LES PETITES CLÉS QUI AIDENT À SAISIR SON ESSENCE D’INCARNATION…

  

   Comme l’Ordre cosmique, à la fois souple et rigoureux, prévaut en tout et partout, il ne peut exister le moindre hasard dans l’expérience d’un être incarné, de sa naissance à sa transition au terme de sa vie.  Chaque être humain naît en emportant avec lui des indices ou des paramètres du sens de son incarnation du moment.  Ainsi, outre le canal du signe du zodiaque qu’il emprunte pour parvenir à la Terre, l’heure de sa naissance, la latitude et la longitude de son lieu de naissance, son nombre de vie, son prénom, son patronyme, font partie de la signature qu’il porte et de l’empreinte énergétique qu’il veut laisser au monde.

   En cela, le canal du signe du zodiaque révèle le mélange mystérieux des quatre énergies fondamentales qui lui serviront de support dans la transmutation générale qu’il est venu accomplir ;  son nombre de naissance résume son destin karmique ;  son prénom fournit une petite clé relative à son rôle fonctionnel, au niveau de sa personnalité et de son individualité ;  son patronyme (ou nom deessence-d'incarnation famille) détermine la qualité de son lignage, avec une part de son rôle collectif, de sa position sociale.

   Qu’un enfant vive avec ses parents légitimes ou avec des parents d’adoption, il se retrouve généralement en présence d’entités qui ont déjà eu avec lui un lien important.  Soit qu’il ait décidé de les retrouver pour reproduire une expérience qu’il a appréciée, en la poussant plus loin, soit qu’il ait trouvé le moment opportun d’harmoniser des relations passées plus ou moins déficientes.

   Chaque être devrait porter le plus grand respect à tout ce qui fait partie de sa réalité.  En général, le prénom d’un nouveau-né révèle la vibration que son âme lui destinait.  Mais, si l’enfant découvre, en grandissant, qu’il n’est pas à l’aise avec le prénom qu’il porte, il se peut que, par manque d’intuition et de préparation à le recevoir, ses parents lui aient donné un prénom fantaisiste qui leur plaisait ou qui flattait la famille plus qu’il ne convenait à l’enfant.  En pareil cas, si le malaise persiste, il devrait changer pour le prénom qu’il ressent bien.

   Pour marquer l’estime qu’elle a de son être, une personne ne devrait jamais changer l’orthographe de son prénom tel qu’il figure dans les registres officiels consignant son entrée dans le monde terrestre.  Elle pourrait faire exception à cette règle si, dans le calcul métaphysique, la réduction théosophique de son nom lui assignait une forte vibration négative.  Encore, elle ne  devrait jamais accepter de porter une réduction orthographique ou un diminutif comme prénom (comme Dan, pour Daniel ou comme Lisette pour Lise, qui déjà provient d’Élisabeth) ou de laisser les gens de son entourage l’affubler d’un diminutif ou d’autres sobriquets, dussent-ils paraître câlins, parce qu’ils réduisent la portée énergétique de son identité cosmique et la portée de sa mission terrestre.

   De même, histoire de maintenir son taux énergétique intègre, un être ne devrait jamais se permettre de transformer ses nom et prénom, tolérer qu’on les écrive avec une minuscule ou qu’on en écourte la graphie (par exemple en écrivant «St-Hilaire» au lieu de «Saint-Hilaire».  Lorsqu’ils sont d’authentiques clés en provenance de l’âme, les noms et prénoms d’une personne portent une vibration sacrée qu’on aurait tort d’altérer.  À la rigueur, pour des raisons personnelles, par exemple pour voiler ses origines, cacher son identité ou favoriser sa promotion, un artiste peut choisir un pseudonyme (un nom de plume ou d’artiste), mais il doit éviter de s’y identifier au point d’altérer la vibration tonale de son âme, soit sa vibration fondamentale.

   Pour élargir un peu le propos, il faut savoir qu’aucune expérience que l’enfant est appelé à vivre, si dramatique et condamnable qu’elle paraisse du point de vue humain, ne découle davantage du hasard.  Elle répond à un but précis de l’âme qui compte produire une transmutation personnelle ou collective.  Ainsi, il faut comprendre que les enfants qui vivent des abus de la part de parents, de gardiens ou de ministres du culte sont à la recherche d’une compréhension spirituelle.  Dans le cas contraire, comme chaque être est libre et souverain dans son univers, le Créateur lui-même ne pourrait pas accepter ce qui deviendrait une injustice.

   Il faut savoir que, avant son incarnation, toute âme choisit des événements et des situations qui feront partie de sa prochaine expérience de vie afin d’harmoniser une part de sa dette karmique positive ou négative.  Par la suite, elle doit passer au Tribunal des Maîtres du Karma ou de la Destinée pour faire valider ces choix.  Ainsi, même si toutes ses expériences ne sont pas complètement fixées ou déterminées au moment de son incarnation, puisqu’elles relèvent davantage du Registre des probabilités que ce celui des certitudes, l’âme peut accepter des modifications qui peuvent porter plus loin la conscience d’un être incarné.

   Cette explication ne vise pas à faire accepter l’inacceptable.  Elle tend plutôt à faire comprendre que l’âme d’un enfant ou d’un adulte qui subit un abus en porte le pressentiment inné de sorte que si elle reste à l’écoute d’elle-même, elle peut l’éviter.  De même, dans un pareil drame, la personne qui est sur le point de commettre un abus porte sa responsabilité morale dans le choix de ses actes.  Ainsi, même si elle avait elle-même déterminé un pareil choix avant de s’incarner, pour ouvrir sa conscience à un aspect particulier de l’application des principes naturels et des lois cosmiques, elle reste totalement responsable de l’acte qu’elle choisira de poser.  Même qu’elle aura choisi, du même coup, la sanction que la société ambiante pourra lui imposer.

   De toute évidence, il n’est pas facile d’imaginer qu’un enfant, présumément pur et innocent, puisse avoir choisi certaines expériences d’abus.  En outre, dans une société intègre, la perspective métaphysique ne saurait jamais servir à justifier de tels actes.  N’empêche que, derrière tout événement, il vibre les énergies mélangées de tout le bagage de vies passées avec ses relations très compliquées entre les âmes, qui, progressivement, amènent l’humanité à passer de l’Ombre à la Lumière.

   Pour en revenir au propos principal des coordonnées subtiles de l’âme, chacun gagnerait à connaître le sens de son prénom et de son patronyme.  Pour ce qui est de ce dernier, une petite recherche dans les archives généalogiques de la Toile mondiale ou dans les documents anciens d’une bonne bibliothèque pourrait aider.  Pour le prénom, si vous ignorez le sens du vôtre, je pourrais probablement vous le fournir, si vous vous permettez de me le demander, puisque je collige le sens de tous les prénoms du monde depuis des années, un savoir que j’ai réuni dans un manuscrit simple que vous pouvez également vous procurer moyennant une certaine rémunération pécuniaire.  Et s’il y en a qui, parmi vous, portent un prénom ethnique rare, vous vous assuriez de ma plus profonde gratitude si vous m’en faites parvenir la signification avérée de sorte que je puisse l’ajouter, au bénéfice de tous, au document dont je viens de parler.

© 2012-21, Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime.

   

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