur soi-même, une remise en question de ses aptitudes ou de ses compétences, une tendance à esquiver ses responsabilités, une incompréhension de la vie, de l’inquiétude face à l’avenir, qui se traduisent par l’irritabilité, l’impatience, la confusion, une démission temporaire.  Dans des formes plus graves, elle s’exprime sous formepsychiatrie-camisole-force de suspicion, d’agitation, de tension, d’angoisse, de blocage de la mémoire, de frein à la perception, de contradiction dans l’agir en regard es événements courants de la vie.

Avec un peu d’objectivité, on admettra que la résistance s’appuie toujours sur des croyances admises qui, tôt ou tard, font ressentir leur inadéquation ou leur part de fausseté, révélant leur inaptitude à servir de fondement solide de la connaissance intérieur au niveau de l’inconscient.  La lucidité qui incline vers la confusion dénote un contenu inconscient largement contestable fondé sur des croyances inconsistantes.  Toute dysharmonie psychique grave, qu’exprime la maladie mentale, repose sur des croyances immatures qui engendrent l’émotion et la peur, auxquels on accorde un pouvoir purement imaginaire.  En cela, la peur résulte d’un sentiment de menace vague, au niveau de l’inconscient, qui fait croire à une possibilité de perte, de domination ou de destruction.  Alors, on croit son intégrité physique, ses désirs affectifs et ses besoins fondamentaux en péril.  Cela n’étonne pas puisque l’éducation, la formation des valeurs spirituelles et le développement du sens social passent souvent par la menace de supprimer des droits ou des biens pour conformer la conduite.  Ensuite, au niveau du développement de sa personnalité, chaque être est porté à recourir à ce pouvoir apparent de la peur pour assurer la préservation de son intégrité physique et psychique.  Ainsi, le recours au pouvoir de la peur renforce la croyance en son pouvoir.  Lorsque la croyance au pouvoir de la peur dépasse les limites raisonnables ou psychiquement acceptables, un sujet sombre dans la maladie mentale.

En effet, dans la maladie mentale, cette croyance développe un mécanisme inconscient de manipulation des instances de la personnalité, soit des éléments émotionnels, psychiques et spirituels, se répercutant presque toujours jusque dans le physique.  La croyance dans le pouvoir de la peur mine la confiance née de l’expérience, contraignant la personnalité à revenir à des types de conduite conditionnés plutôt qu’à favoriser l’expérience créatrice et le développement de la maturité.  Alors, la personnalité recourt à la peur pour justifier une conduite égocentrique et régressive au nom de sa propre survie.  Voilà pourquoi la seule compréhension intellectuelle des mécanismes inconscients s’avoue inefficace à produire un changement stable et significatif dans la personnalité d’un malade.  La compréhension rationnelle peut même accroître la résistance au traitement, l’inconscient recourant à des blocages plus subtils et secrets.  En effet, dans son effort intellectuel pour retrouver la sécurité par l’ordre, la personnalité rationalisera l’expérience au lieu de l’intégrer.  Le sujet déterminera peut-être des expériences nouvelles, mais elles continueront de se lier inconsciemment à des schèmes compatibles en rapport avec des attitudes déjà établies.  Autrement dit, le sujet continue d’avoir recours à un raisonnement fondé sur la peur, d’où il s’élabore une autre croyance qui compose simplement avec la résistance qu’il exerce déjà.

Ainsi, le malade mental ne peut retrouver l’espoir de guérison que dans la connaissance intérieure qui commence par le rétablissement, dans l’intériorisation, du lien avec le Centre divin.  On entend ici par connaissance intérieure, non seulement l’incursion dans l’inconscient, mais l’aptitude de percevoir et de comprendre clairement la nature intime des choses et le lien qui unit la nature intérieure et la nature extérieure.  Cette nouvelle connaissance forme un fondement plus large sur lequel le sujet peut asseoir sa réalité personnelle.  Une telle connaissance globale de son être constitue un instrument essentiel en psychothérapie, qui se limite trop souvent aux considérations uniquement physique, émotionnelles et psychiques de l’être.  L’Esprit n’est-il pas la Source de l’être?  Et n’est-ce pas lui qui lie tous les aspects de l’être et les fonde?  De toute évidence, c’est par la connaissance intérieure ainsi définie qu’un être pourra reconnaître l’état anormal qu’il a progressivement développé en lui par manque d’accord intérieur et par manque de compréhension des conditions de cet accord.  La connaissance intérieure découle de la synthèse des idées subconscientes qui se révèlent par des moyens appropriés pour passer dans l’esprit conscient avec une grande clarté et sans effort de la volonté.  Toute évolution, comme toute thérapie, passe par la connaissance de soi et par l’idéation créatrice, mais en incluant l’intuition pour qu’elles ne se fondent pas uniquement sur des croyances qui ramènent toujours la peur et un sentiment d’insécurité.

Qu’on l’admette ou le refuse, en psychothérapie, les croyances ne peuvent être transmises que par un processus intuitif qui surgit d’une forme de contemplation dans la détente.  Dans une atmosphère de calme, le sujet met en retrait son esprit rationnel pour employer ses symptômes comme centre de concentration.  Ces symptômes sont inclus dans les souvenirs et les émotions réprimées qu’il laisse émerger dans sa conscience et qu’il dissout en les découvrant et ne les reconnaissant dans sa verbalisation.  Alors, il peut identifier les fausses croyances qu’il entretenait et faire de la lace à d’autres conceptions pour autant il a dissipé les premières.  Il développe son objectivité, approfondit son monde intime, acquérant une liberté plus large.  Au niveau psychologique, la responsabilité personnelle sert également de fondement à la conduite du sujet, du fait qu’elle réduit sa dépendance a l’égard des forces qui dépassent sa propre volonté.  L’état de maturité se définit précisément par la récupération du pouvoir de son libre arbitre pour assumer les contingences de sa propre vie à tous égards.  Dans l’émancipation de l’enfance au stade de l’adulte, surtout à l’adolescence, la responsabilisation progressive mène à la complète liberté personnelle.

On ne se cachera pas que, pour la majorité des gens des générations antérieures, leur éducation a biaisé leur sens de la responsabilité, ce qui explique largement l’incidence élevée des maladies mentales.  Telle qu’on leur faisait comprendre la responsabilisation, avec son cortège d’attitudes protectrices et de défense personnelle face aux agressions potentielles, ils ne pouvaient que développer des grands sentiments d’impuissance, d’insuffisance et de vulnérabilité.  Très jeune, ils ont vu leur liberté grandement réprimée par es croyances, des tabous, des superstitions, des directives autoritaires, accumulant les refoulements personnels.  Pour eux, se comporter de façon responsable ne signifiait pas exercer sa liberté de chois, mais se soumettre à des directipsychiatrie-fousves pour conformer leurs sentiments et leur agir.  Ainsi, on gonflait le nombre de défenses et interdictions au détriment des permissions et des gratifications, attirant plus leur attention sur leurs erreurs que sur leurs réussites.

Voilà comment les inviter à se dégager des croyances qui sous-tendent leurs remous émotionnels, fondés sur la peur et le sentiment de culpabilité pour se libérer suscite une réaction paradoxale : ils souhaitent cette libération, mais la craignent en même temps.  Alors, on comprend la résistance du sujet atteint d’une maladie mentale qui se fait traiter.  Se formant une nouvelle vision de son destin, il comprend mal, par manque d’expérience, comment il devra désormais assumer sa responsabilité, et il redoute un échec.  De ce fait, il suppute inconsciemment où réside le moindre mal, le plus sécurisant pour lui : ans ses anciennes attitudes ou dans les nouvelles?  Il a besoin de vivre une transition entre sa vielle conception de la liberté et sa nouvelle.  Au début, il perçoit sa nouvelle conception de la liberté comme une charge supplémentaire de responsabilités, éveillant ses vieilles culpabilités et son antique honte.  Il peut même en venir à considérer la responsabilité qui conduit à faire de nouveaux choix comme une hérésie ou un piège.

Pourtant, le sujet ne peut espérer guérir sans apprendre à exercer son libre vouloir car il continuerait à bloquer le flot des énergies de guérison.  En cela, il peut être aidé, mais il doit se traiter par lui-même.  Chez les malades mentaux, le point critique de la guérison réside donc dans l’acceptation personnelle de la guérison.  Le patient doit dépasser sa conception qui l’amène à concevoir la responsabilité comme une hérésie ou un piège et faire face progressivement à ses peurs dans leurs multiples expressions inconscientes.  Ces peurs l’empêchent de se concevoir comme un tout qu’il faut harmoniser pour recouvrer la santé.   Voilà pourquoi le psychothérapeute doit d’abord fournir des moyens de soutien simples pour alléger les tensions émotionnelles et les pensées négatives, toujours intenses, afin d’assurer un répit intime à l’angoisse et un espace intérieur pour le choix de la guérison.  À ce stade, par ses connaissances ou ses expériences, le psychothérapeute saura sûrement faire dévier les transferts du sujet qu’il traite, qui découlent de sa dépendance, mais ce n’est pas forcément le cas des mais et des parents qui entourent le sujet de leur aide.  Dans leur bonne volonté, ils peuvent encourager les transferts du sujet et retarder son rétablissement en assumant une trop large part de son fardeau.   Tous n’ont pas une notion approfondie de l’empathie.

Dans leur éducation, la majorité des gens ont été entretenus dans la dépendance à l’égard de l’autorité, qui s’est trop exercée comme un soutien dans les domaines où ils manquaient d’expérience et de confiance en eux.  Puisque la société a conféré une image d’autorité au psychothérapeute, image renforcée par le déclin des autorités religieuses, celui-ci ayant souvent remplacé les prêtres et les ministres du culte comme confidents privilégiés, il est entouré d’une aura de prestige qui renforcit la possibilité de transfert, dont il sait généralement se protéger.  Mais les intimes du malade qui ne savent le faire peuvent développer des symptômes similaires aux siens, s’ils perdent leur neutralité et leur objectivité.  Surtout qu’il est toujours fort valorisant de se croire utile à quelqu’un.  À partir de cette dépendance de son milieu immédiat, le malade peut retarder sa guérison en s’appuyant sur ses vieilles croyances, par rapport à l’autorité, pour se donner un sentiment de sécurité et un besoin factice de contrôle de l’extérieur.  C’est en cela que tous ceux qui aident le malade, le psychothérapeute compris, doivent bien souvent redéfinir leur notion de l’autorité.  Comme produit de sa société, même le psychothérapeute peut garder une notion partiellement fausse de l’autorité, même de la nature de l’expérience humaine de la vie.  Il peut légitimement se servir de l’autorité que le crédit populaire et le sujet qu’il traite lui accorde, mais en le situant bien dans le contexte de l’évolution de la conscience humaine.  Ainsi, il lui fournira consciencieusement le soutien temporaire dont il a beso8n selon l’intensité de sa souffrance.  Mais il devra faire sentir l’aspect circonstanciel de son soutien, amenant le sujet à se dégage de toute sujétion arbitraire à son endroit au fur et à mesure que sa souffrance diminue.

Cela il le sait de sorte que, en général, il l’éduque bien à l’exercice de son libre vouloir, l’amenant à reconnaître sa propre autorité dans son expérience quotidienne.  Mais il devrait l’aider à découvrir des domaines de responsabilité plus grands encore, ce qu’il rejette trop souvent comme un domaine hors de sa compétence ou de ses attributions.  Il s’agit du domaine des valeurs spirituelles sans lesquelles un sujet, traité uniquement au niveau du décryptage de ses mouvements intérieurs inconscients, peut toujours rechuter.   Pour recouvrer la santé, il ne suffit pas à un sujet malade de réaliser consciemment ce qui se fomente dans son inconscient.  Il doit également transmute ses croyances en connaissance en s’appuyant sur des valeurs spirituelles puisque, au fond, c’est souvent ce qui lui manque le plus et que c’est le seul gage de maîtrise de la vie.  Si un psychothérapeute répugne à dispenser ce soutien, pour une raison ou pour une autre, il devrait au moins informer le sujet de l’impérieuse nécessité de se prendre en charge globalement jusqu’à comprendre l’incidence de la conscience spirituelle et l’inciter à aller consulter des compétences reconnues en la matière, l’invitant à sonder ses affinités intimes pour faire son choix.  Aussi devrait-il connaître les différents enseignements spirituels qui se dispensent dans son milieu pour l’en informer, de la même manière qu’il sait diriger vers la spécialité médiale appropriée celui qui est physiquement malade.  Mais cela, il faut avoir de la conscience et de la modestie pour l’accepter, n’est-ce pas?

Pourtant, tout psychothérapeute croyant, qu’il soit pratiquant ou pas, admet que l’autorité suprême appartient à l’Absolu, peu importe son nom.  Et il ne peut qu’avoir l’intuition qu’il est la Source de l’énergie et de l’accord intérieur.  Aussi doit-il admettre qu’une autre instance a un droit de regard dans la prise en charge globale d’un sujet qui veut guérir complètement.  Voilà où la psychothérapie néglige parfois une part de son rôle et apparaît souvent prétentieuse, pour ne pas dire orgueilleuse et condescendante.  Tout être humain a besoin de fonder son système de croyances sur l’Absolu, comme guide pour assurer la direction de son évolution et asseoir solidement sa confiance.  Il ne peut se confronter à ses dépenpsychiatrie-gouvernementdances sans, en même temps, aborder les questions relatives à sa foi.  Il ne peut transmuter toutes ses dépendances et ses limitations qu’en ouvrant sa conscience spirituelle pour mieux comprendre les lois de la Nature et les principes cosmiques qu’il ne peut qu’enfreindre, s’il les ignore, ce qui explique une large part de sa confusion intérieure.  La guérison physique et psychique ne peut que se compléter par une étude de la métaphysique, de l’aspect spirituel de la vie.  Et on le voit, on préfère simplement l’oublier.  Mais c’est une négligence qui fait toute la différence entre le rétablissement temporaire, plus ou moins prolongé, et l’accession à l’harmonie permanente par l’illumination de la conscience.

Si elle ne veut pas seulement soulager, la psychothérapie doit amener un être à se prendre en charge dans sa globalité pour connaître l’état de bien-être et d’harmonie parfaits.  Dans l’état d’harmonie, un sujet découvre l’aptitude à réagir spontanément et de manière appropriée aux événements et aux circonstances de sa vie, en changeant ce qu’il peut et en s’adaptant pour le reste.  Mais la notion d’harmonie dépasse cette conception limitée pour inclure la réalisation de l’identité propre d’un sujet avec la Conscience cosmique.  Aussi doit-il également fusionner avec la Source, pour transformer son expérience en un état d‘être de perfection et de plénitude, ce qui est son ultime responsabilité.

 

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