LE VOILE D’ILLUSION SE DISSOUT DE PLUS EN PLUS ET PLES PLANS FUSIONNENT:

DES PHÉNOMÈNES PROBANTS DE L’INVASION DE LA TROISIÈME DIMENSION PAR LES PLANS SUPÉRIEURS

 

Mon présent propos n’a rien d’original, il m’été inspiré par un article récemment paru sur le site «Le Jardin de Joéliah» qui m’a donné le courage de parler d’au moins une expérience analogue aux siennes que je vis depuis quelques mois et que je n’ai même pas confié à mes amis les plus intimes. Depuis mon arrivée à la campagne, il y a quelques années, chaque saison de l’année, surtout l’été, m’apporte une manifestation qui, pour d’autres, pourrait passer pour insignifiante ou anodine, mais qui, pour moi fournissent la preuve que l’Esprit et la Nature n’ont qu’une envie, celle de démontrer leur unité par l’entretien de complicités avec les êtres humains.  Peu de temps après mon arrivée en ces lieux, que j’habite depuis dix-sept ans, un vol de pigeons, placés en un cercle parfait, est venu, trois fois de suite, tunnel effleurer la grande fenêtre de ma salle de séjour.  Un jour, une colombe blanche s’est jointe à ce groupe de créatures ailées, qui hantaient la grande voisine et elle m’a accompagné, se déposant souvent mon gazon, seule, pendant plus de huit ans.  À la mort de cet oiseau, un couple de corneilles l’a remplacée, alors que jamais aucun oiseau de cette espèce, malgré qu’il en passât souvent au-dessus du terrain, n’avait osé fouler le sol de mon espace vital.

Mais, le plus étrange, c’est que, chaque année, depuis mon arrivée dans cette ferme, il s’est produit un phénomène d’apparence magique ou mystérieuse.  Ainsi, la première année, mon jardin a été envahi de pois de senteur qui ont longuement embaumé mon environnement;  une autre, un plan de tournesol m’a donné 54 fleurs, ce que plusieurs témoins ont pu attester;  une autre, un pied de petits pois a continué de produire, jusqu’à ce que je l’arrache pour le labourage, malgré les grands gels d’automne.  Il y a deux ans, alors que je n’ai à peu près jamais vu de ces reptiles dans mon environnement, deux couleuvres se sont hébergées tout l’été dans le tas de branches et de tiges retirées des bosquets et des plates-bandes, se livrant régulièrement à un rituel amoureux des plus étonnants, sans jamais craindre ma présence;  une autre, des arbres de l’espèce souhaitée sont apparus à divers endroits de mon terrain, sans intervention de ma part;  cette année, une de mes plates-bandes a été envahie de pieds de framboises noires géants qui produisent à profusion, tout en lui ajoutant une touche d’originalité certaine.  Et je dois passer sous silence nombre d’autres phénomènes inusités dont, au cours des deux dernières années, avec la montée des énergies qui libèrent le mental, j’ai perdu le souvenir, mais que j’avais déjà rapporté dans un article de mon site.

Et c’est sans compter les expériences du genre de celle d’une marmotte qui s’est creusé un terrier près du hangar, à proximité de mon jardin, s’exposant régulièrement au soleil, poursuivant sa sieste à mon approche, sans jamais faire le moindre dommage.  Encore, pendant des années, une moufette est venue se nourrir près de mes mangeoires à oiseaux, à proximité de mon domicile, sans jamais m’exprimer la moindre méfiance quand je devais me diriger vers elle.  Au premier automne, je pouvais apercevoir presque chaque soir un brouillard de trois couches superposées, de très mince à très opaque, percée de trois arcs au-dessus de chemin qui donne accès à la forêt à l’arrière de chez moi.  Un certain automne, je me suis dirigé vers l’érablière, au fond du champ qui jouxte mon terrain, derrière la maison et, à mon approche, avec l’arrivée d’une brise soudaine, toutes les branches des arbres se sont mises à osciller de gauche à droite, des plus harmonieusement, comme si elles esquissaient le mouvement d’une valse gracieuse, en signe de bienvenue.  Un autre automne, je emprunté l’allée qui mène à la forêt pour découvrir, à mi-chemin, près de l’étang, un érable paré des plus beaux tons de roux et de rouge, des couleurs d’une intensité telle qu’il se démarquait de tous ses semblables, proches et lointains, et que, depuis, je n’ai jamais plus remarquer à ce même arbre, malgré que je retourne le contempler toutes les années à la même période, dans l’espoir de le voir se revêtir de nouveau d’un tel costume lumineux.  Et c’est oublier de mentionner les de tons de pêche ou d’orange d’une douceur inégalée qui apparaissent souvent dans le ciel au lever ou au coucher du soleil.

Une année que je retournais la terre de mon potager, en relevant la tête, j’ai constaté que, dans le ciel complètement dégagé ailleurs, j’étais complètement entouré d’un nuage circulaire et continu d’un beau blanc pur, à la manière d’un boudin parfait ou d’une auréole géante, dont je semblais occuper le centre.  Une autre année, en après-midi, du côté est, il se formait un arc-en-ciel presque tous les jours, parfois plusieurs fois par jour, et même, des arcs-en-ciel doubles.   L’an dernier, mes plans de tomates-cerises ont poussé si haut (plus de deux mètres) et ont tant produit que j’ai dû planter des piquets pour les empêcher de s’effondrer sous leur poids.  Au printemps, tous les matins, mon terrain était régulièrement envahi par un groupe imposant de dindons sauvages qui venaient manger jusque sous l’abri d’auto.  Depuis le début du présent été, un couple d’oiseaux d’une espèce que je ne parviens par à identifier m’accueille et m’accompagne sur mon terrain tout la durée de chacune de mes sorties, m’enchantant de ses claquements de becs légers et de ses chants d’une grande douceur, osant même se poser sur le sol à proximité, comme s’ils voulaient me communiquer leur joie de me connaître.  Et je n’ai pas mentionné ces chevreuils qui, depuis mon arrivée en ces lieux, bien qu’ils s’approchent régulièrement très près de la maison, puisque j’ai planté des arbres fruitiers et des thuyas, des plantes arboricoles qui les attirent, n’ont jamais produit le moindre dommage.  Je porterais un jugement plus sévère sur les ratons-laveurs, que je trouve parfois plus qu’envahissants, parce qu’ils vident toutes les nuits mes mangeoires, dévastent mes arbres fruitiers et marquent leur territoire de leur déjections malodorantes, mais ils obtiennent toujours ma clémence lorsque, chaque année, au début de l’été, une mère se présente avec sa portée de petits si charmants et espiègles, qui me regardent comme curieux et attendris, lorsqu’ils montent sur le toit de ma maison.

À vrai dire, je pourrais prendre plusieurs minutes à vous raconter des anecdotes du genre, depuis que j’ai pris conscience que tout se tient, des expériences qui m’ont d’autant plus marqué que, puisque, bien que né à la ville, j’ai passé mon enfance à la campagne, très attentif depuis toujours aux

À vrai dire, je vis d’autres phénomènes aussi inhabituels, depuis l’annonce que, à son insu, l’humanité aurait presque complètement basculé dans la cinquième dimension, une prise de conscience qu’elle retarderait simplement par ses habitudes ataviques de rétablir promptement la réalité ancienne, dans ses allées et venues fréquentes à travers les dimensions, des reliquats de la densité et de la dualité de la troisième dimension à un plan bien supérieur de conscience.  Mais j’omets de les raconter parce que le but de ce texte n’est pas de multiplier les exemples de ce genre nouveau d’expérience ou d’étaler mes exploits, qui, par l’étonnement que je ressens lorsqu’ils se produisent, attestent, de toute évidence, qu’ils ne relèvent pas de moi, mais qu’ils procèdent de l’intervention de l’Esprit de Vie à travers moi, dans des circonstances nouvelles, en raison de conditions différentes qui m’échappent.

Sauf que, du moins pour moi, il devient évident que, depuis quelques mois, il se produit des manifestations nouvelles, dans la gamme des impossibles qui deviennent possibles et qui attestent d’une élévation de l’ensemble du monde dans les dimensions supérieures de la Conscience cosmique.  Autrement dit, il se produit des phénomènes inusités, très mystérieux qui, il y a encore peu de temps, auraient paru improbables, parce que reconnumirages-illusionss comme chimériques ou relevant de l’invention mythomane.  Alors, pour m’assurer que je ne rêve pas éveillé et que je ne suis pas un privilégié, je viens m’enquérir auprès de vous, si vous accepter de les partager, de phénomènes similaires, que vous pourriez avoir vécu vous-mêmes ou dont vos connaissances auraient pu vous informer.

Soyez assurés que ce partage pourrait rassurer bien des gens dans cette phase difficile qui s’annonce.  Surtout, il pourrait agir comme un baume, dans la conscience de certains chercheurs qui ont mal intégré l’expérience de ne pas avoir vu le monde se transformer en un instant, au jour du solstice d’automne 2012, mal renseignés par certains channels et médiums qui semblaient ignorer la manière bien différente que l’Ascension se poursuit, dans une lenteur adaptée aux possibilités évolutives de majorité des êtres humains, dans l’intention sage d’élever dans les plans supérieurs de la Conscience cosmique la plus part des membres de l’humanité.  En tout cas, je remercie à l’avance ceux qui accepteront de se joindre à cette initiative dans l’amour, soit dans la pureté d’intention, la vérité, la sincérité, la simplicité et l’intégrité, afin de ranimer l’espoir chez les êtres timorés, épuisés ou démobilisés.

© 2013-15, Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime

A propos de l'auteur

Une réponse

  1. Françoise Debatty

    Je suis attentive à l’essor que la nature prend actuellement.
    Je constate que la végétation autour de ma maison, les lauriers, particulièrement ont grandi de façon spectaculaire depuis, je dirais, 2 ans, d’après mon attention. C’est impressionnant.
    Un fait marquant, pour moi, les chicorées poussent à profusion depuis ce printemps et de coeur je leur dis merci, car comestibles, elles se présentent à nous pour nos besoins alimentaires.
    J’ai observé, en mai, deux petits rongeurs, sortant de ma haie de Taxus, en bordure de route, pour se nourrir dans ma pelouse. Je suis sortie, à cinq mètres de ces rongeurs, ils n’ont pas bougé et continué à se restaurer. J’ai taillé cette haie, en pensant à eux et l’effet que cela allait produire à leur égard. Je ne les ai plus aperçus. Quelques jours plus tard, je reçois un courrier d’une association contre le cancer me proposant de venir tailler ma haie car elle contient une substance à extraire pour le traitement contre le cancer, voilà !
    Mon espace était, il a deux ans, le terrain de jeu des pies. Cette année, plus aucune pie mais des corbeaux et de tout petits oiseaux. J’aime les entendre cohabiter gaiement et les observer. Je suis confiante grâce à la nature qui s’exprime avec force.
    Le ciel, fin de cet hiver, m’a émerveillé. 5-6 heures du matin, sol recouvert de neige. Un soleil levant, tel une boule de feu, mèche flamboyante, auréolée de rose avec une projection dans les nuages leur donnant un relief propice à l’imagination de formes. Des éruptions de nuages dans des couleurs or, orange et gris. C’est pour moi, d’une beauté mystérieuse qui m’inspire l’amour.
    Merci pour votre manifestation et l’appel à impressions.
    Françoise Debatty.
    Belgique.

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