UNE ÉTUDE SIMPLE DE L’HISTOIRE DES TEMPLIERS

L’Ordre du Temple fut fondé entre 1118 et 1120, après la première Croisade, par trois chevaliers qui ne voulaient pas en revenir.  En 1119, entre les mains du patriarche de Jérusalem, quelques chevaliers français, dont Hugues de Payns et Geoffroy de Saint-Omer, mus par un sentiment de pitié, firent vœu de se consacrer au service du Christ par la pratique des trois vœux de religion.  S’étant réunis dans la cour d’un vieux château abandonné, ils prêtèrent un serment d’amour pour l’Humanité.   Formant un Ordre militaire, ils s’engagèrent à veiller à la sécurité des routes et à protéger les pèlerins qui se rendaient en TEMPLIERSTerre Sainte, contre les brigands et les Sarrasins.  Le roi Baudouin II leur attribua comme résidence une partie de son propre palais, dans le Temple de Salomon, d’où leur nom de Templiers, leur concédant quelques possessions et revenus.  Pendant neuf ans, leur nombre stagna.  Mais, à partir de 1128, l’Ordre prit une rapide extension, suite à une visite d’Hugues de Payns en France.  En ce pays, il se présenta devant les membres du concile de Troyes (13 janvier 1128), entretenant le cardinal-président, Matthieu d’Albano, du sujet sa fondation.  Le concile décida de l’approuver et chargea l’abbé de Clairvaux, Bernard, de lui donner une règle, qui la soumit au pape, qui la laissa telle, et au patriarche de Jérusalem, Étienne, qui lui fit subir des modifications importantes et y ajouta quelques articles.

Cet Ordre comprenait un Maître, des chevaliers, des sergents et des chapelains, tous engagés par des vœux de religion.  La vie des membres faisait largement part à la prière et à la pénitence.  Ils pratiquaient l’abstinence, sauf trois jours par semaine, ils se montraient sobres dans leur habillement et leurs armes, tenus d’éviter tout luxe et tout superflu.  Les chevaliers portaient un grand manteau blanc et les sergents, un grand manteau noir.  Eugène II fit ajouter une croix rouge à leur costume.  Rapidement, ils furent placés sous l’autorité du pape, soustraits à la juridiction des patriarches de Jérusalem, à leur grand mécontentement.

En peu de temps, l’Ordre de Templiers étendit son pouvoir sur toute l’Europe et il proposait une véritable révolution dans les mœurs à l’aube du deuxième millénaire après J.-C.  En effet, tandis que, dans le système féodal, la plus grande partie de la noblesse ne pensait qu’à s’enrichir du travail des serfs, ils consacrèrent leur vie, leur fortune et leurs armes à la cause de protéger les pèlerins qui se rendaient à Jérusalem, entretenant un modèle de vie spirituelle propre à les aider dans leur quête de sagesse.

Deux siècles après sa fondation, l’Ordre comptait plus de cinq mille commanderies dispersées dans le monde connu, conciliant la vie militaire et la vie spirituelle.  Les donations des membres et des nombreux pèlerins reconnaissants lui permirent d’accumuler rapidement une richesse incalculable, qui servit notamment à payer la rançon de personnalités chrétiennes séquestrées par des Musulmans.  Leur honnêteté était si grande que rois et nobles leur confiaient leurs biens, ne voyageant qu’avec un document prouvant leur existence, une attestation qu’ils pouvaient échanger dans n’importe quel château de l‘Ordre contre une somme équivalente, ce qui donna naissance aux lettres de change encore en usage.  Dans leur dévotion spirituelle, les chevaliers incluaient la légitimité de toutes les voies spirituelles, d’où ils cherchèrent à mettre un terme aux combats pour la foi et à rassembler les principales religions monothéistes de l’époque.  Voilà pourquoi leurs chapelles portaient la coupole ronde du temple judaïque, les murs octogonaux des mosquées arabes et la nef caractéristique des églises chrétiennes.

Trop en avance sur leur époque, les Templiers commencèrent à susciter de la méfiance.  Abhorré par les Arabes, il finit par se replier en Europe.  Leur grand pouvoir économique attira la convoitise des rois, tandis que leur tolérance religieuse inspirait à l’Église établie de l’inimitié à leur endroit.  Il faut dire qu’on n’avait jamais pardonné à cet Ordre religieux et militaire son prestige et sa richesse, du fait qu’il était presque devenu, à un moment, la Banque du monde.  Il s’occulta quand Philippe le Bel lui intenta un procès obscur qui aboutit à sa condamnation et au supplice de son grand maître, Jacques de Molay.

Le 13 octobre 1307, le Vatican et les principaux États européens organisèrent l’une des plus grandes opérations de police du Moyen Âge.  De nuit, on arrêta les principaux chefs templiers dans leurs châteaux et on les conduisit en prison.  On les accusa de pratiquer des cérémonies secrètes de nature diabolique, des orgies et la sodomie avec leurs aspirants.  À l’issue de violentes tortures, qui aboutissaient à des abjurations, à des trahisons et, parfois, à des meurtres, on raya de l’histoire cet Ordre, confisquant ses biens, dispersant ses membres de par le monde.  Le dernier Maître de l’Ordre, Jacques de Molay, fut brûlé vif au centre de Paris, avec un compagnon, après avoir fait la requête de mourir en regardant les tours de la cathédrale de Notre-Dame.  Alors, l’Espagne, engagée dans la reconquête de la péninsule ibérique, choisit d’accueillir les chevaliers qui fuyaient les autres pays européens, afin qu’ils aident ses princes dans le combat mené contre les Maures.  Ces chevaliers furent absorbés par les Ordres militaires espagnols, parmi lesquels l’Ordre de Saint-Jacques-de-L’épée, responsable de la garde du Chemin de Compostelle.  Un château templier en ruine subsiste, du reste, à Ponferrada, en Espagne.

Cet Ordre aurait été récemment restauré.

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LA VÉRITABLE SAGA DES TEMPLIERS D’APRÈS LES ARCHIVES AKASHIQUES

La version historique de l’Ordre du Temple

 

L’Ordre du Temple aurait été fondé entre 1118 et 1120, après la première Croisade, par trois chevaliers qui ne voulaient pas en revenir. En 1119, entre les mains du patriarche de Jérusalem, quelques chevaliers français, dont Hugues de Payns et Geoffroy de Saint-Omer, mus par un sentiment de pitié, firent vœu de se consacrer au service du Christ par la pratique des trois vœux de religion. S’étant réunis dans la cour d’un vieux château abandonné, ils prêtèrent un serment d’amour pour l’Humanité. Formant un Ordre militaire, ils s’engagèrent à veiller à la sécurité des routes et à protéger les pèlerins qui se rendaient en Terre Sainte, contre les brigands et les Sarrasins. Le roi Baudouin II leur attribua comme résidence une partie de son propre palais, dans le Temple de Salomon, d’où leur nom de Templiers, leur concédant quelques possessions et revenus. Pendant neuf ans, leur nombre stagna.

Mais, à partir de 1128, l’Ordre prit une rapide extension, suite à une visite d’Hugues de Payns en France. En ce pays, il se présenta devant les membres du concile de Troyes (13 janvier 1128), entretenant le cardinal-président, Matthieu d’Albano, du sujet sa fondation. Le concile décida de l’approuver et chargea l’abbouclier-templiersbé de Clairvaux, Bernard, de lui donner une règle, qui la soumit au pape, qui la laissa telle, et au patriarche de Jérusalem, Étienne, qui lui fit subir des modifications importantes et y ajouta quelques articles.

Cet Ordre comprenait un Maître, des chevaliers, des sergents et des chapelains, tous engagés par des vœux de religion. La vie des membres faisait largement part à la prière et à la pénitence. Ils pratiquaient l’abstinence, sauf trois jours par semaine, ils se montraient sobres dans leur habillement et leurs armes, tenus d’éviter tout luxe et tout superflu. Les chevaliers portaient un grand manteau blanc et les sergents, un grand manteau noir. Eugène II fit ajouter une croix rouge à leur costume. Rapidement, ils furent placés sous l’autorité du pape, soustraits à la juridiction des patriarches de Jérusalem, à leur grand mécontentement.

En peu de temps, l’Ordre de Templiers étendit son pouvoir sur toute l’Eur ope et il proposait une véritable révolution dans les mœurs à l’aube du deuxième millénaire après J.-C. En effet, tandis que, dans le système féodal, la plus grande partie de la noblesse ne pensait qu’à s’enrichir du travail des serfs, ils consacrèrent leur vie, leur fortune et leurs armes à la cause de protéger les pèlerins qui se rendaient à Jérusalem, entretenant un modèle de vie spirituelle propre à les aider dans leur quête de sagesse.

Deux siècles après sa fondation, l’Ordre comptait plus de cinq mille commanderies dispersées dans le monde connu, conciliant la vie militaire et la vie spirituelle. Les donations des membres et des nombreux pèlerins reconnaissants lui permirent d’accumuler rapidement une richesse incalculable, qui servit notamment à payer la rançon de personnalités chrétiennes séquestrées par des Musulmans. Leur honnêteté était si grande que rois et nobles leur confiaient leurs biens, ne voyageant qu’avec un document prouvant leur existence, une attestation qu’ils pouvaient échanger dans n’importe quel château de l‘Ordre contre une somme équivalente, ce qui donna naissance aux lettres de change encore en usage. Dans leur dévotion spirituelle, les chevaliers incluaient la légitimité de toutes les voies spirituelles, d’où ils cherchèrent à mettre un terme aux combats pour la foi et à rassembler les principales religions monothéistes de l’époque. Voilà pourquoi leurs chapelles portaient la coupole ronde du temple judaïque, les murs octogonaux des mosquées arabes et la nef caractéristique des églises chrétiennes.

Trop en avance sur leur époque, les Templiers commencèrent à susciter de la méfiance. Abhorré par les Arabes, il finit par se replier en Europe. Leur grand pouvoir économique attira la convoitise des rois, tandis que leur tolérance religieuse inspirait à l’Église établie de l’inimitié à leur endroit. Il faut dire qu’on n’avait jamais pardonné à cet Ordre religieux et militaire son prestige et sa richesse, du fait qu’il était presque devenu, à un moment, la Banque du monde. Il s’occulta quand Philippe le Bel lui intenta un procès obscur qui aboutit à sa condamnation et au supplice de son grand maître, Jacques de Molay.

Le 13 octobre 1307, le Vatican et les principaux États européens organisèrent l’une des plus grandes opérations de police du Moyen Âge. De nuit, on arrêta les principaux chefs templiers dans leurs châteaux et on les conduisit en prison. On les accusa de pratiquer des cérémonies secrètes de nature diabolique, en plus de s’adonner à des orgies et à la sodomie, avec leurs aspirants. À l’issue de violentes tortures, qui aboutissaient à des abjurations, à des trahisons et, parfois, à des meurtres, les gouvernements en place, autant politiques que religieux, crurent rayer de l’histoire cet Ordre, confisquant ses biens, dispersant ses membres de par le monde. Le dernier Maître de l’Ordre, Jacques de Molay, fut brûlé vif au centre de Paris, avec un compagnon, après avoir fait la requête de mourir en regardant les tours de la cathédrale de Notre-Dame. Alors, l’Espagne, engagée dans la reconquête de la péninsule ibérique, choisit d’accueillir les chevaliers qui fuyaient les autres pays européens, afin qu’ils aident ses princes dans le combat mené contre les Maures. Ces chevaliers furent absorbés par les Ordres militaires espagnols, parmi lesquels l’Ordre de Saint-Jacques-de-L’Épée, responsable de la garde du Chemin de Compostelle. Du reste, un château templier en ruine subsiste à Ponferrada, en Espagne.

Ainsi fut donnée la version historique de l’Ordre du Temple. Cet Ordre aurait été récemment restauré, sous l’égide de la Rose+Croix A.M.O.R.C., un geste approuvé par l’Église catholique.

Les débuts secrets de l’Ordre du Temple

En Occident, les «Chevaliers du Temple», dits les «Templiers», étaient membres de la plus mystique et mystérieuse organisation de chevalerie dans le Moyen Âge du monde occidental. En fait, son Cercle intérieur Templiers était si secret que l’histoire n’a pas retenu la plupart des noms de ses membres. Les techniques spirituelles que le Cercle intérieur de cette association étaient si puissantes qu’elles ont permis à ce groupe de représenter une puissance spirituelle à l’échelle mondiale pendant sept cents ans, du début du XIIᵉ au début du XIXᵉ siècle. Sauf que l’Ordre du Temple, avec ses Templiers, n’a pas disparu avec les attaques insidieuses et couardes menées au milieu de la nuit d’un vendredi fatidique, le treizième jour d’octobre 1307.

En fait, le Cercle Intérieur des Templiers fut formé dans les années 1100 et il maintiendra son influence dans le monde entier jusque dans les années 1800. L’Ordre du Temple ne date pas de 1118, comme il n’a pas pris naissance à Jérusalem. En effet, quatre ans plus tôt, soit en 1114, l’Évêtrempliersque de Chartres, en France, avait déjà parlé de cette organisation mystique qui était apparue presque simultanément en Écosse et en France. Il persiste beaucoup de confusion à propos dudit Ordre, en raison de l’attaque massive et perfide menée ce vendredi 13 par les troupes françaises et les mercenaires papaux.

Pour le discréditer et parvenir à établir leur hégémonie, le roi de France et le pape d’Italie avaient établi une liste de mensonges, de manière à complètement déformer les faits, une manière rusée de justifier leurs actes horribles. Ces informations présumément exactes provenaient, disaient-ils des Templiers eux-mêmes qui avaient été soumis à des cours de justice françaises, mais qui avaient été obtenues grâce à une torture extrême. En réalité, les Templiers, capturés les uns après les autres, furent torturés pendant des années, de manière à leur arracher des confessions. Après des années de torture, les plus faibles d’entre eux n’auraient-ils pas accepté de dire n’importe quoi pour mettre un terme à leurs souffrances?

En vérité, l’Ordre du Temple naquit en Écosse avec les activations, au moyen de la Pierre d’Alliance, des mémoires ancestrales enregistrées dans l’ADN chez d’un descendant de la Lignée davidique, dans les premières années du XIIᵉ siècle après le début de l’ère chrétienne. Il faut rappeler que, au VIᵉ siècle, une certaine Tamar, membre de la Lignée davidique, avait enterré l’Arche d’Alliance à Jérusalem, qu’elle avait fui, avant que Nabuchodonosor et ses armées de Babylone, n’eussent capturé la ville. Cette Tamar était la fille du roi du lieu. Ainsi, accompagnée du prophète Jérémie, celui qui est mentionné dans la «Bible», elle prit une des Pierres dans l’Arche d’Alliance et l’emporta en Irlande, dans sa fuite. Les années passant, un roi d’Irlande épousa la jeune fille. Plus tard, leurs descendants celtes migrèrent vers l’Écosse pour s’allier aux Pictes, par diverses alliances. À l’origine, les Pictes, issus de l’Inde, avaient eux-mêmes migré vers l’Écosse, porteurs des mémoires ancestrales, enregistrées dans leur ADN, de l’ancienne «Race bleue» d’Extrême-Orient.

C’est ainsi que, à la fin du XIᵉ siècle, les lignées porteuses de l’ADN de ladite Tamar Irlandaise, une femme de la Lignée davidique, et de celle des Pictes, de la Lignée de la Race bleue, fusionnèrent les gênes l’ADN de deux Tamars de la Lignée davidique de Gaule. Voilà comment un garçon de sang royal naquit en Écosse, porteur de trois touches uniques de mémoires ancestrales, enregistrées dans son ADN. Alors qu’il n’était encore qu’un enfant, ses parents lui firent voir la Pierre venant de l’Arche d’Alliance, une pierre aussi connue sous le nom de «Rocher d’Israël ». Les deux parents du jeune écossais provenaient de la Lignée davidique pure, ce qui en faisait les Gardiens héréditaires légitimes de cette Pierre tirée de l’Arche d’Alliance. L’emplacement de la Pierre d’Alliance reste secret pour les profanes et les êtres qui manquent de maturité spirituelle, comme il l’a toujours été.

Le jour où ses parents l’avaient amené voir la pierre mystérieuse qui abritait la Pierre sacrée, ils lui avaient interdit de pénétrer dans la pièce secrète qui la contenait, à moins d’être accompagné de l’un d’eux. Sauf que les récits entourant la Pierre magique avaient tellement enflammé son imagination, maintenant en lui une véritable fascination, qu’il s’y rendit à plusieurs reprises, bien qu’il fût seul, ce qui lui attira de sévères réprimandes.

On sait même que, un jour, son père était entré dans une telle mauvaise humeur que même sa femme, habituellement au-dessus de ses états d’âme, ne se permettait plus que de se déplacer en silence dans le château, pour éviter de le heurter et d’en ajouter à son déplaisir. Connu pour avoir un tempérament impérieux, tout le monde lui faisait de la place, car personne ne voulait lui donner une raison de décharger sa colère sur lui.

Et ce fut dans cet état d’humeur négatif que le père découvrit que, une fois de plus, son fils lui avait désobéi, s’étant rendu visiter, seul, la Pierre mystérieuse. En prononçant le nom de son fils, son géniteur lança un tel rugissement de colère que même ses soldats d’élite et les chevaliers les plus endurcis à la bataille en frémirent. Après avoir entendu son époux furieux prononcer à plusieurs reprises le nom de son fils et le bruit d’une porte défoncée, sa femme accourut. Elle le rejoignit alors qu’il s’était installé dans le château un silence de mort. Craignant le pire, elle se précipita dans l’entrée, elle étouffa un cri avec sa main, puis elle éclata en sanglots et s’empressa de s’agenouiller auprès de son mari qui s’était prosterné à genoux sur le sol, pour se mettre en prière.

À l’autre bout de la pièce, inconscient de la présence de ses parents, leur fils se tenait debout, tenant la Pierre de l’Arche d’Alliance. Dans un déploiement immense d’énergie électromagnétique, ses cheveux dressaient sur sa tête, alors qu’une Lumière spirituelle émanait des symboles diversement gravés sur elle par Jérémie, Moïse-Akhenaton et d’autres hommes illustres.

Il faut savoir que, périodiquement, les mémoires ancestrales enregistrées dans l’ADN d’un sujet, issu de deux lignées distinctes ou plus, se combinent pour engendrer un corps physique unique qui se présente comme une véritable bibliothèque vivante, capable de restituer les mémoires ancestrales de plusieurs lignées spirituelles. Ainsi, comme Jésus, beaucoup plus tôt, quand le jeune écossais avait saisi la Pierre d’Alliance, les symboles s’étaient animés, chargés d’un déploiement électromagnétique lumineux, au moment où le processus de récupération des mémoires ancestrales, enregistrées dans son ADN, avait commencé. Ce n’est pas autrement que le fondateur de l’Ordre du Temple s’éveilla à son destin, devenant lui-même le premier membre de cette association glorieuse.

Le Cercle intérieur de l’Ordre du Temple retrouve l’Arche d’Alliance

Le secret de l’éveil du jeune écossais, au contact de la Pierre de l’Arche d’Alliance, se répandit rapidement, mais seulement auprès de membres de la famille élue. Un des cousins du jeune écossais, qui avait entendu parler, en aparté, que la Pierre de l’Alliance avait activé ses gênes, s’enquit pour savoir si ce dernier visiterait la branche française de sa famille, histoire de pouvoir l’entendre parler en personne de cette fabuleuse expérience et discuter de ces informations.

Et ce fut ainsi que le jeune écossais mystique se rendit en France, pour rendre visite à son cousin, tout aussi mystique que lui. Il s’agissait du personnage historique de Bernard de Clairvaux ou Bernard de Clairvaux. Dans sa conversation, après qu’il eut reçu davantage d’informations sur l’activation provoquée par la Pierre empruntée à l’Arche d’Alliance et qu’il se fut entendre que les «informations téléchargées» provenaient de la Pierre qui contenait les renseignements relatifs à l’emplacement du lieu d’enterrement de l’Arche d’Alliance enterrée, celui-ci rappela au jeune homme l’existence d’autres membres français et flamands de la famille. Au gré des événements, le Cercle intérieur originel de l’Ordre du Temple se constitua de membres écossais, français et flamands du jeune prince écossais.

Tandis que davantage de membres de la famille rejoignaient ce groupe, accourant de diverses parties de l’Europe, des informations à propos de leurs réunions secrètes commencèrent à filtrer. Ensuite, en 1114, l’Évêque de Chartres commença à parler de façon ouverte des Templiers. Ainsi, en 1115, l’un des membres du Cercle intérieur, Hugues de Payns (qui devait plus tard devenir le Premier Grand Maître des Templiers), donna un grand domaine au moine Bernard de Clairvaux où il pourrait faire construire un monastère cistercien.

L’érection de ce monastère permit aux Cercle intérieur de l’Ordre du Tempe de régulièrement se rassembler en secret pour y mener des rencontres privées. De cette façon, le Cercle intérieur des Templiers et les moines cisterciens formèrent une alliance spirituelle secrète fondée sur les enseignements et les techniques de Jésus le Nazaréen, de Moïse et d’autres saints hommes, une alliance qui dura de nombreuses années. En 1128, il existait déjà quelques centres cisterciens, mais en pas moins de vingt-cinq ans, il poussa trois cents nouvelles abbayes. Le monastère cistercien de Bernard de Clairvaux devint le centre du Cercle intérieur de l’Ordre du Temple, chargé de planifier la récupération de l’Arche d’Alliance et, plus tard, la traduction des trésors sans prix qu’elle contenait.

Après que les plans pour le retrait et le transport secret de l’Arche, au monastère, furent achevés, l’histoire des Templiers commença officiellement à Jérusalem. En 1118, des membres de la famille se rendirent dans la capitale de la Palestine et ils commencèrent l’excavation de l’Arche d’Alliance et de ses trésors sans prix, répartis sur plusieurs sites. Voilà comment les Templiers déterrèrent l’Arche d’Alliance, Templiers, sous la direction du jeune Écossais, avec la participation des membres de sa famille, cofondateurs du Cercle intérieur de l’Ordre du Temple.

L’association des Templiers, comme de nombreuses organisations spirituelles anciennes, comportaient divers échelons spirituels. Aux XII et XIIIᵉ siècles, elle comprenait trois degrés. Il résulta de l’expérience du 13 octobre 1307 que ces degrés et ces cercles furent complètement changés, d’où, en quelques siècles, seul le Cercle intérieur subsista. Il s’agissait simplement des Templiers, tels que le commun des mortels pouvait historiquement les reconnaître, regroupés autour de leur Grands Maîtres, les membres aînés du degré supérieur des Templiers, ceux qui étaient habilités à enseigner à tous les Templiers certaines techniques spirituelles et certains principes de sagesse. En réalité, en secret, certains membres avancés du Prieuré de Scion enseignaient aux Templiers aînés, à la requête du Cercle intérieur. On reconnaissait encore ces membres avancés du Prieuré pour leurs accomplissements dans divers domaines. Pourtant, ils partageaient communément un rôle : pour avoir personnellement étudié la sagesse secrète de l’Arche, sous la supervision d’un membre ou plus du Cercle intérieur des Templiers, chacun agissait comme «Enseignant-Formateur» des Templiers aînés.

Dans les récits historiques de la civilisation occidentale, bien qu’il fût formé de personnages connus, le Cercle intérieur de l’Ordre du Temple est longtemps resté inconnu. Pourtant, comme on l’a vu, dès son origine, il était constitué de son jeune fondateur écossais et de certains de ses parents de même origine, avec des Français et des Flamands. On pouvait notamment y reconnaître, à côté d’Hugues de Payns, Bernard de Clairvaux et Hugues de Champagne. Ce ne fut pas autrement que, en 1128, protégée par neuf Templier notoire, l’Arche d’Alliance fut secrètement déplacée de Jérusalem en France.

Le trésor de prix inestimable que représente l’Arche d’Alliance ne s’évalue pas en une forme quelconque de richesse monétaire, mais à partir de la sagesse et des techniques spirituelles puissantes provenant de Moïse-Akhenaton et d’autres personnages bibliques, enrichies de l’expérience de Jésus. Ainsi, elle contenait la vérité relative à toute l’expérience de l’humanité, avec des moyens de communiquer avec d’autres sphères d’existence.

À vrai dire, le jeune Écossais, ce fondateur de l’Ordre du Temple, pouvait se servir des énergies électromagnétiques intenses de l’Arche d’Alliance et des Pierres qui en provenaient en raison de la pureté de son ADN et de son utilisation quotidienne des techniques spirituelles dont il avait recouvré le souvenir au moment où la Pierre d’Alliance avait son ADN, dans son enfance. Dès lors, il était capable d’œuvrer en toute sécurité dans les énergies de l’Arche qui ajoutaiTEMPLIERSt de nouvelles potentialités. Les autres membres de l’Ordre, qui ne partageaient pas un tel degré de pureté de leurs gênes ne s’adonnaient pas à des activations quotidiennes de leur propre Esprit, de leur champ d’énergie électromagnétique et de leur Corps de Lumière. Ils ne pouvaient pas opérer dans des énergies électromagnétiques de qualité supérieure qui émanaient de l’Arche sans rencontrer des dérèglements dans leur corps physique. Cala laisse entendre que seuls les être qui détiennent un ADN pur et qui s’occupent quotidiennement de rehausser leur taux vibratoire parviennent à soutenir des énergies hautement chargées du type de celles qui émanaient de l’Arche d’Alliance et des Pierres qui, à l’origine, en provenaient.

Dans son désir d’aider son cousin, Bernard de Clairvaux, et les autres membres du Cercle intérieur à comprendre les trésors spirituels inestimables de l’Arche d’Alliance, le jeune Écossais prélevait les Pierres d’Alliance une à la fois lors des sessions d’études. Quand il avait complété avec eux l’étude des symboles d’une Pierre sacrée, le Grand Maître écossais allait la reporter à sa place. Il savait d’instinct, grâce à l’activation de son propre ADN, qu’il devait constamment maintenir l’équilibre énergétique de l’Arche. Pour cette raison, lors des sessions d’études, il recourait, en remplacement temporaire de l’unique Pierre qu’il prélevait de l’Arche, aux Pierres que Tamar et Jérémie avaient originellement emportée avec eux en Écosse et en Irlande.

Plus tard, les Pierres et l’Arche furent déplacées de France en Écosse. Ainsi, lorsque les troupes françaises et les mercenaires papaux attaquèrent les quartiers généraux des Templiers de ce pays, au cœur de la fatidique nuit du vendredi 13 de l’année 1307, ils ne trouvèrent pas l’Arche ni aucun de ses trésors d’un indicible prix. Ici, il faut révéler que le Cercle intérieur de l’Ordre du Temple avait subrepticement passé en Écosse, avec l’Arche d’Alliance et ses Pierres. Sauf que c’est cette funeste nuit qui a donné cours à la superstition tenace, qui déclenche chez certains une grande frayeur, que tout vendredi qui se présente un 13 du mois peut annoncer des événements catastrophiques ou menaçants.

L’Ordre du Temple présente à Rome les Vérités empruntées à la véritable vie de Jésus

Le Cercle intérieur des Templiers passa plusieurs années à planifier l’excavation, la récupération et le retour de l’Arche d’Alliance en terre sécuritaire, soit, d’abord, au monastère cistercien de Bernard de Clairvaux. En fait, lorsque Jésus ré-enterra l’Arche, au début de l’ère chrétienne, il y plaça des documents résumant son propre enseignement, avec les techniques destinées en donner la démonstration, avec les Pierres sacrées et avec les documents qu’il y avait originellement trouvés. Il enterra également d’autres textes qui décrivaient, en langage symbolique, à l’intention d’un être éveillé de sa descendance ou de la pure Lignée davidique, les emplacements d’autres documents et objets sacrés enterrés à Jérusalem et en territoire de Palestine. Ainsi, le Cercle intérieur de l’Ordre du Temple dut consacrer des années d’excavation à la localisation et à la récupération des documents et des objets que le Maître de l’Ère des Poissons avait enfouis un peu partout. Pendant son séjour en Palestine, l’Écossais Hugues de Payns s’occupa de décrypter les symboles que portaient les Pierres et les documents de l’Arche d’Alliance.

Par la suite, il faisait parvenir les documents traduits, résultant de son intervention, à l’abbé Bernard de Clairvaux et à d’autres membres de la famille du Cercle intérieur qui résidaient au monastère. L’excitation qui provenait de l’arrivée récente de l’interprétation des nouveaux documents découvert grandissait de mois en mois. En 1125, un membre bien connu du Cercle intérieur, Hugues de Champagne, quitta sa femme, ses enfants et ses terres, de la taille d’un royaume, pour rejoindre ses parents à Jérusalem. L’arrivée de cet homme, Hughes de Champagne, avec d’autres membres de la famille du Cercle intérieur, permit l’achèvement des excavations sur le territoire de la Palestine en 1127.

Dès lors, les membres du Cercle intérieur de l’Ordre du Temple qui se trouvaient en Terre Sainte rassemblèrent secrètement l’ensemble des documents et des objets qu’ils avaient trouvés éparpillés dans tout le Moyen-Orient en un seul lieu, soit dans leurs quartiers généraux de Jérusalem. Ensuite, en 1128, le Grand Maître Écossais, avec d’autres membres de la famille du Cercle Intérieur des Templiers, revint en France, s’accompagnant de l’Arche d’Alliance, de ses Pierres sacrées et de nombreux documents et objets de valeur spirituelle.

Pendant les fouilles, Bernard de Clairvaux et d’autres membres de la famille du Cercle intérieur, qui étaient restés en marge des travaux, occupés au monastère, n’avaient pas chômé. Au fil des ans, ce groupe avait traduit des documents et il avait préparé une présentation pour le Saint-Siège de Rome pour révéler la valeur et la sagesse des informations innombrables qu’ils avaient tirées de l’Arche d’Alliance. Année après année, ils avaient veillé à planifier leur présentation avec soin et adresse. Ainsi, en 1128, ils décidèrent de procéder en diffusant certaines informations et remettant en cadeau quelques objets à destination du pape Honoré II, par voie d’ambassadeurs français. Cette présentation publique provoqua une réaction vive qui allait se faire sentir par toute l’Europe et à travers le monde occidental pendant des siècles.

Précisons que c’est Hugues de Payns, avec d’autres membres du Cercle intérieur de l’Ordre du Temple, qui procéda à la présentation à l’occasion du regroupement de personnes influentes au Concile de Troyes de 1128. Celle-ci, qui comportait des documents révélant un certain nombre de vérités sur l’histoire et les enseignements de Jésus, était de nature à engendrer un prodigieux éveil spirituel et à susciter, d’une manière ou d’une autre, une forte réaction. Ce jour même, il plana sur la ville une telle quantité d’énergies spirituelles électromagnétiques, imprégnées d’Amour et de Lumière, que les rois d’Europe commencèrent immédiatement à faire don aux Templiers de propriétés foncières, tandis que les enfants des familles royales, surtout les fils, arrivaient de tout l’Occident pour se joindre aux Templiers.

Même si le code des Templiers demandait qu’un chevalier fît don de l’ensemble de ses possessions à l’Ordre du Temple, cela n’empêchait pas les membres d’extraction royale de venir de toute l’Europe pour faire partie de ceux «Qui Savent». Parmi d’autres événements, pendant cette seule année 1128, l’Ordre du Temple reçut un statut international. Pour sa part, Bernard de Clairvaux devenait le «Protecteur et Patron» officiel des Templier, mandaté par Rome. Dès lors, ce grand moine commença à révéler publiquement les préceptes de la «Géométrie sacrée de Salomon» qui donna la forme de l’architecture gothique, utilisée dans la construction de nombre des grandes cathédrales de France. C’est alors qu’on entreprit la construction de ces églises magnifiques dédiées à Notre-Dame, c’est-à-dire à Marie-Madeleine, l’épouse révérée de Jésus : cathédrale Notre-Dame de Paris, commencée en 1163, suivie, par celle, si intrigante de Chartres, en 1194.

Au terme du Concile de Troyes, Hugues de Payns repartit pour l’Écosse où il rencontra David, le roi écossais. De façon inattendue, leur rencontre, les Templiers reçurent en ce pays de grands domaines de terre. La magie opéra de la même manière par toute l’Europe. C’est dire avec quelle ouverture d’esprit, au XIIᵉ siècle, les habitants de l’Europe, accueillirent les Templiers en raison des enseignements de sagesse, des informations précieuses et des techniques spirituelles qu’ils venaient de ressusciter et se dévouaient à partager avec ceux qui étaient prêts.

L’Église de l’Empire romain se rebiffe et contre-attaque avec les Inquisitions

Le petit clergé n’assimila que trop bien les nouveaux enseignements et les nouvelles mœurs qui en découlaient. Sauf que l’Église chrétienne, établie par l’Empire romain, dut constater qu’elle ne transmettait plus qu’un pâle reflet de la flamme provenant de la Lumière émanant de la sagesse et des techniques spirituelles de Jésus, dans son enseignement véritable. En principe, même une légère flamme suffit pour que les gens qui s’orientent vraiment spirituellement puissent atteindre l’Illumination, tellement la Lumière divine est puissante. Mais, ne peut atteindre un tel degré de Lumière que celui qui, dans sa vie courante, parvient à abandonner les désirs de richesse, de reconnaissance, de gloire, de pouvoir, de luxe, fomentés par l’ego.

Dans les sphères supérieures de l’Église chrétienne, si bien nantis, si opulents, si encensés et si bien installés, des êtres comme le pape et les ecclésiastiques du sommet de la hiérarchie, le détachement n’était pas facile. Une trop grande aisance parvient souvent à corrompre les mœurs et à rabaisser l’idéal spirituel. Régulièrement adulés, spontanément portés aux nues, ils sentaient de moins en moins la nécessité de s’adonner régulièrement à l’ensemble des techniques spirituelles auxquelles ils devaient s’astreindre. Dans ce courant d’admiration béate, comme des prédateurs, ils n’avaient qu’à se contenter de prendre les énergies spirituelles des autres sans les retourner. De plus, leur grande richesse leur permettait de s’accorder à volonté des traitements qui les amenaient à manquer de temps à consacrer à leurs devoirs spirituels quotidiens. Il semble que la corruption spirituelle mène à la corruption morale et à la corruption éthique. Dès lors, , l’Église exotérique, fondée par l’Empire romain, continua à éprouver des problèmes à ses plus hauts niveaux.

Il faut avouer que les papes du XIIᵉ siècle, qui ouvrirent leur cœur et leur esprit à la richesse spirituelle sans prix des découvertes des Templiers, se démontrèrent de bons chefs spirituels. Mais, au XIIIᵉ siècle, avec les vagues d’Inquisition, des esprits moins lumineux tentèrent désespérément de détruire les conceptions des Templiers en faisant massacrer des millions d’hommes, de femmes et d’enfants innocents. Les ravages commencèrent officieusement en 1209 et, officiellement, en 1233. En effet, l’Église chrétienne exotérique commença à se préoccuper de plus en plus de la diffusion de l’enseignement des Templiers, remplie de vérités dérangeantes. Car le vrai Jésus qu’ils décrivaient, soutenus par des documents et des objets, comme le calice de Mariage de Jésus et Marie-Madeleine, décrit par les Templiers et soutenu par des documents, contredisait complètement la version de la vie de Jésus retenue par l’Empereur romain Constantin, imposée au Concile de Nicée, en 325 après J.-C. Surtout, dès la fin du XIIᵉ siècle, le bien-être économique de la hiérarchie de l’Église chrétienne se voyait menacé par les dons que les gens simples, jusqu’aux rois, faisaient aux indigents et aux Templiers, plutôt qu’à elle. Le pape, avec le haut clergé, parvenait de plus en plus difficilement à soutenir le style de vie extravagant qu’il s’était ménagé.

C’est dans ce contexte d’envie que, au début du XIIIᵉ siècle, des rumeurs commencèrent à circuler d’après lesquelles les Templiers avaient caché l’Arche d’Alliance, avec les Pierres sacrées, chez les Cathares, des Gnostiques de France. Le mot «Cathare» représente le nom donné à une personne de la secte chrétienne des Cathares et Albigeois, qui se réclamaient des «Êtres purs», soit des Serviteurs du vrai Jésus. Des propos malveillant se répandaient dans les plus hautes sphères de l’Église exotérique, issue de l’Empire romain, selon lesquelles certaines personnes parmi les Cathares, de véritables descendants de Marie-Madeleine et de Jésus) consommaient l’ancien Pain sacré, dit la «Manne», afin de retrouver l’usage des mémoires ancestrales de leurs parents enregistrées dans leur ADN, plutôt que le pain azyme de l’hostie.

Prise de panique, dans sa peur de perdre une part de son prestige, l’Église catholique conçut une terrible contre-attaque. Payés par le pape Innocent III, trente mille mercenaires se déplacèrent au pays des Cathares français. Ces militaires couards et hypocrites, se déguisèrent en Templiers et ils passèrent trente-cinq ans à essayer de localiser l’Arche d’Alliance et les Pierres sacrées. Ils détenaient l’ordre papal de tuer n’importe quel descendant de Jésus et de Marie-Madeleine, parce qu’il menaçait Rome par la vérité qu’il portait. Ainsi, les armées papales massacrèrent approximativement cent mille hommes, femmes et enfants, dans ce délai.

Malgré leurs recherches persévérantes, les mercenaires du pape restaient incapables de trouver le précieux butin que le Saint-Siège convoitait. De ce fait, les moyens financiers, nerfs de la guerre, s’effritaient, tandis que les enseignements des Templiers, relatifs au vrai Jésus, continuaient de se répandre. C’est alors que, approuvée par les officiers de l’Église catholique, le pape Grégoire IX lança la première Inquisition. Dans une volonté de détruire les croyances parallèles, dites hérétiques, au cours de quelques siècles, la hiérarchie catholique, avec l’appui de certains rois, fit torturer, mutiler et tuer des millions d’hommes, de femmes et d’enfants innocents , tués et mutilés.

Enfin, en 1252, frustré par la lenteur du retour vers Rome du pouvoir et des richesses, le pape Innocent IV accrut le pouvoir des membres de l’Inquisition. Il autorisa spécifiquement le recours à la torture sur les hommes, les femmes et les enfants dans l’intention arrêtée de leur soutirer des «confessions». De plus, il autorisa des procès secrets de façon à pouvoir inculper quiconque était suspecté de croire ou de suivre une philosophie de vie différente de la voie créée par le Concile de Nicée, en 325 de notre ère. Dans les procès, ceux qui étaient accusés d’hérésie avaient deux choix : se confesser aux Dominicains, superviseurs des Inquisitions, ce qui leur valait d’être jetés au bûcher, ou d’abjurer leur foi, après quoi ils étaient immédiatement jugés coupables et emprisonnés, souvent torturés.

Vers la fin du XIIIᵉ siècle, Philippe, le roi français, prélevait de forts impôts et il dépensait d’énormes quantités d’argent pour assouvir ses propres désirs personnels au lieu d’aider son peuple. Il dépensait tellement qu’il était obligé d’emprunter de grandes sommes d’argent aux Templiers, malgré qu’il ne parvenait pas encore à satisfaire ses appétits voraces et ses immenses ambitions. Ainsi, il retourna son appétit boulimique pour l’argent les Églises catholique de France qu’il taxa, avec leur clergé. Suite à ce nouveau déboire financier, l’Église de Rome décréta une immense célébration spéciale dans la capitale du Latium. Ceux qui se rendraient à Rome pendant l’année 1300 et verseraient de grands montants d’argent à l’Église catholique se verraient pardonnés de tous les péchés de leur vie, peu importe la gravité de leurs fautes antérieures.

Hélas, malgré la masse de richesses qui se déversa sur la Ville éternelle, pendant cette même année, les entrées restèrent insuffisantes pour satisfaire les besoins de l’Église de l’Empire romain. C’est ainsi que, en 1302, le pape Boniface VIII décida de s’opposer à Philippe, qui avait imposé sa taxe aux églises de son royaume et il déclara que tous les rois devaient reconnaître qu’ils sont assujettis à l’autorité papale. Philippe répliqua en expédiant un émissaire français chargé de s’en prendre physiquement au pape qui en mourut plus tard. Philippe n’apprécia pas davantage le pape Bénédicte, qui succéda à Boniface VIII, puisqu’il mourut également de façon mystérieuse, peu après son élection. Dans ces conditions, Philippe moussa le nom de son candidat personnel qui devint l’assez étrange et inamical Clément V.

Avec ce nouveau pape, Philippe décida que, d’un commun accord, ils pourraient résoudre à la fois les problèmes du Royaume de France et ceux du Siège de Rome en éliminant l’Ordre du Temple. Dans cette aventure belliqueuse, le roi de France pourrait récupérer la masse monétaire des Templiers et Rome, tous les documents et les objets relatifs à Jésus de nature à contredire la version officielle de sa vie, telle qu’inventée par Constantin, au profit de l’Église catholique naissante.

Et ce fut ainsi que, pour l’un, afin de s’approprier une richesse spirituelle sans prix et, pour l’autre, de restaurer son richesse monétaire coutumière, en plein cœur de la nuit, les troupes françaises et les mercenaires papaux attaquèrent les Templiers de tout le Royaume de France, les mutilant, les emprisonnant ou les assassinant. Malheureusement pour eux, Philippe et Clément éprouvèrent une grande déception en constatant les résultats de leur coupable campagne. En effet, l’ensemble des richesses spirituelles et monétaires, ainsi que le Cercle intérieur des Templiers, avaient déjà quitté la France. Des êtres d’un aussi haut niveau de conscience ne pouvaient que recevoir des prémonitions!

N’empêche que, pendant des années, des Templiers de haut rang furent horriblement harcelés, dans une tentative futile de leur faire localiser les trésors convoités. Tous les Templiers arrêtés furent soumis à des tortures jusqu’à ce qu’ils confessent avoir participé à des rituels infamants. Philippe et Clément faisaient transcrire soigneusement ces «confessions» des Templiers, obtenues par la force, pour que ces aveux de crimes odieux, menés lors de rituels secrets, puissent indigner jusqubûcher des templiers’à la nausée et les retourner contre eux. Ils réussirent assez bien puisque un grand nombre des supporteurs de l’Ordre du Temple abandonnèrent les idéaux, la sagesse et les techniques qu’il proposait.

En 1314, après sept ans de torture, Jacques de Molay, le dernier Grand Maître connu des Templiers, fut condamné au bûcher. Tandis que son corps brûlait, il s’est écrié que toutes les confessions qu’on avait obtenues de sa part, suite à des années de torture, ne représentaient que des mensonges qu’on lui attribuait. Il prophétisa également que Philippe, comme Clément, mourraient avant la nouvelle année, ce qui se produisit effectivement avant la fin de l’année courante.

Le Cercle intérieur des Templiers, avec tous ces chevaliers français qui avaient réussi à rejoindre l’Écosse, s’allièrent à l’armée locale pour défendre ce pays. En 1314, l’Angleterre attaque l’Écosse parce qu’elle avait donné asile aux Templiers. Les Templiers et les Écossais, malgré leur armée réduite de huit mille hommes, mirent complètement en déroute l’armée anglaise, une force humaine qui dépassait de beaucoup les trente mille vétérans aguerris que la version orthodoxe de l’histoire a voulu rapporter. En effet, n’étant pas considérés comme des Anglais, les mercenaires papaux qui les accompagnaient n’ont pas paru dans le décompte officiel des troupes. Cet affrontement humiliant amena autant l’Angleterre, que la Hiérarchie romaine, à laisser l’Écosse en paix, puisque cette nation y acquit son indépendance. Signalons que c’était la première et la dernière fois dans l’histoire que les Templiers avaient dû choisir de recourir aux pouvoirs de l’Arche d’Alliance pour s’assurer une victoire nécessaire

La Restauration du Cercle Intérieur

Le Cercle intérieur des Templiers fut originellement formé au XIIᵉ et il se maintint, sans interruption, par une lignée familiale directe jusqu’au milieu du XIXᵉ siècle. Ledit Cercle resta actif pendant cinq siècles et demi après le vendredi 13 octobre 1307 et la bataille de Bannockburn, qui suivit en 1314, et qui était censé avoir marqué sa perte. Cependant, au milieu du XIXᵉ, les descendants de ce même Cercle original des Templiers lancèrent une série de tentatives simultanées pour restaurer les informations véridiques à propos de Jésus. Malheureusement, cette expérience marqua la fin de la puissance spirituelle du Cercle intérieur des Templiers, car ils furent tous tués par les fondamentalistes chrétiens américains et européens.

Au XVIIᵉ siècle, la plupart des membres écossais du Cercle intérieur de l’Ordre du Temple partirent pour l’Amérique, après que les fondamentalistes chrétiens, connus sous le nom de Puritains, opérant sous la fausse apparence d’être spirituels ouverts d’esprit, aient massacré et mutilé soudainement un grand nombre d’hommes, de femmes et d’enfants, en Angleterre et en Écosse. En passant, ces mêmes fanatiques Puritains immigrèrent également en Amérique et ils lancèrent leur longue et infâme «Chasse aux Sorcières» en Nouvelle Angleterre.

Les fondamentalistes chrétiens qui affichaient un lien de désaccord haineux avec tout tenant d’une version de la vie de Jésus autre que celle léguée par l’Empire romain, avec ses dogmes rigides, assassinèrent les membres du Cercle intérieur de l’Ordre du Temple. À ce propos, certains auteurs spirituels opinent que l’Enfer a été inventé pour enfermer, le temps requis pour la compréhension de leurs fautes, les êtres incarnés ou subtils qui nuisent à l’évolution spirituelle d’autrui, notamment en les tuant en raison de leurs croyances. Comment un être qui exprime sa colère sur un autre au nom de Dieu pourrait-il mériter le Ciel? En revanche, toutes les autres fautes ou autres manquements, ne représenteraient que des expériences de vie qui attirent des répercussions karmiques dans la vie suivante.

À l’aube du XXIᵉ siècle, les faux prophètes avaient pris possession de toutes les dénominations de la religion chrétienne. Pour le moment, ils croient dur comme fer avoir exterminé tous les membres du Cercle intérieur de l’Ordre du Temple, avec leurs disciples. Pourtant, il existait un groupe assez nombreux pour survivre à cette campagne meurtrière qui a atteint les dirigeants et les autres aînés. Au XIXᵉ siècle, parmi eux, en Amérique, se retrouvait l’un des membres de ce Cercle intérieur qui a survécu à toutes les tentatives d’extermination de la vérité ancienne, relative à la vie de Jésus. Cet homme n’a pu partager d’une petite partie des informations qu’il détenait, que des révélations intimes avaient complétée.

Par ailleurs, un certain nombre d’enfants, porteurs des mémoires encodées dans leur ADN, issues de leur lignage de Jésus et Marie-Madeleine, ont donné naissance à leur propre lignage. Ainsi, au XXIᵉ siècle, grâce à la mobilité des peuples et à l’ouverture des frontières, des descendants directs du Cercle intérieur des Templiers vivent en Amérique, en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique et ailleurs. Et, s’ils détiennent les clés sonores pour faire vibrer leurs gênes et s’ils s’accordent le temps d’isolement requis, ils peuvent éveiller les mémoires sublimes qu’ils portent en eux.

Depuis 2004, après des années de travail intense dans la plus grande solitude et le plus grand détachement, le survivant du Cercle intérieur s’active dans le monde, même qu’il a procédé à des initiations spéciales en 2005, contribuant à élever les possibilités d’Illumination de la planète et à accélérer le processus de l’Ascension. Ainsi, le multiple se prépare à devenir Un, ce qui annonce que, comme il y a deux mille ans, bientôt, il sera permis d’offrir de nouveau, publiquement, à ceux qui sont prêts, les Forces de l’Ombre ne pouvant plus s’y opposer, la sagesse et les techniques spirituelles de Jésus, tels qu’exprimées dans sa vraie vie.

Le Cercle intérieur de l’Ordre du Temple vient d’être rétabli

Qui osera croire que le grand peintre italien Leonardo da Vinci appartenait au Cercle intérieur rétabli de l’Ordre du Temple. Car les gens ne découvrirent les symboles voilés dans les tableaux de Léonard de Vinci, avec d’autres valeurs cachées, qu’avec la publication récente du livre de Dan Brown, le «Code Da Vinci», qui comporte quelques invraisemblances. Cependant, les historiens italiens de l’art savaient depuis bien longtemps que, dans sa toile de «La Cène», c’est Marie-Madeleine qui figure à côté de Jésus, en lieu et place du disciple Jean le Bien-aimé, se penchant amoureusement vers lui, pour rappeler qu’elle était la femme qu’il a le plus aimée sur Terre.

Il est connu que Léonard de Vinci témoignait d’un degré suffisant d’avancement spirituel pour occuper le poste de «Grand Nautonier» du Prieuré de Scion. Toutefois, les entourant ces informations restaient méconnues, du fait que, en ce XVᵉ siècle, c’est un membre du Cercle intérieur des Templiers qui l’avait instruit et initié en secret. Ledit Cercle intérieur a poursuivi son œuvre pendant des centaines d’années après la disparition officielle, au début du XIVᵉ siècle. En effet, après le vendredi 13 de l’an 1307, les membres européens du Temple se glissèrent dans la clandestinité. Certains ont rejoint d’autres ordres de chevalerie tandis que d’autres, plutôt, ont plutôt simplement changé, dans leur région, le nom de l’ancienne organisation. Mais ils n’ont pas manqué de poursuivre leur œuvre de transmission des valeurs sacrées de la vie. Même que le Cercle intérieur lui-même est resté une puissance spirituelle jusqu’au XIXᵉ siècle, une part de leurs interventions ayant été retenus par les livres d’histoire, tandis que d’autres leur ont complètement échappé.

Par exemple, beaucoup d’auteurs ont raconté la vie de Léonard, avec une large part de ses accomplissements. Mais, avant de le faire à notre tour, il nous faut aborder brièvement le cas de René d’Anjou, celui qui a transmis l’enseignement spirituel des mystères à cet ingénieux et inventif personnage. Cet Initié faisait partie du Cercle intérieur des Templiers pour avoir été instruit par ses parents, des descendants de la lignée de Jésus et Marie-Madeleine et des membres dudit Cercle, depuis son plus jeune âge.

En fait, lorsque le Cercle intérieur des Templiers revint en France avec l’Arche et les Pierres d’Alliance, en 1128, les Templiers ramenèrent aussi avec eux de nombreux objets et documents que Jésus avait enterrés pour en assurer la survivance. Au XVᵉ siècle, ses parents ont choisi René comme gardien de sa génération de certaines informations et de certains objets du temps de Jésus, ce qui comprenait le Calice de mariage de Jésus et de Marie Madeleine. Il s’agissait d’une magnifique coupe de cristal rouge d’Égypte, qui portait gravée une inscription qui pourrait se lire, en français : «Celui qui boit beaucoup verra Dieu. Celui qui boit une coupe verra Dieu et la Madeleine.»

La mère de René d’Anjou, Yolande, put travailler avec une jeune fille spirituellement douée de sa région pendant des années. Elle la présenta à René qui devint son mentor et qui veilla à vérifier l’authenticité de ses visions. Cette jeune fille finit par atteindre un degré de réalisation spirituelle tel qu’elle obtint des visions qui appelaient à l’application des injonctions spécifique des saints personnages qui s’y retrouvaient. C’est ainsi que René la jeune fille, alors âgée de 17, à son beau-frère, le Dauphin de France, afin qu’elle lui fasse part de ses visions. René et sa mère encouragèrent le Dauphin à soutenir les visions spirituelles de la jeune fille. Tous les deux recommandèrent de l’envoyer en mission avec les descendants des Templiers qui avaient pris part à la Bataille de Bannockburn, en 1314.

Le Dauphin exprima son accord aux membres de sa famille et, en 1429, il envoya une armée d’hommes menée par la Garde royale écossaise d’élite, désignés comme les «Gendarmes écossais». Comme l’histoire elle-même le confirme, la jeune fille, accompagnée de René, mit en déroute les Anglais, à Orléans, ce qui lui mérita le surnom de «Pucelle d’Orléans». Le Dauphin put être couronné Roi de France, alors que la jeune fille se tenait à ses côtés, portant fièrement la bannière des mémoires ancestrales de son ADN pour qu’elle soit perçue par «ceux qui ont des yeux qui voient ». Ladite bannière porte deux noms, les mêmes que Jésus le jeune avait gravé dans la pierre à Glastonbury en Angleterre, soit les noms de ses parents : «Iesus – Maria».

Toutefois, moins d’un an plus tard, les Anglais, des fondamentalistes religieux de l’Église chrétienne exotérique issue de l’Empire romain, devaient capturer la jeune fille qui, au terme d’un simulacre de procès, finit par être condamnée au bûcher, comme hérétique, parce que ses visions les dérangeaient. On aura compris qu’il s’agissait de Jeanne d’Arc. Pour expliquer son destin apparemment tragique, on pourrait arguer que les fruits de la croissance spirituelle échappent à la dimension du royaume terrestre pour plutôt mûrir dans les plans célestes et y apporter leur moisson. Mais tout Initié peut apporter des explications complémentaires qui ne méritent pas qu’on s’y attarde ici.

Encore, on peut préciser que des êtres avancés en conscience comme Jeanne d’Arc ou, avant elle, Jacques de Molay, n’ont pas connu la fin douloureuse qu’on imagine. Ainsi, après avoir signifié leur degré de réalisation spirituelle, résultat des enseignements spirituels qu’ils avaient suivis et mis en pratique, ils traversèrent le voile qui mène de la vie au trépas de façon glorieuse. C’est ce qui leur permit de proclamer la vérité de leur mission, au moment où leur corps se consumait, juste avant d’appliquer la technique de l’Attention conscience qui leur permettait de quitter leur corps par un acte de leur propre volonté. C’est ainsi qu’ils se rétractèrent tous deux les confessions que les tortionnaires leur avaient arrachée de force au terme de supplices répétés sur une longue période.

Quoi qu’il advienne, la Vérité doit continuer d’accomplir son œuvre d’Illumination sur la Terre. C’est ainsi que, après la disparition de sa pupille spirituelle, René d’Anjou, comme d’autres membres du Cercle intérieur, continua de dispenser son enseignement spirituel à ceux qui étaient prêts à l’accueillir. Mais, pour éviter des représailles aux membres de la famille de la jeune fille, comme à lui-même, il procéda dans le secret. que son étudiante ait été brûlée vive, et sachant sciemment que lui-même et chaque membre de sa famille pourraient aussi être tués de la même façon par l’Église de l’Empire romain, René, comme d’autres membres du Cercle intérieur continuèrent à enseigner, en secret, à ceux qui étaient prêts.

C’est dans ce contexte que, au milieu du XVᵉ siècle, en Italie, un membre du Prieuré de Scion du nom d’Andréa del Verrocchio écrivit à René d’Anjou à propos de l’un de ses apprentis, un jeune homme très doué, Léonardo da Vinci. Bien qu’il ne fût pas encore reconnu comme un sujet unique, soit comme un descendant porteur, dans ses gènes, de l’ADN de la Lignée davidique, Léonard attira l’attention de René et des membres du Cercle intérieur des Templiers. Ainsi, il fut convenu que René lui dispenserait un enseignement spirituel adéquat, à Milan, une instruction qui s’étala sur une période de 17 ans. René partagea avec Léonard de nombreuses vérités, s’occupant encore d’autres étudiants, ce qui incluait sa propre fille, Yolande, un être spirituellement doué, qui prit le titre de Grande Nautonière du Prieuré de Scion à la mort de son père.

Parmi les techniques spirituelles que Léonard de Vinci apprit de René d’Anjou, on retrouvait certaines techniques avancées destinées à mettre en contact avec ceux que, par convention mystique, on appelait les «Enseignants d’Autrui». Ces techniques d’éveil des facultés supérieures permettent à un être de réaliser «Qui il est» par l’influx d’énergies électromagnétiques au sein du Corps de Lumière, par un accès à des informations historiques comportant l’ensemble des expériences humaines. En effet, l’histoire entière de l’humanité s’enregistre dans l’ADN du corps physique, ce qui fournit une porte d’entrée aux Archives akashiques.

De cette manière, un sujet incarné peut recourir aux mémoires ancestrales, enregistrées dans son propre ADN, pour accéder aux informations sur les civilisations avancées du passé terrestre qui avaient inventé, bien avant la présente civilisation, des machines volantes et d’autres dispositifs utilitaires. Les Védas, ces anciens textes sacrés hindous, n’évoquent-ils pas avec précision l’existence de machines volantes et les ravages de guerres nucléaires dans le passé de l’humanité? C’est ainsi que Léonard de Vinci commença à accéder aux mémoires ancestrales, par le biais de son ADN, dans une tentative de recréer, à son époque, des machines volantes et d’autres inventions technologiques similaires. Nécessité agréable ou pas, un aspirant doit se soumettre à un isolement complet s’il compte récupérer la plus large part des mémoires ancestrales enregistrées dans son ADN du fait que, pour accéder pleinement à des informations sur n’importe quel sujet ou matière d’autres époques, il lui faut atteindre une concentration soutenue sur des périodes très prolongées.

Et ce fut ainsi que, après avoir appris comment accéder aux informations anciennes, par le recours aux techniques de lecture des mémoires ancestrales contenues dans l’ADN, cet artiste eut du mal à trouver le temps requis pour s’isoler et mener son enquête intime. Formé comme «Enseignant d’Autrui », ayant accepté de prendre des étudiants qui voulaient apprendre de lui, en un rien de temps, son studio devint tellement occupé qu’il fut incapable de mettre la dernière main à plusieurs de ses projets. Au cours de son séjour de dix-sept ans à Milan, il ne parvint à compléter que six projets, dont le fameux tableau de «La Cène», dans lequel il représente plutôt, sous forme symbolique, le mariage de Jésus et de Marie, peignant Marie Madeleine à côté de Jésus, sous les traits de Jean le Bien-aimé.

Mais à quoi cela importe-t-il puisque, dans le Plan de l’Absolu, qui ne peut échouer, le Cercle intérieur de l’Ordre du Temple a été rétabli, on ne peut encore révéler comment.  Mais il est certain que ceux qui voudront en faire partie ou bénéficier de ses initiations, s’ils sont sincères, purs d’intention et suffisamment amoureux, ne pourraient en être privés. Peut-être ne suffit-il déjà qu’à faire la demande qui attirera vers soi ce moyen de diffuser de manière ineffable la Lumière divine?  À moins qu’il ne s’agisse que de racontars de désoeuvrés ou d’une légende des temps modernes!  Comment savoir?  Mais celui qui veut savoir parvient toujours à savoir…

© 2000-2015 Bertrand Duhaime (Douraganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime.

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