LE SENS SPIRITUEL DE LA FAMILLE

La famille humaine, celle qui sert de canal d’incarnation, a entraîné l’établissement du scénario d’une histoire fantoche qu’il faut corriger.  En termes logiques, nul n’est jamais né puisqu’il est la Vie et que, en conséquence, il est éternel.  Ainsi, les parents peuvent avoir contribué au déploiement de la vie, en maintenant un lignage terrestre, mais ils n’ont pas donné la vie â un être au sens propre.  En outre, comme cette incarnation fait partie d’un plan que tous les participants ont planifié ensemble dans les plans subtils, avant de plonger dans la densité, afin de servir un plan de leur âme, tous bénéficient des mêmes retombées évolutives de cette expérience.

Surtout que, dans la présente phase évolutive, tout être incarné est appelé à remettre en question sa relation avec son lignage terrestre pour s’assurer de dénouer tous ses liens karmiques accumulés, dans ce cercle vicieux, qui l’amène à trop souvent s’entourer des mêmes âmes, d’une incarnation à l’autre, ce qui ne peut que l’entraver dans son registre d’expériences et dans son ascension spirituelle.  Il ne familys’agit pas de rompre ses liens avec sa famille, si cela ne s’impose pas, mais de récupérer sa liberté et sa souveraineté de manière à pouvoir s’ouvrir à d’autres affinités spirituelles.  Autrement dit, une certaine prise de distance peur permettre à un être de se tirer de la colle affective qui rend si accaparant et subjectif, au point d’en venir à penser que, dans ce type de relation particulière du lien du sang, il détient un droit de regard sur la vie des membres de sa famille et qu’il peut s’immiscer dans leurs affaires à volonté, tout au long de sa vie, surtout s’il est un parent, soit un père ou une mère.

Ainsi, à titre de participants à un jeu de rôles, à aucun moment, les membres d’une famille ne se doivent-ils rien, puisque chacun n’a fait que répondre à sa mission particulière dans un cycle de vie.  Les parents peuvent avoir nourri, habillé, formé, prodigué divers soins, protégé, consolé, supporté, encouragé un enfant que cela ne lui impose aucun devoir de reconnaissance particulier, surtout pas la nécessité de témoigner d’une loyauté indéfectible ni d’assumer la fonction de bâton de vieillesse. Pour ces raisons, tous les membres de la famille doivent se dégager des notions traditionnelles relatives aux liens, souvent souffrants, qui doivent les unir et les remplacer par l’unique lien plus naturel, plus doux et léger, de l’amour véritable.

Par famille, on entend les personnes de même lignage vivant sous le même toit, comprenant le père, la mère et les enfants, de même que  l’ensemble des personnes liées entre elles par le mariage (ou l’état de conjoint) et par la filiation ou l’adoption.  Au sens premier, il s’agit du degré de parenté ou d’alliance, soit de la succession des individus qui descendent les uns des autres, directement, de génération en génération.  C’est l’entité qui, dans nombre de pays, détient la capacité juridique et politique complète, redistribuée selon le statut de chacun, en fonction du sexe, de l’âge, du lignage, le père vivant faisant office de chef.

Unité fondamentale de la société, la famille a toujours servi de lieu de socialisation et d’éducation de l’individu qui naît d’un couple légitime, donc officiellement reconnu par la communauté, l’Église ou l’État.  Longtemps, la famille souche représentait la forme idéale de regroupement dans son rôle de maintien et de reproduction des valeurs et des traditions.  Mais, dans nos sociétés de plus en plus morcelées et éclatées, de moins en moins contrôlées par ces trois instances (la communauté, l’Église et l’État), la famille devient de plus en plus le lieu potentiel de construction et de déconstruction des identités personnelles, conjugales, familiales, ethniques et sociales.  On

Probablement que certains lecteurs sursautent déjà, à cette définition restrictive, puisque, depuis les années 1950, la famille connaît des transformations accélérées.  Pourtant, pendant des siècles, partout dans le monde, la famille traditionnelle a servi de point de référence pour interdire certains types de relations sexuelles entre parents très rapprochés, ce qui s’appelle l’inceste, pour assurer la qualité de la descendance.  Mais, du point de vue qui entend intégrer, elle a encore servi à déterminer l’obligation de solidarité morale et matérielle, ainsi que le patrimoine communautaire, de manière à assurer la protection à tous ses membres et à favoriser leur développement physique, affectif et social harmonieux.

Pour assurer la cohésion sociale, le temps qu’elle est utile, la notion de la famille gagne à reposer sur l’énergie d’amour, donc sur le sentiment d’appartenance spirituelle, non sur l’affectivité, soir sur le sentiment humain de possession, car les parents n’appartiennent pas aux enfants, pas plus que les enfants n’appartiennent aux parents.  Alors, chacun doit veiller à se défaire de la colle des relations familiales par laquelle chacun s’accorde un droit de regard et de gérance indu sur la vie de l’autre.  Le grand sage qu’était Lanza del Vasto a voulu faire comprendre les pièges de l’affectivité familiale dans ces mots très durs: «Affections de famille sans respect, piège et glu où nous nous trouvons pris dès avant la naissance.  Tant que nous n’avons pas su tout à fait sortir les uns des autres, nous ne sommes qu’à moitié nés.»

En vérité, la famille n’est rien d’autre qu’un canal à travers lequel l’Esprit passe pour s’individualiser dans un centre de conscience.  Celui qui s’incarne a accepté son corps et sa famille tels qu’ils sont avant de naître, mais, pour autant, il n’a pas accepté d’ascendant permanent pour sa famille.  S’il avait mérité mieux ou s’il avait eu besoin d’autre chose, il serait bien né ailleurs.

Il est un commandement qui stipule que, à sa majorité, l’être incarné doit quitter père et mère pour s’occuper de son propre destin sans interférence.  C’est inviter l’individu à quitter sa famille humaine pour aller s’occuper de ses affaires, pour s’accomplir, avec le concours de sa famille spirituelle.  Cette injonction aide à reconnaître que, pour chacun, sa véritable famille, c’est le Cosmos entier.  À propos, en Orient, on fixe l’âge cosmique de la majorité à seize ans, mais en Amérique, en raison de la débilitation qu’engendrent les règles sociales et le système d’éducation, les gens gagnent à la retarder de deux ans, pour éviter de s’attirer plus de problèmes que de solutions.  N’empêche que chaque enfant doit être informé de ce fait, accepter de couper le cordon ombilical au moment opportun et aller voler de ses propres ailes le temps venu.  S’il tarde à le faire, les parents doivent le pousser hors du nid.

Quant aux parents, ils n’ont pas d’autre rôle que de protéger leur enfant dans sa phase de dépendance, de subvenir aux besoins qu’il ne peut se donner lui-même, d’où ils n’ont pas d’autre héritage à lui laisser qu’une bonne formation et une bonne éducation, fondées sur le meilleur système de valeurs, et à lui apprendre la débrouillardise.  Mais cette entreprise doit être menée de façon ouverte, car l’enfant doit lui-même fonder l’essentiel de son système de valeurs à partir de sa propre expérience.  Il doit apprendre à interpréter le monde à sa manière, de toute sa rareté et de toute son originalité.

Dans la troisième dimension, la famille représente le moyen que les êtres humains se sont donnés pour assurer la cohésion par la reconnaissance de responsabilités réciproques.  Ils auraient pu en décider autrement puisque, dans les plans supérieurs, de telles relations n’existent tout simplement pas.  De ce fait, la famille, comme tous les liens de parenté humaine, se démontrent de peu d’importance.  C’est la filiation cosmique qui importe le plus.  En effet, dans les dimensions supérieures, les relations familiales se dissipent pour faire place, dans l’Unité, à la notion agrandie de lien indissoluble entre les êtres de la même espèce et de toutes les créatures.

Ainsi, la famille doit reposer sur le sentiment d’appartenance, non sur le sentiment de possession, car les parents n’appartiennent pas aux enfants, pas plus que les enfants n’appartiennent aux parents.  Alors, il faut savoir se défaire de la colle des relations familiales par laquelle chacun s’accorde un droit de regard indu sur la vie de l’autre.  Lanza del Vasto a voulu faire comprendre les pièges des liens de l’affectivité familiale dans ces mots: «Affections de famille sans respect, piège et glu où nous nous trouvons pris dès avant la naissance.  Tant que nous n’avons pas su tout à fait sortir les uns des autres, nous ne sommes qu’à moitié nés.»  La famille n’est rien d’autre qu’un canal à travers lequel l’Esprit est passé pour s’individualiser dans un centre de conscience.

Les parents (le père et la mère)

Dans le présent contexte, le parent désigne un membre du lignage ou une personne qui a des liens familiaux plus ou moins étroits avec quelqu’un, à commencer par le père ou la mère d’un enfant.  Il symbolise la pensée qui donne naissance à toutes choses, le réveil de la raison qui combine les arrangements nécessaires à un projet.

En principe, les parents sont les âmes incarnées qui ont accepté de servir de géniteurs et d’éducateurs d’enfants.  Chacun de ces enfants a choisi ces parents, et pas d‘autres en accord d’âme, soit par un contrat subtil antérieur à l’incarnation.  Il avait besoin de leurs gènes, de leur histoire, de leur personnalité respective, de leurs actes, de leurs blessures afin de réussir sa vie et de relever son défi.  Aussi doit-il aimer ses parents, aimer la vie et dépasser toutes ses souffrances pour réussir une vie construite en pleine conscience.family3  De ce point de vue, ses parents sont ses présents, Même s’il en avait voulu d’autres.  Il peut arriver qu’un présent soit empoisonné, mais ce qui importe, c’est de dépasser ce qui semble négatif!  Bénis soient les parents de chacun de même que tous ses ancêtres.

Toutefois, pour être bon parent, il faut être éveillé spirituellement, connaître sa véritable nature profonde, s’accepter soi-même et savoir s’ouvrir aux autres.  Autrement dit, il faut se connaître parce qu’on s’est épousé intérieurement et qu’on a accouché de soi.  Car les parents doivent fournir à leur enfant des bonnes valeurs, un cadre de référence stable et l’esprit de débrouillardise pour l’aider à grandir et à se développer jusqu’à devenir ce qu’il est vraiment.  Ils doivent veiller au bien-être de leur progéniture et lui enseigner à assumer sa responsabilité.  Ils doivent développer sa force en créant des obstacles, ce qui invite à éviter de trop l’élever dans la ouate ou le velours.  Mais les parents doivent accepter d’apprendre de leur enfant.  Les parents transmettent beaucoup de leurs images à leur enfant.

Les parents ont pour rôle de combler les besoins de leur enfant, de le former et de l’élever, soit de le soutenir jusqu’à un état de maturité suffisante, en lui fournissant les moyens de se détacher d’eux, d’assumer sa liberté, soit son indépendance et son autonomie.  Mais la majorité ne sont pas encore complètement élevés et formés qu’ils se croient prêts à procréer ou à former une famille.  Ils cherchent encore des indications et des réponses pour eux-mêmes, ils tentent de corriger la fausse définition que leurs propres parents leur ont donnée.  Ils ne se sont pas encore découverts qu’ils essaient de guider un être très vulnérable, de nourrir ses découvertes, du fait qu’ils ne l’ont pas fait eux-mêmes.  Ils ne sont pas encore définis et ils croient pouvoir définir un autre être humain.  Ils ne savent pas correctement s’occuper de leur vie et ils tentent de gérer celle d’un autre.  Ils n’ont pas découvert qui ils sont et ils cherchent à dire à un autre qui il doit être.  En fait, ils ne deviennent de bons parents qu’après avoir fini d’élever leurs enfants, s’étant remis en question à travers bien des expériences pénibles.  Le pouvoir d’enfanter ne donne pas l’aptitude pour élever un enfant, car pour l’élever, il faut détenir la sagesse, ce qui est l’apanage des aînés, mais pas de tous les aînés.

C’est ainsi que les parents, qui disent aimer leur enfant, passent leur temps à lui mentir.  Par exemple, à partir de leurs conceptions limitées, ils lui disent qu’il est trop ceci et n’est pas assez cela.  Ils lui apprennent à bien paraître, à dire certaines choses et à vivre certaines expériences au lieu de l’encourager à être lui-même et à faire ce qu’il aime profondément.  Ils l’encouragent à abandonner certaines idées personnelles qu’ils considèrent comme folles ou dérangeantes.  Ils disent aimer d’un amour inconditionnel, mais ils sont très possessifs et subjectifs, tentant de se prolonger à travers leur enfant.  Voilà comment un être en vient à projeter sur son Créateur le rôle de ses parents, l’amenant à croire qu’il juge, récompense ou punit, alors qu’il n’est jamais qu’amour vibrant.

L’enfant

Dans le contexte présent, l’enfant désigne tout être humain dans la première phase de sa vie, généralement de la naissance à l’adolescence.  Mais elle ajoute à cette notion une filiation dans un lignage et un degré relatif de dépendance de parents et d’une famille, ce qui confère un héritage et impose des droits et des devoirs.  Ainsi, l’enfant peut désigner l’être humain dans l’âge de l’enfance ou le fils ou la fille, ces êtres considérés comme rattachés par leurs origines à leurs parents (un géniteur et une gestatrice).

Celui qui s’incarne a accepté son corps et sa famille tels qu’ils sont avant de naître, mais il n’a pas accepté d’ascendant permanent pour sa famille pour autant.  S’il avait mérité mieux ou s’il avait eu besoin d’autre chose, il serait bien né ailleurs.  Comme il a été dit, à la majorité, l’individu doit quitter sa famille humaine pour aller s’occuper de ses affaires, pour s’accomplir, avec A bedtime story --- Image by © Royalty-Free/Corbisle concours de sa famille spirituelle.

Chaque enfant doit savoir couper le cordon ombilical et aller voler de ses propres ailes.  S’il tarde à le faire, les parents doivent le pousser hors du nid.  Quant aux parents, ils n’ont pas d’autre rôle que de subvenir aux besoins que l’enfant ne peut se donner lui-même et ils n’ont pas d’autre héritage à lui laisser qu’une bonne formation et une bonne éducation, fondées sur le meilleur système de valeurs.  Mais cette entreprise doit être menée de façon ouverte, car l’enfant doit lui-même établir l’essentiel de son système de valeurs à partir de ses propres expériences.  Il doit apprendre à interpréter le monde à sa manière, de toute sa rareté et de toute son originalité.

L’enfant accuse souvent ses parents pour son manque de confiance en lui-même, oubliant que ce sont ses réactions à leur égard qui ont créé ce manque de confiance.  Dans un même contexte familial, deux enfants peuvent s’en sortir tout à fait différemment : l’un perdra son estime de lui-même, l’autre la renforcera.  Avec les mêmes éléments, chacun décide de se sentir bien ou pas, de réussir ou pas.  Plutôt que de se sentir accablé par son enfance ou de se croire victime de son éducation, on doit comprendre qu’on a choisi ces situations pur apprendre et permettre à son âme d’évoluer.  On est venu sur Terre pour apprendre certaines dimensions de l’amour, choisissant le milieu propice pour le faire.  Si on n’a pas développé les bons schèmes dans sa famille, on s’expose à attirer sans cesse dans sa vie des gens qui viendront aider à le faire, apprenant à s’affirmer dans l’amour et le respect de soi.  Pour chacun, c’est son âme qui engendre chaque situation de sa vie, non le milieu, pour enseigner à développer une plus grande force d‘amour.  Aussi, ne pourra-t-on changer tant qu’on n’acceptera pas de reconnaître et d‘aimer qui on est, tel qu’on est, dans le moment présent.

Avant de naître, chacun a choisi ses parents, en présence des Maîtres du Karma, pour les images qu’ils portaient et pouvaient transmettre.  Grâce à ces images, il peut former la personnalité et l’individualité qu’il a choisi de travailler au cours de sa vie.  Comme lui, ses parents ont toujours agi au meilleur de leur compréhension et de leurs moyens.  Autrement dit, ils ont toujours fait ce qu’ils ont pu à partir de ce qu’ils avaient eux-mêmes reçu et connaissaient.  Ainsi, ils lancent l’appel subtil de dépasser certaines limites qui proviennent de l’expérience d’autres vies et de se prendre en main.  Chacun choisit sa famille pour expérimenter la différence, apprendre à voir au-delà des apparences, reconnaître l’autre comme divin, qu’il soit agréable ou désagréable, afin de grandir.  Et ce qu’il ne reçoit pas dans sa famille, il le reçoit ailleurs.  Quand on n’apprécie pas le milieu familial dans lequel on a vécu, il faut savoir se pardonner d’avoir attiré tout ce qu’on y a vécu si on compte retrouver l’amour, la paix et vivre dans un contexte constructif.

Dans une perspective supérieure, chacun est pour lui-même autant ses parents,  qu’il est le sauveur qu’il attend, ce qui lui impose de se créer lui-même tel qu’il veut être, se façonnant, par sa volonté, selon le modèle qu’il choisit.

Pour comprendre la place de l’enfant, dans la famille, on peut méditer sur ces deux pensées éclairantes, qui résument presque tout : «On fait tout dans n’importe quel état, et surtout la création des enfants.  Les parents ne doivent jamais créer un enfant s’ils ne sont pas dans l’harmonie, parce que l’enfer se faufilera en lui et ensuite, toute la vie, ils s’arracheront les cheveux.» (O. M. Aïvanhov)  Et: «Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même. Ils viennent à travers vous mais non de vous. Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas… Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.» (Khalil Gibran)

Dans une famille, il n’est rien n’est pire qu’un enfant-roi car, n’étant que prince dans la famille, il indique qu’il a détrôné ses parents, dès son jeune âge, ce qui peut facilement l’entraîner à usurper leurs pouvoirs et à en abuser en raison de son manque d’expérience, donc de discernement et de sagesse.  Quand l’enfant s’improvise roi, l’anarchie peut toujours s’installer.

Notions complémentaires

La Famille de Lumière ou de la Lumière provient d’un lignage lumineux.  Elle forme un regroupement d’entités unies qui voyagent à travers le temps afin de faire éclater les faux paradigmes de pensées dans les systèmes qui ont besoin du changement pour rester évolutifs.   Il est établi à partir d’un centre d’opération dont une source, en l’univers solaire, fait office de station de diffusion de la Lumière divine et de la Connaissance spirituelle.

Quant à la Famille spirituelle, elle désigne le Corps de Force de Dieu ou du Créateur.  En tant que Grand Soi, chaque être détient un vaste réseau d’amis qui lui ressemblent et œuvre avec lui dans la poursuite d’un but élevé.  Ainsi, nombre de personnes se sont incarnées ensemble à la manière d’une âme-groupe, ce qui les amène à ressentir entre elles une certaine reconnaissance spontanée lorsqu’elles se rencontrent sur le plan matériel, se percevant simplement comme des amis qui ne se sont pas vus depuis longtemps.  Souvent, cette expression désigne les extraterrestres «christifiés» (qui ont atteint le plan animique), soit le rassemblement des Arcturiens, des Pléiadiens, des Andromédiens, des Siriusiens, des Vénusiens, des sociétés d’alpha du Centaure, des Néburiens, des membres positifs d’Orion et de bien d’autres systèmes.

Dans la Tradition chrétienne, la Sainte Famille désigne Joseph, Marie et Jésus.

L’expression quitter sa famille invite souvent à se débarrasser de ses mauvaises habitudes, notamment des éléments de contagion ou des intrusions indues, en provenance d’autrui, qui dépersonnalisent.

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