ASSOCIÉE AUX PLANÈTES SACRÉES, LA GAMME MUSICALE, NOTE PAR NOTE, FAIT VIBRER UN CHAKRA OU CENTRE D’ÉNERGIE DIFFÉRENT… 

Dans un système musical, rattachée à une clé particulière, la gamme désigne une suite de sons conjoints, ascendants ou descendants ou des notes musicales, disposés à des intervalles établis par convention pour remplir une octave.  Elle sert à la composition de la musique, elle module le chant et elle supporte la danse.

Dans le concept de gamme, le plus souvent, c’est la composante mélodique qui prédomine : celle-ci est donc considérée comme une succession de notes dans laquelle les intervalles mélodiques et conjoints sont pris en considération.  Par exemple, dans la gamme majeure : do, ré, mi, fa, sol, la, si, do, ces intervalles sont : deux tons, un demi-ton, trois tons, un demi-ton.  On reconnaît do (tonique), (sus tonique), mi (médiante), fa (sous dominante), sol (dominante), la (sus dominante), si (sensible) et de nouveau do (tonique à l’octave).  Le mot peut cependant être egamme-de-musiquemployé dans le sens d’un environnement musical, tenant compte, non seulement de la mélodie, mais aussi de l’harmonie. Par exemple, l’expression «gamme en do majeur» équivaut à la «tonalité de do majeur».

Lorsque les degrés d’une échelle sont hiérarchisés, ce sont les intervalles entre chaque note de la gamme et la note fondamentale — c’est-à-dire la tonique du système tonal ou la finale du système modal — qui sont pris en considération.  Par exemple, dans la gamme majeure do, ré, mi, fa, sol, la, si, do ayant do pour tonique, ces intervalles sont respectivement : l’unisson, la seconde, la tierce, la quarte, la quinte, la sixte, la septième et l’octave.  Évidemment, que le mot soit pris dans un sens exclusivement mélodique, ou bien, dans un sens plus large d’«environnement musical», une gamme doit être accordée. La juste fréquence des différents degrés d’une gamme représente une question délicate qui a trouvé des solutions différentes selon le type de musique, les instruments ou les époques.

Dans la musique occidentale, on parle de gammes diatoniques (majeure et mineure) et de gammes chromatiques (douze sons de l’échelle tempérée), qui prennent le nom de la note par laquelle elles commencent.  Les notes de musique, nommées arbitrairement, proviennent de l’hymne à Jean-Baptiste qui se lit : UT queant laxis resonare fibris / MIra gestatorum / FAmuli tuorum  / SOLve polluti / LAbii reatum / Sancte Ioannes.  De nos jours, l’Ut est généralement remplacé par le Do. Les notes de la gamme correspondent aux centres énergétiques de la colonne vertébrale et aux influences planétaires : do inférieur, centre-racine, Mars;  ré, centre sacré, Soleil;  mi, plexus solaire, Vénus;  fa, centre cardiaque, Terre;  sol, centre laryngien, Jupiter;  la, centre frontal, Mercure;  si, centre coronal, Lune;  do supérieur, centre christique ou Lotus aux mille pétales, Saturne.  La gamme pentatonique réfère à la musique chinoise.  Gamme-Musique

La gamme vibratoire révèle les différentes intensités d’une même vibration qui part de la Source divine et atteint la matière.  Chaque octave de la gamme vibratoire double le nombre précédent des vibrations.  Il existe donc un rapport harmonique particulier entre toutes les manifestations des vibrations cosmiques.  Voici l’extension de la Gamme vibratoire cosmique, du plus dense au plus subtil: toucher — son — haute fréquence (ondes radiophoniques) — séquence vibratoire non encore révélée à l’homme — infrarouge (donnant la chaleur) — lumière visible — ultra-violet — rayons X — rayons gamma — rayons cosmiques.

L’Arc-en-ciel cosmique se réfracte alors ainsi: rouge ombré — rouge — rouge orangé — orangé — jaune — jaune vert — vert — vert bleu (turquoise) — bleu azur (ou électrique) — indigo (bleu violet) — violet — pourpre (violet rouge) — recommencement.  La gamme sonore répond ainsi, dans le même ordre: sol inférieur — la — si — do — ré — mi — fa — sol supérieur — la — si — do — ré — recommencement (nouveau cycle sonore).  Ainsi, la fréquence vibratoire (nombre de vibrations qui arrivent en un certain point, en une seconde) explique la différence entre les diverses parties de l’être (les plans enveloppants, plus subtils les uns que les autres): matière, éthérique, astral, mental, causal, intuitif, bouddhique, atmique, divin ou cosmique.  En résumé, il s’agit de la matière (corps physique), des états invisibles intermédiaires, des électrons de l’Esprit, des projections psychiques et de l’Essence de l’âme ou Esprit divin.

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