LE SYMBOLISME DU CIEL ET DE SES ASPECTS

 

Selon la tradition religieuse ou spirituelle, on peut comprendre le ciel comme l’une des divisions des plans spirituels de la Conscience cosmique qui vont du premier au septième ciel, voire au-delà.  Toutefois, fondamentalement, le ciel réfère non à un lieu, mais à un état extatique ou à un état de béatitude qui résulte de la réunification avec Dieu ou avec Tout-ce-qui-est.  Exprimant la connaissance dciel-infinie l’Être véritable, il désigne la Conscience divine.  Pour les Chrétiens, il désigne la Demeure de Dieu et la patrie des Élus.

Pourtant, toutes les créatures de Dieu, émanées dans l’Amour pur, retourneront tôt ou tard au ciel, peu importe de quelle façon elles lui retournent cette énergie primordiale, puisqu’il n’existe aucun moyen d’aboutir ailleurs, au terme de ses expériences en incarnation dans la Roue des existences.  En tant qu’Être-Un ou Être suprême, Dieu ne juge pas, ne cherche ni n’exige rien de qui que ce soit, son amour restant éternellement inchangé, sans condition ni limite.  Le ciel n’est pas un lieu de vacances continuelles dans une existence éternelle, calme et ennuyeuse par sa monotonie, où un être peut jouer de la harpe en attendant que quelque chose de plus vibrant se passe. C’est une dimension de vie qui implique des entités à plusieurs endroits dans des missions nombreuses au service du Créateur pour les amener à progresser continuellement en servant des objectifs de plus en plus élevés.  En fait, le ciel désigne l’état d’harmonie suprême qui découle de la maîtrise parfaite des principes à un niveau ou à un autre de la Conscience cosmique.  Dans cette perspective, il existe plusieurs ciels, même une infinité de ciels.  Voilà pourquoi les Maîtres recommandent à leurs disciples de chercher le ciel et, dès qu’ils l’ont trouvé, de s’y complaire un moment, pour en faire le tour, mais de se hâter ensuite à un trouve un autre, de manière à toujours s’élever plus haut dans la Conscience du Créateur.

Dans la Tradition chinoise, le ciel antérieur désigne l’invisible non manifesté, Cela-qui-est-avant-la-conception.  Alors, forcément, le ciel postérieur réfère au monde manifesté, biologique, immédiat, donc à Ce-qui-est-après-la-conception.  Ailleurs, le ciel des fixes identifie le Zodiaque.  Dans la Cabale, le Ciel du Premier Mobile fait référence à Hockmah, la Sphère d’Uranus.  L’expression ciel et terre évoque l’Univers entier avec ses multiples plans de conscience.  Le ciel noir sert d’allégorie au troisième ciel, le lieu de repos des génies.  Dans l’Hindouisme, le Ciel suprême désigne le Séjour de l’Absolu, le Paradis de Vishnou, le Niveau de l’Âme universelle (assimilé au plan christique).  En astrologie, le fond du ciel renvoie au signe du Cancer.  Dans la spiritualité contemporaine surtout, le Nouveau Ciel éclaire une nouvelle compréhension, l’accès à de nouvelles valeurs plus évolutive, à la réception d’idées nouvelles plus conformes au le processus de l’Évolution cosmique.  En général, notamment dans la peinture, le fait de regarder au ciel précise qu’un sujet fixe son regard intérieur sur la Réalité infinie pour tout saisir d’un point de vue supérieur au-delà des apparences.  Il parvient à interpréter les faits au niveau de l’Esprit plutôt qu’au pied de la lettre.

Dans ce même contexte, les Cieux traduisent ces différents plans d’énergie de la Conscience cosmique.  Ils désignent la Maison du Père-Mère aux multiples demeures (ou séjours), tous ces espaces subtils entre les Eaux célestes et les Eaux terrestres.

Regarder au ciel n’invite pas à lever les yeux vers l’au-delà, mais à fixer son œil simple ou son œil intérieur sur la Réalité infinie pour tout saisir d’un point de vue céleste, donc au-delà des apparences, en élevant tout au niveau de l’Esprit, évitant d’interpréter les faits au pied de la lettre.

 

Les Sept Ciel ou les Cieux…

En spiritualité, il importe de bien comprendre la notion des Sept Ciels qui exprime allégoriquement la maîtrise des sept chakras fondamentaux.  Elle comprend d’abord la catégorie des quatre Ciels de l’Humanité des gens ordinaires.

Le Premier Ciel, celui de l’amour grossier, constitue le séjour des âmes dont l’émotion la plus haute sur le plan physique fut l’affection, un amour encore limité et étroit, très captatif, bien que sincère et honnête.

Le Deuxième Ciel précise l’état des âmes qui se sont fait une conception trop humaine de Dieu, le rabaissant à leur niveau plutôt que de s’élever au sien.  Il correspond au Monde de l’aspiration culturelle. ciel-de-jacob

Le Troisième Ciel répond à la notion de l’amour généreux et sincère, mais souvent très réduit dans sa portée par le mental, source d’illusions.  Il s’agit du Séjour des grands serviteurs de l’Humanité, tels les grands créateurs, les savants et les scientifiques, les artistes et les artisans, les écrivains, les philosophes.

Au plan du Quatrième Ciel, on retrouve le Monde du Génie, celui des âmes généreuses et sincères qui ont appliqué les principes de l’Amour pur.  On compte parmi eux les êtres altruistes qui ont fondé leur vie sur le don d’eux-mêmes ou sur le service désintéressé dans un partage impersonnel et inconditionnel.  Puis, on passe à la catégorie des trois Ciels de l’Humanité des âmes supérieures.

Le Cinquième Ciel correspond au Monde de la Vie supérieure, celui de l’intuition, le fondement de la Vie éthique et morale.  Il désigne le Séjour des âmes évoluées et détachées qui ont consacré leur vie aux aspects supérieurs de la Vie.

Parvenu au Sixième Ciel, on retrouve le Monde de l’Intelligence et de la Sagesse divines ou le Plan christique, celui de l’Âme universelle.  C’est le Séjour des Émissaires de Dieu et des Grands Bienfaiteurs de l’Humanité.

Enfin, dans le Septième Ciel, on découvre le Monde de la Volonté divine ou le Plan monadique, le Séjour des Maîtres et des Initiés qui dirigent la vie intellectuelle et éthique du plan physique.  Pour ceux qui divisent les plans de la Conscience cosmique en sept niveaux, il correspond au Niveau suprême de la Réalité divine.  Mais pour les Initiés, au lieu de constitue le Plan monadique, il ne constitue que le Plan intuitif ou bouddhique.  Comme on divise généralement les Plans cosmiques en sept ciels ou niveaux, le Septième Ciel désigne le Ciel supérieur, le monde de la Félicité suprême, le plan de la Conscience subjective, l’état d’âme où tous les mystères sont révélés.  Dans cette hiérarchie, on pourrait compter, dans l’ordre: le monde de la nature sensible; le monde de l’aspiration culturelle; le monde de l’amour sincère; le monde du génie; le monde de l’intelligence; le monde de la sagesse; et le monde de volonté, lieu de séjour des Initiés.  Dans le vocabulaire ésotérique, on parle plutôt de: plan physique, plan éthérique, plan astral, plan mental, plan causal, plan intuitif et de plan animique.  On peut ajouter ensuite le plan divin, le plan de la fusion en Dieu, juste après la transfiguration, dans le plan animique.  Au terme de l’Évolution, le plan divin correspond à l’Illumination suprême.

Voilà pourquoi, en général, dans le langage commun, l’expression monter au septième ciel, évoque un envol vers le Ciel des ciels, le Lieu où tous les mystères sont révélés parce qu’on y contemple Dieu face à face, évoque un état de béatitude ou de félicité.  Il voile le Ciel de la Transfiguration.

COMÈTE : Astre du système solaire réduit à un noyau solide et irrégulier quand il se trouve en position éloignée de cette étoile, mais qui se réchauffe graduellement, en se rapprochant de son centre de gravitation, engendrant une chevelure diffuse de gaz et de poussières.  Toute comète secoue l’Éther et brise les modèles désuets de l’imperfection.  Elle engcomèteendre ainsi un champ fluide qui forme un Portail divin manifesté dans l’atmosphère de la Terre.   Cet astre nébuleux qui présente un noyau et une traînée gazeuse décrit une ellipse très allongée autour du soleil.  On ne peut douter qu’il annonce un événement important, d’assez courte durée, mais qui aura un grand retentissement dans sa vie personnelle, comme dans la vie sociale et politique de l’Humanité, puisqu’il vient frôler la planète après un long périple dans l’espace universel où il s’est gorgé d’énergies puissantes et variées, souvent très différentes de celles qui sont connues sur le globe terrestre.  D’où on peut affirmer avec certitude qu’il peut annoncer diversement comme le disent les différentes Traditions mystiques, l’imminence d’un événement grave et sérieux, soit une révolution mondiale, une hausse du tonus vibratoire de la planète, la purification du champ magnétique terrestre, la naissance d’un grand chef politique, la venue d’un Avatar divin ou d’un grand Maître.  Il s’agit toujours d’un avertissement sérieux, non d’un événement menaçant, mais d’un événement significatif et bénéfique qui favorisera l’évolution de tous les êtres de la terre parce que son atmosphère a été chargée d’une nouvelle énergie.  Et ce n’est que par un effet de la Causalité qu’il peut s’agir d’une catastrophe puisque Dieu ne punit jamais personne directement, laissant agir la loi de la Rétribution, de la Compensation ou de la Justice immanente.

Certains fumistes ou illuminés, présumément des mystiques avérés, profitent à tous les âges du passage prochain d’une comète pour annoncer une apocalypse (au sens malveillant de cataclysme plutôt qu’au sens tutélaire de révélation), comme la fin du monde, pouvant jusqu’à inviter à un suicide collectif.  Pourtant, une comète ne peut qu’apporter des bénédictions des autres espaces sidéraux.  Et c’est purement par inadvertance qu’elle peut provoquer des ajustements planétaires importants comme des tremblements de terre, l’éveil de volcans, des tornades, des inondations, des sécheresses localisées.  En elle-même, elle tient toujours un rôle amoureux et harmonisateur, presque messianique, tout au moins salvifique.  Elle contribue toujours à hausser les vibrations planétaires et à accélérer son évolution.  Ce qui compte alors, c’est de s’accorder avec ce nouveau tonus vibratoire pour éviter d’en subir les effets négatifs en s’intériorisant et en méditant.

Dans le Nouvcoète1eau Testament, dans la section de l’Apocalypse de Jean, cet auteur évoque la Grande Comète.  Il s’agit du corps céleste qui devrait faire partie des signes dans le ciel pour annoncer le Grand Jugement annonçant la fin de l’Âge noir.  Elle devrait  donner le signe de l’accomplissement du règne de l’amour et de la paix sur la Terre, initiant du même coup un nouveau cycle d’évolution, celui de l’Ère du Verseau.

ÉTOILE : Corps céleste igné qui brille de sa propre lumière, formant un point brillant dans la voûte sombre de la nuit, ésotériquement défini comme un centre d’énergie accumulée ou de foudre fixée.  ChÉtoileaque étoile exprime la Présence éternelle de Dieu, qui voit tout, dans ses multiples aspects illuminés, et qui réfléchit sa Splendeur dans les cieux.  Planète couronnée, où la vie existe à un haut niveau d’intelligence et de luminosité, elle peut identifier le Guide sûr, la Bonne Direction, la Lumière qui éclaire la Voie de la Réalisation transcendantale.  En Alchimie, elle désigne la réussite finale de l’Œuvre.

Ce corps céleste igné qui brille d’une lumière propre et semble garder la même place dans le ciel selon le moment de l’année, formant un  point brillant dans la voûte du soir, symbolise la Présence éternelle de la Source divine dans ses multiples aspects illuminés, chacune émettant son rayon d’amour capable de changer le cours de l’Évolution cosmique, l’histoire de l’Humanité ou le destin personnel d’un être vivant.  En Alchimie, elle figure la réussite finale.

Elle exprime la Présence tutélaire et providentielle de l’immortel Je-Suis qui réfléchit sa Splendeur dans les Cieux, servant de fondement à l’espérance et à la foi.  Chaque étoile représente un Guide lumineux dispensant un rayon de Lumière spirituelle ou une Énergie cosmique particulière qui perce les ténèbres de l’ignorance et de l’inconscience, recueille les âmes des justes, indique la voie de l’aspiration ou de l’élévation, éclaire les nuits obscures des monotonies des êtres.  Chaque étoile évoque un aspect de la Lumière spirituelle à venir, mais qui émet des rayons des énergies qui atteignent déjà la terre, exprimant ses richesses disponibles, exprimant pour chacun sa clarté diffuse afin d’entretenir en lui ses aspirations évolutives alors qu’il se sent perdu dans sa matérialité.  C’est un sous-soleil cosmique qui manifeste un acquis antérieur et manifeste la lumière qui a été faite sur une réalité universelle.  C’est un réceptacle à travers lequel des influences sidérales se filtrent pour se condenser, fondamentalement en bleu, signe d’aspiration perpétuelle et d’harmonie intérieure.  Chacune exprime, à sa manière, le Verbe qui se fait chair, témoignant, par la diversité et la multiplicité des éléments cosmique, de la Gloire et de l’Infinité du Créateur.  Perçant dans la sombre voûte du soir, les luminaires de la nuit, sources d’une lumière d’origine divine, illustrent le conflit apparent entre les forces de la Lumière et les forces des Ténèbres.  Elles obéissent à la Volonté céleste et expriment ce Vouloir divin à travers tout le Cosmos.  On les compare souvent à des Yeux, image de l’Omniprésence divine, d’où jaillit un rayon de Puissance spirituelle.  Un ange ou un recteur veille sur chacune d’elles, guidant par elle l’âme des justes vers la Vie éternelle.  On les compare encore aux Fenêtres du Royaume de l’Eternel aérant la Sphère céleste.  Poétiquement, on les appelle les suivantes de la cour de la Lune, la Lune désignant, avec sa majuscule, le Rayon christique universel, l’Âme du Monde.  Manifestations de Dieu dans la Nuit de l’Expérience, elles attisent la foi pour préserver l’élu de toutes les embûches qui surgissent sur la Voie évolutive ramenant toute créature vers son Créateur unique, engendrant une lueur dans le cœur de chaque âtre vivant.

Dans certains Textes inspirés, on définit les étoiles comme des centres d’énergie accumulée ou de foudre fixée.  Elles servent à poursuivre l’Apocalypse, la Grande Révélation, non la Grande Catastrophe, qui ouvre graduellement la conscience des êtres incarnés, tous en évolution à leur rythme.  Pour avoir elles-mêmes capté un message évolutif capital, elles apportent pour tous un éclairage sur un aspect de la Vérité profonde et unique de l’Émanation divine.  Elles marquent donc dans le ciel les repères ou les balises indispensables pour maintenir sur la Voie royale entre la Rigueur et la Miséricorde.  Puissance de régénération, de transmutation, de transfiguration et d’illumination, elles guident vers la Fusion en Dieu.  Dans les Traditions ésotériques de la majorité des peuplades dites primitives, il est dit que tout être humain représente lui-même une étoile temporairement détachée du Centre lumineux dont il est le recteur, situé quelque part dans les confins de l’univers, en confiant la responsabilité à un compagnon spirituel le temps de son incarnation, pour descendre sur la terre afin de parfaire son Savoir à travers les expériences terrestres de sorte qu’il pourra, à son retour dans son Centre lumineux révéler de nouveaux secrets relatifs à la nature du Cosmos aux âmes qu’il y gouverne.

Justement, dans la Tradition juive, on enseigne que tout ce qu’une personne entreprend sur la terre émane, plus ou moins consciemment pour elle, de la Volonté de l’Ange de son Etoile divine, sa Parèdre spirituelle.  Alors, sur la terre, il apprend à devenir un  Guide responsable, respectueux et lumineux pour exercer plus tard une influence très bénéfique sur son entourage et ses sujets.  Les Maîtres spirituels confirment que le destin de nombre des frères et sœurs en incarnation est relié au destin personnel de chaque individu et attendent qu’ils prennent une expansion suffisante pour entreprendre leur évolution spirituelle.  Chacun est donc appelé, par les étoiles-mères, à bien prendre conscience de son rôle, autant pour lui que pour les membres qui sont reliés à lui, pour assumer ses responsabilités avec conscience et maturité.  Le Kalevala finnois décrit ces étoiles-mères, les étoiles célestes, comme les fragments de la coquille de l’œuf primordial.  Et, pour le prophète Daniel, dans la Bible, comme pour les anciens Péruviens, les étoiles figurent les âmes des justes qui ont réintégré le Ciel.  Pas étonnant qu’on enseigne en mystique que les étoiles renseignent sur sa mission particulière à remplir et rayonnent les bonnes nouvelles pour l’accomplir.

Quand le rayonnement d’une étoile ou des étoiles attire son attention ou atteint son ressenti, on peut croire qu’une entité éclairée, visible ou invisible, croisera sa route et exercera sur soi une influence bénéfique et salutaire.  L’apparition d’une étoile éclaire toujours une communication céleste qui accroît la lumière personnelle et assure de la protection tutélaire de l’Amour universel.  Par son degré de luminosité, elle exprime son degré d’intégration dans la Conscience cosmique.  Elle cherche à éveiller sa conscience sur différents aspects significatifs ou importants de sa vie, désireuse d’éclairer son périple terrestre.  Elle invite à s’ouvrir à son intuition pour capter une inspiration, une idée géniale ou une partie de son plan de vie qu’on pourra reconnaître dans son cœur.  Elle peut diversement évoquer un moment d’expansion, de gloire, de notoriété, de popularité, de reconnaissance par ses pairs, de rétributioÉtoilesn pour ses actes passés.  Car elle vient souvent identifier un acquis du passé largement oublié qui deviendra source d’un nouveau rayonnement conjugué à ses découvertes actuelles.  Toute étoile exprime toujours une connaissance profonde et avérée du Principe cosmique et de ses lois explicatives.  Elle se présente comme une lumière qui éclaire, inspire, purifie, apaise, réconforte, encourage, vitalise, guérit, élève.  Qui se surprend à observer les étoiles briller dans le ciel se donne un message de prochaines réalisations heureuses.  Il s’annonce un passage lumineux, une transition dans la joie, une influence bénéfique qu’il reçoit pour mieux s’orienter.  L’étoile atteste toujours d’une communication avec la Lumière divine elle-même.  Le fait de l’observer constitue ainsi un fait moins gratuit qu’on peut le penser, car, si on le fait, c’est justement sa Bonne Etoile qui a subtilement inspiré de le faire.  Voilà pourquoi la couleur de l’étoile qui attire le plus son attention pourra préciser le contexte et la nature de son support spirituel.

Comme on le voit, on peut trouver une étoile pour tous les nombres à partir de cinq.  Chacune détient une signification profonde et magnétique, comme on pourra le voir dans les quelques exemples qui suivront dans certains articles.  Voilà comment l’Esprit cosmique aide à comprendre la diversité et la multiplicité dans l’Unicité, si on sait les aborder dans la Paix et l’Amour.

FIRMAMENT: La voûte céleste, diversement appelée le ciel, l’empyrée, l’azur.

Le firFirmamentmament terrestre désigne la structure future de l’atmosphère de la Terre en deux pellicules de glace globales et majeures, la première située entre 15 000 et 18 000 pieds (4 575 et 5 500 mètres) et la deuxième à environ 35 000 pieds (10 700 mètres) au-dessus de la surface de la Terre.  Ouvert aux deux pôles, il servira d’isolateur principal contre les radiations nuisibles qui pourraient atténuer les énergies de la force vitale de la biosphère.  Une fois installé, les énergies de la force vitale de la biosphère atteindront leur intensité maximale.

 

MÉTÉORE : Le corps céleste qui traverse l’atmosphère terrestre en laissant derrière lui, la nuit, une traînée lumineuse, consécutive à la consomption de son noyau en un bref instantMétéore1, symbolise Météoreun événement qui remettra en cause ses conditions ou les motivations de sa vie.  Exprime-t-on des sentiments en feu de paille?  Brûle-t-on son énergie avant l’heure?  Néglige-t- on de ménager ses énergies vitales?  Répond-on à un coup de foudre?  Devient-on tout feu et toute flamme pour quelque chose pour s’éteindre aussi rapidement?  Voir à Étoile filante.

 

VOIE LACTÉE : Amas d’étoiles formant une bande blanchâtre dans le ciel, qui constitue la Nébuleuse dont fait partie notre système solaire.  Notre galaxie, le Grand Fleuve du Image enregistrée avec les ajustements inclus.Ciel des Incas ou, pour d’autres, le Chemin des âmes qui regagnent l’Au-delà.  Son diamètre approche les cent mille années-lumière.  C’est le Lieu du Gouvernement, la patrie de plusieurs êtres et de corps célestes, d’énergies et de vibrations très élevées qui y résident et exercent sur la Terre  une profonde influence spirituelle.  C’est la Route des Dieux, le chemin des âmes éveillées,

 

© 2012-16, Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime.   

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