SI LA VÉRITABLE VIE DE JÉSUS NOUS ÉTAIT CONTÉE…

Jésus est l’être humain le plus étudié de l’histoire moderne et, pourtant, il demeure le personnage le moins bien compris de toute l’histoire archivée.  Le vrai Jésus, dont plusieurs remettent en question jusqu’à l’existence, est beaucoup plus grand que la fausse version de Jésus fabriquée par l’Empire romain.

Pour tout dire, le vrai Jésus est né au mois d’avril de l’an 7 avant notre ère, du ventre de sa mère, comme du processus biologique naturel du rapport amoureux entre son père, un certain Joseph, et sa mère, une prénommée Marie.  En fait, ses parents appartenaient à la branche juive des Esséniens, dit les «Purs», un reliquat de l’ancienne École de Mystère égyptienne que le pharaon Thoutmose III avait fondée au XV siècle av. J.-C.  Mais l’époux n’était pas un artisan, il était, comme sa bien-aimée, un «Maître du Savoir-faire», ce qui signifiait, dans le langage de leur ordre spirituel, qu’ilssainte-famille étaient des «Êtres éclairés» de l’Ordre essénien. À l’époque de Jésus, les détenteurs de ce titre initiatique n’étaient pas des charpentiers, des menuisiers, des laboureurs ou des ouvriers manuels, ils étaient des Initiés en pleine maîtrise de leur existence parce qu’ils avaient ascensionné dans leur Conscience divine, tout en habitant naturellement un corps physique, histoire d’aider les autres membres de l’humanité dans leur évolution.

Joseph et Marie étaient tous les deux de la lignée davidique de Moïse et d’Akhenaton et d’Isaac et de Thoutmose III, ce qui leur permettait de porter des énergies spirituelles leur conférant une grande puissance et une grande autorité, celle de deux êtres en harmonie détenant la quintessence des attributs de parents partageant, par leur lignage, un ADN commun.  Les anciens patriarches de la «Bible», avec Moïse et les pharaons d’Égypte, provenaient de la voie de mariage entre un frère et une sœur, une mère et un fils, un père et une fille, puisqu’ils appartenaient au un seul et même peuple.

Les anciennes lois et réglementations qui prévalaient, il y a deux mille ans, servaient à optimiser les pouvoirs et les aptitudes spirituelles dérivées de l’ADN de chaque garçon né de la «lignée davidique», ce qui signifiait que chaque garçon qu’il engendrait naissait porteur de mémoires ancestrales, logées dans son ADN, à titre d’Être éclairé du degré des «Seigneurs». Durant leur vie, Moïse et Akhnaton, comme Isaac et Thoutmose III, atteignirent ce degré d’Illumination d’un «Seigneur».  Les réglementations de la Lignée davidique prévoyaient spécifiquement l’optimisation des pouvoirs et des aptitudes des rois, des pharaons et des autres meneurs masculins. Dans la Lignée davidique pure, des hommes mûrs, comme Joseph, épousaient de jeunes vierges du Temple, comme Marie, pour que leurs enfants détiennent une conscience du genre de celle de Jésus.

Tout bien compté, des règles très anciennes, établies des milliers d’années plus tôt, présidaient à l’union de Joseph et de Marie, ainsi que la naissance de Jésus.  Elles permettaient de conférer à l’homme appelé Jésus les circonstances optimales d’activer les mémoires ancestrales de son ADN très tôt dans sa vie. Le véhicule d’incarnation de Jésus devenait le résultat de la combinaison de la sagesse acquise à travers les expériences spirituelles, soit d’un homme illuminé du nom de Joseph, âgé de quarante ans, et de la pureté spirituelle d’une jeune Marie, une prêtresse, vierge du Temple.  À l’époque, le mot «Marie» représentait autant un titre, qu’un nom, puisqu’il était attribué à toute prêtresse vierge d’un Temple essénien.

En passant, dans la lignée davidique pure, les couples ne pouvaient avoir de relations sexuelles que pendant le mois de décembre, ce que d’anciennes lois l’imposaient de sorte le peuple juif, mélange des gênes égyptiens et israélites, se donne des rois dont les capacités sensibles et les aptitudes spirituelles à commander pouvaient être gouvernées par les énergies subtiles d’une naissance en septembre, ce qui produisait des mâles porteurs des caractéristiques astrologiques des constellations de la Vierge et de la Balance.

Pourtant, à titre de membre de la Tradition messianique du roi David qui devait naître en ce mois précis, Jésus connut une naissance d’exception au mois de mars, au grand dam des Pharisiens et des Sadducéens fondamentalistes. En fait, la Tradition juive hébraïque fixa l’anniversaire officiel de sa naissance au 15 septembre de l’an 7 avant l’ère chrétienne.  Toutefois, en 314, l’empereur romain Constantin déplaça le jour de la naissance de Jésus au 25 décembre, quand il s’est chargé de créer l’Église chrétienne de Rome. Avec ce changement de date, l’empereur attribua à Marie une «Conception immaculée», en plus de séparer la naissance de Jésus de toute connexion juive.  Cela lui permit de transformer sans trop d’efforts le Festival romain de la Lumière du mois de décembre en une célébration de la Nativité de Jésus.

Pour rétablir la date de la naissance de Jésus dans sa réalité historique, on peut compter sur le fait que, il y a deux mille ans, on enregistrait les naissances comme se produisant à un moment spécifique du règne d’un roi.  En outre, les gens de l’époque étaient connus sous plusieurs noms qu’on pouvait utiliser comme des titres.  En 1582, le pape Grégoire XIII inventa le calendrier grégorien qui, en établissant la naissance de Jésus en l’an 0, divisait l’histoire du monde occidental en événements précédant ou suivant la naissance du Christ.  Cependant, on sait que le roi qui régnait à l’époque de l’incarnation de Jésus portait deux noms, régnant sept ans sous un nom pour ensuite en changer.  Comme le pape Grégoire XIII n’était pas au courant de ces deux noms, il commit une erreur de date qui déplaça de sept ans la naissance de Jésus.  C’est ce qui explique les corruptions qui ont amené l’Église de l’Empire romain à établir faussement le jour et l’année de la naissance de l’illustre Maître.

Il faut savoir que, au VIe siècle avant l’ère chrétienne, Nabuchodonosor et les Babyloniens avaient vaincu le peuple Juif qui fut transféré comme esclave dans la capitale perse.  Après presque cent ans de captivité, histoire de motiver leur peuple vaincu et tenu en captivité, les dirigeants du peuple juif commencèrent à écrire l’«Ancien Testament», la partie ancienne de la «Bible».  Ainsi, la «Talnakh», la «Bible» juive, rapporte l’histoire familiale de l’une des huit tribus d’Israël qui quittèrent Sumer, en Iraq.  Ces huit tribus se multiplièrent et, finalement, se répandirent dans toute l’Europe, le Moyen Orient et l’Afrique du Nord.  Ce livre mélange des histoires hébraïque, israélite et égyptienne, incorporées à des interprétations plutôt inventives de l’histoire antique, des interprétations écrites pour inspirer un peuple à se battre pour sa liberté et la reconquête de son pays.

Les chefs des familles hébraïque, israélite et égyptienne de la tribu firent un compromis des valeurs économiques, sociales et spirituelles de leurs familles individuelles pour créer une tribu unifiée à partir de laquelle ils pouvaient construire un nouveau pays. Un des résultats de ces compromis consista dans la volonté de leur nouveau pays d’honorer Yahvé, un Dieu unique, mais composite, des deux degrés de Conscience de «Jéhovah» et du «Seigneur». Les dirigeants se mirent aussi d’accord pour choisir quelques membres de chaque famille de la tribu pour en faire les rabbins ou les gardiens de l’histoire réelle des trois principales familles de la tribu.  Et c’est ainsi que la nouvelle tribu des familles qui choisit de suivre le «Dieu Unique», une tribu composée de familles hébraïques, israélites et égyptiennes, se fit connaître comme le peuple Juif.

Parmi les compromis acceptés pendant qu’ils vivaient encore en esclavage, on compte l’élimination du rite du Pain sacré, appelé la «Manne». Les dirigeants du peuple Juif savaient que les membres de la communauté qui continueraient à consommer cet aliment en s’accompagnant de l’exécution de certaines techniques spirituelles, resteraient en mesure d’accéder aux souvenirs de leurs ancêtres, enregistrés dans leur ADN. Par conséquent, ils promulguèrent un édit d’interdiction d’ingérer du sang, sous quelque forme que ce soit, de sorte qu’aucun individu ne soit en mesure d’atteindre le degré d’Attention consciente et de Conscience, c’est-à-dire le niveau d’Illumination, qui leur permettrait d’accéder à leur propre mémoire ancestrale et à la véritable histoire du peuple juif.  De cette manière, on supprima l’utilisation du Pain de l’ancien peuple Juif.

Il ne s’agissait pas d’un édit promulgué par malfaisance, mais de la décision d’émettre un ordre nécessaire à la création d’un état juif libre. Les dirigeants savaient pertinemment que, si leur peuple commençait à se souvenir de la véritable histoire du peuple Juif, toute leur tribu, formée d’Hébreux, d’Israélites et d’Égyptiens, qui s’adonnait désormais au culte du «Dieu unique», choisirait rapidement d’être réabsorbée par les Babyloniens.  Les dirigeants savaient que les mémoires ancestrales de leur peuple comportait la connaissance que tous les peuples d’Europe, d’Afrique du Nord et du Moyen Orient sont apparentés et que, à l’origine, ils provenaient tous de Sumer.  Ainsi, c’est en toute pureté d’intention que les premiers dirigeants du nouveau peuple juif interdirent la démarche d’activation des mémoires ancestrales de l’ADN par le recours à des techniques spirituelles accompagnant l’ingestion du Pain sacré, appelé «Manne».

Pour répondre au désir des membres de la secte des «Êtres purs», dans un compromis, ces mêmes dirigeants acceptèrent de mettre à l’abri la vraie histoire du peuple juif, ce qui comportait les techniques et les enseignements spirituels anciens dispensés par Moïse, avec la méthode interdite d’Activation des mémoires ancestrales de l’ADN, en les mettant entre les mains de quelques chefs de la nouvelle caste de prêtre, les rabbins, devenus les guides spirituels de tout le peuple juif. De cette manière, on enlevait les techniques spirituelles, les enseignements spirituels et l’histoire spirituelle des disciples originels du «Seigneur», le Dieu unique de Moïse, au peuple juif pour le donner aux Sadducéens, chargés de les mettre à l’abri des profanes.

La sagesse spirituelle donnée aux Sadducéens ou rabbins comprenaient les techniques spéciales de guérison par recours à l’énergie spirituelle, les techniques d’équilibrage des plans mental et émotionnel et les Activations des Corps de Lumière angélique et archangélique issues de Moïse. Malheureusement, dans l’habituelle «Tragédie de la Connaissance», les obligations terrestres occupèrent trop les Sadducéens pour qu’ils accordent le temps nécessaire à la pratique de l’ensemble des techniques spirituelles quotidiennes indispensables pour maintenir le souvenir de toute l’histoire de leurs ancêtres, enregistrée dans leur Attention Consciente et leur Conscience. En cinq siècles, les Sadducéens oublièrent tout ce qui leur avait été enseigné.  Par bonheur, la secte la plus spirituelle du peuple juif, celle des Esséniens, garda vivante une part de la Lumière spirituelle qui émanait des enseignements et des techniques de Moïse.

C’est dans ce contexte et ces conditions que l’homme appelé Jésus vint au monde, au moment où le peuple juif attendait désespérément le Messie qui lui avait été promis.  Cette prédiction provenait du prophète Jérémie. En effet, au temps de la captivité de Babylone, pour motiver et inspirer leur nouveau peuple, les dirigeants avaient fait la promotion d’une prophétie datant du VIe siècle révélant que, au temps correspondant à la naissance de Jésus, un Messie leur serait donné.  L’an 7 avant l’ère chrétienne correspondait à une période extrêmement difficile pour le peuple juif qui vivait toujours dans des épreuves et des tribulations majeures, même s’ils avaient retrouvé sa liberté et avait regagné la Palestine.  D’abord, en 142 av. J.-C., Alexandre le Grand avait conquis leur nouveau pays et, après une courte période d’indépendance, les Romains s’en emparèrent en 63 av. J.-C.  Alors qu’ils vivaient l’émerveillement de retrouver la liberté, après 79 ans, ils la reperdaient, ce qui coûta au peuple son unité.

Il faut savoir que les Esséniens ont continué de suivre la philosophie du Seigneur après avoir été intégré au peuple juif.  Parmi leurs lois spirituelles, une loi du «Seigneur» précisait : «N’attaquez jamais, mais, toujours défendez-vous.»  Toutefois, dans son application pour refaire l’unité juive et mener le combat de la nation, la philosophie des Esséniens, issue de Moïse et de ceux qui suivaient le Seigneur, devait être mise en veilleuse pendant six jours de la semaine.  Au début, cela n’empêcha pas les trois groupes d’accepter, pendant le Sabbat hebdomadaire, d’adhérer à la ligne de conduite édictée par le Seigneur.  Pour le meilleur ou pour le pire, pendant le combat pour l’indépendance, la plus grande partie du peuple Juif, à l’exception des Esséniens, participa à des attaques durant le Sabbat, à la demande des chefs militaires, essentiellement formé de Pharisiens.

Après l’obtention de l’indépendance, les Esséniens quittèrent Jérusalem pour se regrouper, en communauté, au mont Carmel.  Dans ce lieu de retraite, les «Purs» reprirent leurs anciennes rites du culte du «Seigneur» comprenant l’ingestion du Pain sacré.

Au moment de la naissance de Jésus, le peuple juif se trouvait divisé en trois groupes au moment de la naissance de Jésus.  Au moment de la naissance de Jésus, on pouvait d’abord compter les Pharisiens, qui regroupaient la plupart des Juifs, ces fondamentalistes orthodoxes qui suivaient de façon stricte les lois sociales et les règles de la communauté, telles que les dirigeants les avaient édictées au Ve siècle.  Ils observaient avec rigueur les lois sociales et spirituelles qui avajesus-christ-portraitient été obtenues par compromis et qui devaient apparaître dans l’«Ancien Testament», quand celui-ci obtint sa forme actuelle, en l’an mille, soit mille ans plus tard.

Puis, il y avait les Sadducéens, les membres de la caste originelle des prêtres, les rabbins du nouveau peuple juif. Cependant, pendant cinq cents ans, ce groupe de privilégiés s’était agrandi par l’inclusion des marchands cossus et des dirigeants politiques du peuple juif. Ils étaient les descendants des anciens dirigeants qui avaient fait un compromis avec leurs valeurs familiales et avaient réécrit l’histoire des diverses familles hébraïque, israélite et égyptienne qui composaient alors le peuple juif afin de créer l’«Ancien Testament». Ce groupe se rappelait que les techniques spirituelles spéciales de Moïse avaient été incluses dans leurs anciens livres. Toutefois, comme on l’a déjà dit, ils avaient choisi de ne pas consacrer le temps requis à l’étude et la pratique de ces anciennes techniques spirituelles, pourtant sacrées et très puissantes.

À l’époque de Jésus, pendant 5 ans, les Sadducéens, avec leurs rabbins, s’étaient tellement appauvris de leurs capacités spirituelles, qu’ils se satisfaisaient de diriger les prières hebdomadaires, le jour du Sabbat, et de répéter, en vrais perroquets» certains passages antérieurement convenus de l’«Ancien Testament». Afin de compenser à l’affaiblissement de leurs facultés spirituelles, les Sadducéens avaient rédigé des réponses stéréotypées à toute forme de questions sur les parties déconcertantes de leur livre sacré, un livre présenté sous forme allégorique. La plus utilisée des réponses standardisées aux questions dérangeantes était : «Les voies de Dieu sont impénétrables».  En fait, ces voies restaient impénétrables uniquement pour ces êtres immatures qui n’avaient pas poursuivi la pratique des anciennes techniques spirituelles, comme l’avaient espéré les premiers dirigeants du peuple juif réunifié.  En effet, le métaphysicien instruit sait que tout ce qui arrive répond à une raison spirituelle sous-jacente, puisque tout s’explique, chez celui qui sait.

***

Enfin, on découvrait les Esséniens ou les «Êtres purs», ces hommes et ces femmes qui représentaient le reliquat des disciples et descendants avérés de Moïse qui avaient maintenu, pendant plus de mille ans, la pratique quotidienne de leurs puissantes rituels, formé de prières, de méditations et d’autres techniques spirituelles. En raison de leur haut niveau de réalisation spirituelle, ils agissaient comme membres chargés de la guérison des membres du peuple juif.  On sait notamment qu’ils étaient  les survivants de l’Ancienne École de Mystères égyptienne fondée par le Pharaon égyptien Thoutmose III, dont les successeurs devinrent les rois David et Salomon et l’Isaac de l’«Ancien Testament», lors du début de sa rédaction, à Babylone, au Ve siècle avant notre ère, tout comme le pharaon Akhenaton devint Moïse.

Beaucoup de gens peuvent se surprendre de cette assertion que Moïse et le pharaon Akhenaton ne formaient qu’une seule et même personne. Pourtant, cette information était communément admise chez ceux dont les ancêtres avaient été instruits dans les sociétés secrètes du Moyen Âge. En fait, cette information était si évidente, au début du siècle dernier, que même Sigmund Freud écrivit un livre sur le sujet.  Les connaissances spirituelles de la plupart des gens du monde occidental proviennent de la «Bible».  Mais, sait-on bien ce qu’est ce présumé livre sacré, quand il fut écrite et dans quelles conditions?

En réalité, la «Bible» représente l’histoire allégorique, donc de caractères fictifs, de l’une seule des huit tribus originelles de la race blanche qui se sont répandues à partir de Sumer pour se répandre et peupler le Moyen-Orient, l’Europe et l’Afrique du Nord.  Elle se composait de trois familles principales : les Hébreux, qui se dirigèrent vers la Palestine, puis les Israélites et les Égyptiens, qui peuplèrent l’Égypte.  Ainsi, l’épisode des Patriarches de la «Bible» représente une description de l’âge d’or des Pharaons, se rapportant à des figures importantes de l’ancienne histoire des familles israélite et égyptienne.  De toute évidence, la plupart des Égyptiens et des Israélites de l’Ancienne Égypte avaient déserté leur voie spirituelle de vénération du «Dieu Unique», se dévoyant au point de vénérer les ancêtres qui avaient fait leur ascension dans les Royaumes angéliques et archangéliques des plans supérieurs de la Conscience divine.

Pour sa part, le Pharaon Akhenaton était issu de parents illuminés qui vénéraient le «Dieu Unique». Les livres d’histoire reconnaissent que celui-ci s’est exilé, pendant un certain temps, avant de revenir et d’être élu pharaon. Cependant, la plupart des gens, peu cultivés, peuvent en douter du fait qu’ils ne comprennent pas que les mots empruntés à d’anciens documents peuvent recevoir de nombreuses significations qui, en plus, changent avec le temps.  Alors, il faut se demander pourquoi Akhenaton serait parti en exil, ce qui est longtemps resté un mystère en dehors de certaines sociétés secrètes.  En  fait, ce pharaon, du nom d’Akhenaton, est parti en exil pour revenir sous la forme de Moïse.  Car ce n’est qu’après plusieurs années de quête spirituelle, dans l’isolement, que ce personnage a pu accéder à ses mémoires ancestrales, enregistrées dans l’ADN de ses cellules.  Par quête spirituelle dans l’isolement, il faut entendre le fait qu’un être privilégie une communication prolongé uniquement avec Dieu. C’est par ce moyen que, après plusieurs années de tentatives d’accéder à ses mémoires ancestrales, par le recours à des prières, à la méditation et à l’activation spéciale, dans la complète solitude, Akhenaton parvint à retourner, par son Attention consciente, la Conscience illuminée d’un Seigneur.

Pour bien comprendre, il faut se rappeler la déclaration que Jésus a faite, il y a deux mille ans : «Il y a de nombreuses demeures dans la Maison de mon Père-Mère».  Cet aphorisme laisse entendre que le Royaume des Cieux comprend de nombreux plans de conscience.  Dans la conception de la «Bible», au-delà du plan terrestre, il y a le plan éthérique ou angélique, le plan astral ou archangélique, et, plus haut, le plan des Seigneurs.  Ainsi, dans sa quête spirituelle, après des années d’isolement, Akhenaton accomplit son ascension jusque dans des sphères élevées du Royaume des Cieux, tout en demeurant dans son corps physique.  Dans sa nouvelle compréhension de la Conscience divine, il revint sous la forme d’un Moïse, comme son ancêtre Thoutmose III, le créateur égyptien de l’ancienne Salle des Archives et le fondateur de l’ancienne École des mystères d’Égypte.    À l’origine, quand elles quittèrent Sumer, les familles tribales des Hébreux, des Israélites et des Égyptiens partirent dans deux directions différentes. Les familles hébraïques allèrent en Palestine, tandis que les familles israélites et égyptiennes de la tribu s’installèrent en Égypte. Les Hébreux, les Israélites et les Égyptiens vénéraient tous le même Dieu Unique du «Seigneur» au moment de leur séparation. Cependant, à leur arrivée en Palestine, les Israélites et les Égyptiens qui suivaient Moïse/Akhnaton découvrirent que les familles hébraïques de leur tribu vénéraient alors le «Dieu unique» de «Jéhovah» au lieu du Dieu Unique du «Seigneur».

Ce Moïse retourna dans le désert du Sinaï pour y vivre avec ses disciples qui vénéraient le «Seigneur», plutôt que d’essayer d’unifier, en un compromis autour de la notion d’un Dieu Unique, ces deux points de vue et ces deux voies spirituelles fort différents.  L’«Ancien Testament» fait référence à cette expérience dans le passage décrivant Moïse et ses fidèles errant 40 ans, comme perdus dans le désert.  En réalité, une simple marche de quelques semaines, peut-être de quelques mois, dans n’importe quelle direction, leur aurait permis de retrouver la civilisation.  L’exode figure donc bien davantage l’épisode allégorique de la prise des décisions des partisans d’Akhenaton, devenu Moïse.

Cependant, on peut comprendre que, pour des gens habitués au confort de la cour royale d’Égypte, la vie semblait particulièrement dure, ce qui les amena à se plaindre.  Ils assuraient qu’ils n’avaient pas le temps de s’adonner à toutes les prières, médiations et techniques spirituelles quotidiennes parce que la vie dans la nature sauvage prenait beaucoup de leur temps.  Par exemple, il leur fallait consacrer le meilleur de leur temps à semer les grains, s’occuper de leur croissance, les récolter, à préparer des aliments, à trouver du bois, à confectionner des vêtements, à prendre soin des animaux, à enlever les ordures, etc.  Les jérémiades des partisans se poursuivirent jusqu’à ce que leur chef cède et leur donne le Pain sacré royal d’Égypte, ramené de Sumer, surnommé la «Manne», une miche de pâte sans levain, obtenue de différentes céréales, d’or pulvérisé et d’hormones provenant du sang menstruel des vierges sacrées du Temple, cuite en galettes.

Sans tout comprendre, on peut saisir que l’or représente le plus pur conducteur des énergies électromagnétiques. Calciné et réduit en poudre, à des températures extrêmement élevées, mêlé à des hormones spécifiques, selon d’anciennes techniques spirituelles, pour une consommation conforme à un rite sacré, ce produit pouvait aider un aspirant à développer les aptitudes spirituelles des ancêtres.  En tant que pur conducteur des énergies spirituelles, l’or peut aider à développer un état d’excitation élevé au niveau subatomique lorsqu’il est calciné en poudre conformément à des techniques spirituelles spécifiques.  Spirituellement enrichi par une addition de substances, contenues dans les hormones du sang menstruel d’une prêtresse vierge, recueilli au cours de cérémonies spirituelles spéciales, il ne pouvait que favoriser le rehaussement des énergies spirituelles de la glande pinéale et l’activation de l’ADN.  Aujourd’hui encore, dans le Pacifique Sud, certains anciens de la race brune utilisent du Kava, un aliment composé des racines écrasées d’une plante des îles, spirituellement enrichi des hormones contenues dans  la salive d’une prêtresse vierge, préparé lors de cérémonies spéciales, dans des conjonctions particulière du Soleil et de la Lune.

À l’époque d’Akhenaton, initiatiquement surnommé Moïse, les anciens Juifs se trouvaient trop occupés par les contingences de leur vie terrestre pour devenir des «Êtres éclairés», mais ils n’en détenaient pas moins certains attributs spirituels, pouvoirs et aptitudes de leurs ancêtres, qujesus-et-pierrei eux s’étaient donné le temps de pratiquer les rituels nécessaires à l’atteinte de l’Illumination.  Du reste, de tous temps, les caractéristiques développées par les ancêtres s’enregistrent dans l’ADN des cellules, pouvant être activés d’une façon particulière pour celui qui sait comment y parvenir.  Malgré les dangers des ces unions consanguines, la pureté de l’ADN s’obtient par deux parents qui partagent le même ADN comme c’est le cas dans les mariages d’un frère et d’une sœur, d’une mère et de son fils,  du père et de sa fille, comme le pratiquaient les pharaons d’Égypte et les Patriarches bibliques.  Du reste, au XIXe siècle, c’est la raison pour laquelle Joseph Smith avait introduit dans le Mormonisme la polygamie.

Quelques années après que Moïse eut effectué sa Réalisation dans la Lumière et qu’il eut quitté le Royaume terrestre, les Égyptiens et les Israélites découvrirent que leurs pouvoirs spirituels diminuaient et ils choisirent de retourner vers les familles hébraïques de leur tribu qui vivaient à Canaan, en Palestine. Ces derniers furent plutôt bien accueillis par les Hébreux, qui permirent alors à ces deux groupes de continuer à suivre leurs pratiques spirituelles du «Dieu Unique» avec le «Seigneur», alors que les Hébreux eux-mêmes continuaient également à vénérer un «Dieu unique» en  «Jéhovah».  Ainsi, au début, les familles hébraïques, israélites et égyptiennes, qui venaient de se retrouver, ont vécu ensemble paisiblement en Palestine, comme avec leurs voisins. Cependant, après des générations de vie facile et d’une addiction toujours plus grande aux plaisirs terrestres, le tout ajouté à un intérêt amoindri pour les questions d’ordre spirituel, une réduction importante s’est faite sentir dans les capacités spirituelles des trois familles. Et ce fut dans ce contexte que, au VIe siècle av. J.-C., leurs familles furent conquises par d’anciens parents éloignés arrivés de Babylone.

Après avoir passé près de cent ans en captivité, les chefs des trois familles jurèrent qu’ils suivraient tous publiquement la voie du «Dieu unique» composite, dénommé «Yahvé», advenant leur libération de leur esclavage à Babylone.

Toutefois, même avec l’unité nouvellement acquise autour de la notion de leur «Dieu Unique» composite, les dirigeants étaient d’accord sur le fait que la préparation de leur peuple, nouvellement regroupé, appelé à se battre pour son indépendance, se révélerait une tâche ardue, voire impossible, s’ils apprenaient toute la vérité sur l’histoire de leur tribu. Après une centaine d’années en captivité, ils n’auraient pas obtenu le ralliement des Juifs s’ils leur avaient révélé que, jadis, ils avaient appartenu à la royauté de Babylone et d’Égypte. En outre, pour se tirer de l’esclavage et de la pauvreté, ils auraient probablement abandonné rapidement le culte d’un Dieu unique pour adopter la pratique païenne de la vénération des ancêtres, dans le cadre d’une croyance polythéiste, telle qu’elle était pratiquée à Babylone.

Les dirigeants durent mettre de nombreuses générations, soit environ quatre cents ans, pour obtenir l’acceptation du compromis de l’histoire inventée des trois familles de la tribu. Et ce fut ainsi que l’«Ancien Testament» fut compilé à partir des rudiments de la branche hébraïque, de la branche israélite et de la branche égyptienne et avec l’addition de leur histoire tribale commune à Sumer. De cette manière, les Patriarches de l’«Ancien Testament» émergèrent d’une compilation des histoires de famille hébraïque et israélites, tandis que les vies de David et de Salomon furent transcrites à partir de la fusion de la vie et des exploits de quatre pharaons égyptiens.  En fait, les réalisations seules de Thoutmose III se démontrèrent si vastes que, à elles seules, elles formèrent la trame de trois figures bibliques, David, Salomon et Isaac.  En outre, dans son personnage d’Isaac, il marque le point de rupture entre la Tradition juive de la «Bible», qui devait inspirer le Judéo-christianisme, et l’Islam.  Qui détient un peu de culture sait que les trois religions juive, chrétienne et musulmane partagent l’histoire de la «Bible» jusqu’à Isaac. Le Judaïsme et le Christianisme s’inscrivent dans la lignée du fils adoptif d’Abraham, tandis que l’Islam conserve l’ADN du fils biologique du même géniteur.

Les rédacteurs de l’«Ancien Testament», des lettrés, savaient qu’il faudrait retenir certaines qualités humaines pour que le peuple juif, nouvellement unifié, conserve sa cohésion.  À cette fin, d’un commun accord, ils ont inclus des caractéristiques particulières dans la vie de David et Salomon. L’affranchissement de l’esclavage requerrait un grand courage du fait que des fermiers, des bergers et des marchands, ce qu’étaient les Juifs de l’époque, devraient se faire guerriers et de livrer des batailles épiques pour regagner leur liberté et, après, leur pays d’origine.  Ce fut dans cette intention que l’histoire grandiose, éminemment inspirante, du Roi David, homme talentueux, spirituellement pur, toujours victorieux, parce que soutenu par le Dieu unique, fut écrite.  Aussi nul ne doit s’étonner du fait qu’à peu près aucun haut fait narré dans la Bible n’ait pu obtenir de confirmation historique dans les diverses fouilles archéologiques des derniers siècles.

En plus du courage, il faudrait que ce peuple démontre une grande sagesse.  Pour cette raison, les dirigeants créèrent de toute pièce un roi intègre d’une grande perspicacité de jugement sûr et de bon conseil. Et ce fut ainsi qu’apparurent les propos remplis de sagesse de cet homme dans le «Livre des Proverbes», des paroles traduites en hébreux à partir des écrits d’un Égyptien du nom d’Aménopé. Quant aux «Psaumes» du roi David, ils furent traduits d’après des hymnes égyptiens.  Voilà comment la on poursuivit la création de l’«Ancien Testament» en se fondant sur l’histoire de trois familles différentes de l’une des huit tribus originelles de la race blanche.

Pour en revenir à Jésus, cet homme a commencé ses études spirituelles auprès de sa mère et de son père puisqu’ils étaient tous deux, on le rappelle, des Initiés esséniens. Plus tard, ses parents, toujours, avec d’autres Esséniens de grande envergure, lui enseignèrent les techniques spirituelles de Moïse et des anciens. Cependant, avec le temps, certaines quantités de la sagesse et des techniques anciennes avaient été oubliées depuis l’enterrement de l’Arche de l’Alliance.  Cette Arche sainte, en même temps que les documents de Moïse et que toutes les Pierres de l’Alliance, à l’exception d’une, avait été enterrée dans les environs de Jérusalem au cours du VIe siècle av. J.-C., mais personne ne sait où.

Plus âgé, Jésus a voyagé dans tout le Moyen-Orient et l’Europe pour étudier dans diverses «Écoles de Mystères». À sa grande surprise, il a découvert la «Roche d’Israël», l’une des Pierres sacrées de l’Arche d’Alliance, alors qu’il visitait l’École de Mystère druidique de Glastonbury en Angleterre, suite à un emprunt, pour l’occasion, aux Celtes et aux Druides d’Irlande. Après sa découverte, cette pierre prit le vocable de «Pierre de la Destinée». Le voyage effectué par la «Roche d’Israël», aussi connue comme l’une des «Pierres de l’Alliance», jusqu’à Glastonbury en Angleterre commença en Israël/Palestine au 6ème siècle A.C.N. Juste avant la chute de Jérusalem aux mains de Nabuchodonosor et des Babyloniens, le prophète Jérémie transporta la Roche/Pierre en Irlande, accompagné par la fille du roi Zédékiah, Tamar. Le roi Zédékiah était, en ce temps-là, roi de Judée et de Jérusalem.

Tamar était l’une des «Pures». Elle portait les mémoires ancestrales de Moïse, saint transfuge d’Akhnaton, dans son ADN cellulaire. Juste avant la chute de la Judée et de Jérusalem, sa capitale, aux mains de Nabuchodonosor, au VIe siècle avant notre ère, cette dame, Jérémie et quelques autres «Êtres purs», donc des Esséniens, ont enterré l’Arche de l’Alliance.  Alors, le prophète Jérémie emmena la Pierre de l’Alliance, désormais connue comme la «Roche d’Israël», hors de Palestine, puis il émigra en Irlande, avec Tamar, la fille du roi. Et ce fut ainsi que la Lignée davidique de l’ADN de Moïse-Akhnaton est parvenue en Irlande.

(Finalement, Tamar épousa un roi irlandais celte. Plus tard, ses descendants émigrèrent en Écosse  au Ve siècle ap. J.-C., apportant avec eux la lignée davidique de l’ADN de Moïse-Akhnaton.  Lors de leur migration, les Celtes, Irlandais et Écossais, enlevèrent la Pierre de l’Alliance de Glastonbury et ils amenèrent cette Roche d’Israël avec eux en Écosse.  Plus tard, dans ce dernier pays, la Pierre de la Destinée s’éveillera deux fois, notamment une fois au XIIe siècle, avec un Être avancé qui devait retrouver l’Arche de l’Alliance et créer le Cercle intérieur de la Confrérie des Templiers.)

***

La Roche d’Israël est l’une des anciennes pierres sacrées qui étaient utilisées lors des cérémonies sacrées de la race blanche, il y a des milliers d’années, à l’époque de Sumer, en Mésopotamie antique. Les huit tribus qui se répandirent à partir de Sumer (l’Irak moderne), devinrent la race blanche d’Europe, du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.  En quittant Sumer, chacune des tribus emportait une Pierre sacrée importante et des Pierres sacrées secondaires.  Entre les mains de certains êtres avancés dans le processus de l’Illumination spirituelles, les Pierres sacrées secondaires servaient de bibliothèque. Sur ces Pierres sacrées, on retrouvait des symboles et des informations cryptées, inscrites par des entités du degré des Seigneurs, depuis les premiers jours de l’humanité et destinées à des Êtres avancés qui naîtraient dans les générations futures de leur tribu.  Quant elle se trouvait à Sumer, parmi les inscriptions qui étaient gravées dans la Roche d’Israël, figuraient des symboles qui décrivaient les techniques spirituelles utilisées pour créer le «Pain sacré» royal de Sumer et d’Égypte, aussi connu comme la «Manne». Depuis l’époque de Sumer, la Roche d’Israël et les autres Pierres sacrées avaient été protégées dans l’Arche de l’Alliance, par la famille tribale d’Israël, celle des Israélites.  Plus tard, les familles égyptiennes et israélites emmenèrent l’Arche et les Pierres de l’Alliance en Égypte.

Les énergies spirituelles de la Roche ou Pierre sacrée se firent évidentes dès son arrivée en Irlande. Les Druides-prêtres du degré des adeptes, appelés les «Merlins», ressentirent ou perçurent ces vibrations élevées. Certains des adeptes du plus haut niveau de leur confrérie pouvaient même déchiffrer quelques-uns des anciens symboles provenant de Moïse-Akhenaton et des anciens.  À l’origine, les Celtes de Tradition druidique, comme le peuple juif formé des Hébreux, des Israélites et des Égyptiens, provenaient aussi de Sumer. À l’époque où les gens se répandaient à partir de Sumer jusque dans les terres du Moyen-Orient, d’Europe et d’Afrique du Nord, certaines des tribus les plus spirituelles avaient tendance à migrer plus loin pour s’établir à l’écart des terres convoitées par les d’autres peuples guerriers. Et ce fut ainsi que les plus spirituelles des familles celtes avaient immigré en Irlande dans les tous premiers jours et que beaucoup de celles qui suivaient les pratiques spirituelles des Merlins, les anciens Druides-prêtres de niveau adepte, vivaient encore là lors du passage de Jésus.

À un moment, les Druides-prêtres irlandais avaient atteint le même niveau spirituel que certains Égyptiens de la XVIIIe dynastie.  En fait, les adeptes de la confrérie des Druides-prêtres irlandais, après avoir rencontré Jérémie, acceptèrent immédiatement de protéger Tamar. Ils s’occupèrent également d’arranger pour elle un mariage avec un roi celte irlandais ouvert à la spiritualité.  En outre, les Druides acceptèrent de protéger la Roche d’Israël prélevée dans l’Arche d’Alliance. Les Druides adeptes demandèrent le privilège de l’exposer, périodiquement, à l’École de Mystère des Druides de Glastonbury. Ils voulaient que les meilleurs de leurs Merlins potentiels, les meilleurs de leurs adeptes parmi les Druides-prêtres, puissent toucher la Pierre pour voir si l’un d’eux pourrait être éveillé de l’antique façon par les énergies électromagnétiques infusées dans toute Pierre d’Alliance. Et ce fut ainsi que la Roche d’Israël ou Pierre de l’Alliance commença ses voyages entre les Merlins ou Druides adeptes celtes d’Irlande et ceux de Glastonbury en Angleterre.

Seuls les adeptes spirituels étaient autorisés à toucher la Pierre de l’Alliance.  Lors de son passage, à titre d’adepte spirituel, Jésus fut autorisé à toucher la dite Roche. Ce fut à partir du moment où il la toucha physiquement que les énergies qui y avaient été infusées, par des générations d’Êtres du degré de l’Illumination des Seigneurs, commencèrent à éveiller électromagnétiquement les mémoires ancestrales enregistrées au niveau de son ADN. Un échange d’énergie spirituelle commença à se produire entre les énergies électromagnétiquement emmagasinées dans la Pierre de l’Alliance et le champ d’énergie électromagnétique de Jésus. La Lumière fusa par les symboles gravés dans la Roche d’Israël, faisant flamboyer les champs d’énergie électromagnétiques d’Amour magnétique et de Lumière électrique de Jésus en une aura dorée qui enveloppa son corps tout entier. Jésus resta pétrifié par les énergies de la Pierre, alors qu’il voyait la Lumière se déverser des anciennes inscriptions de la Pierre sacrée.  Debout au milieu de ces énergies puissantes, il commença à comprendre les techniques spirituelles et il capta les mémoires de Moïse-Akhenaton et de Thoutmose III, enregistrées dans son propre ADN, au niveau cellulaire.

Ce fut à ce moment-là que Jésus prit soudainement conscience que sa mission était d’enseigner à ceux qui étaient prêts les mêmes anciennes techniques secrètes qui avaient été gravées symboliquement dans le Sceau d’Akhnaton par Moïse-Akhenaton. À l’époque de Jésus, le Sceau d’Akhenaton était devenu le Sceau de Salomon.  Aujourd’hui, cet ancien symbole égyptien, un sceau de sagesse et de révélation, porte le nom d’Étoile de David. À partir des symboles que Jérémie avait gravés dans la Pierre, Jésus prit aussi conscience de la localisation exacte de l’Arche de l’Alliance. Ce fut à partir des symboles de Moïse qu’il comprit comment confectionner le «Pain sacré», appelé la «Manne» et comment utiliser les anciennes techniques de Guérison par un recours à l’Énergie spirituelle naturelle.

Pendant son adolescence et ses première années d’adulte, Jésus voyagea beaucoup dans tout le monde occidental, le Moyen-Orient et vers l’Est, jusqu’en Inde, dans sa quête spirituelle de dépasser l’état d’Illumination et d’explorer les niveaux de Conscience supérieurs de la Manifestation. Ainsi, il étudia pendant un certain temps avec les Druides celtes de Glastonbury et il y apprit l’histoire spirituelle du monde occidental. On lui révéla aussi l’immense nombre de significations et l’immense sagesse spirituelle cachée dans la «Croix celtique», connue jadis comme la «Marque de Caïn».

À partir d’informations trouvées dans l’Arche d’Alliance, Jésus apprit plus tard comment la croix rouge à branches égales placée dans un cercle, choisie comme symbole du Cercle intérieur des Templiers, onze siècles plus tard, représentait la «Marque de Caïn», un symbole, donné par le Seigneur, aux membres de la race blanche qui choisissaient la Voie du Service auprès des autres, plutôt que la voie du service à son endroit, à l’endroit de sa famille et de ses amis.  On conférait la Marque de Caïn aux gens qui choisissaient de suivre la Voie spirituelle du Seigneur, désireux de se protéger de la fureur de «Jéhovah». Jésus apprit également l’histoire complète de l’humanité et la raison pour laquelle les Celtes se peignaient en bleu avant de livrer bataille.)

Quand Jésus a activé les mémoires de l’ADN de ses ancêtres, en touchant la Pierre de l’Alliance, ses pouvoirs et ses facultés apparurent très clairement à tous les Merlins de l’École de Mystère druidique de Glastonbury. Les Druides adeptes proposèrent immédiatement à la très ancienne École de Mystère de la Race bleue de Shiva, en Inde, l’admission de Jésus dans ses rangs, une requête qui ne tarda pas à être acceptée. À l’époque de Jésus, cette École de Mystère de Shiva, déjà vieille de milliers d’années, continuait à dispenser les enseignements de quelques individus qui détenaient la Connaissance véritable du Savoir des temps reculés de Shiva.  D’anciennes techniques spirituelles empruntées à cette École de Mystère, combinées aux anciennes techniques de ses propres ancêtres, permirent de propulser le propulser dans le plus haut niveau spirituel accessible à un être incarné.  Le mot «Béatitude» est le seul capable de donner une approximation de l’État d’Illumination ultra conscient d’un Soleil de Dieu.

À chaque saut quantique, comme ceux qu’un être très avancé comme Jésus connut en Angleterre et en Inde, une période d’intégration des niveaux surélevés d’énergies spirituelles devient indispensable.  En effet, soudainement, il voit et perçoit un taux vibratoire d’énergie électromagnétique, d’un degré de Conscience spirituel infiniment plus élevé, ce qui l’oblige à mouvoir son corps et à s’en servir autrement.  Parce qu’il vibre dans un état de Conscience d’Illumination supérieure, il expérimente une forme d’indolence béate qui peut le porter à des négligences dangereuses.  Par exemple, un tel être, parce qu’il voit derrières les portes, peut oublier de penser à les ouvrir, au moment de les franchir et se faire très mal, comme il peut rencontrer d’autres embûches matériels du genre.  Il a vraiment besoin d’intégrer son ampleur multidimensionnelle.  Comme Jésus était porté à se frapper aux portes ou à trébucher sur des objets, dans ses moments de grande extase, on lui attribuait le sobriquet affectueux de «Sanandâ», qui signifie «ivre de Félicité»

Voilà dans quel état d’accomplissement Jésus finit par revenir en Palestine, soit comme un Être éclairé d’un avancement inégalé, mais qui devait poursuivre son intégration physique d’une intensité d’énergies électromagnétiques d’Amour magnétique et de la Lumière électrique de la Divinité unique.  La version du Christianisme de Constantin, chef de l’Empire romain, a mené à croire que Jésus était de facto, dans sa forme physique, le Fils de Dieu, voire le Fils unique de Dieu.  Par la suite, l’Église chrétienne, principalement implantée dans l’Empire romain, s’est complu à perpétuer ce mythe parce que le Maître parlait souvent de son «Père céleste».  En fait, à titre de membre de la confrérie des Esséniens, il devait plutôt parler se son «Père-Mère», ce que, pour des raisons de surestimation virile, de paternalisme, de tradition patriarcale, l’Église a occulté.  Quoi qu’il en soit, chez les Esséniens, le mot «Père» pouvait s’interpréter de plusieurs manières ou désigner diverses réalités, notamment en prenant une acception biologique affectueuse autant qu’en désignant un titre spirituel répandu dans la communauté.  Même dans la version censurée, par l’Empire romain, de son Évangile, Marc déclare que les femmes et les hommes devraient agir comme des «Fils de Dieu». Alors, comme il s’agit d’une impossibilité biologique pour ce qui a trait aux femmes, il faudrait se demander quelle est la référence allégorique qui recouvre d’un sens caché l’expression de «Fils de Dieu».

Dans la Tradition essénienne, le titre de «Fils de Dieu», qui devrait se lire «Soleil de Dieu», est indifféremment attribué à toute personne, homme ou femme, qui a atteint un niveau particulier d’Illumination spirituelle.  C’est un degré supérieur au «Fils de l’homme». Les Esséniens utilisaient l’expression «Soleil de Dieu» pour décrire un Être éclairé qui s’est avancé au-delà du Royaume céleste du Seigneur et qui, ainsi, devient un canal des énergies électromagnétiques, comme le Soleil, notre étoile, l’est pour le système solaire.  Dans cette École ésotérique, l’Illumination représente le terme usuel pour décrire un individu qui est complètement rempli des énergies électromagnétiques de l’Amour, un aspect magnétique de Dieu, et de la Lumière, son aspect électrique. Chez les Êtres avancés, les énergies dorées de l’Amour magnétique et bleu pâle de la Lumière électrique rayonnent au moment de la connexion de l’âme avec la glande pinéale ou «troisième œil», son siège, au centre du cerveau, et le thymus, sa porte d’accès, situé près du cœur, et elles peuvent être perçues par les yeux de «ceux qui ont des yeux pour voir».  Ce sont les énergies qui servent à produire une harmonisation ou une guérison.  Un Traitement de guérison par Énergie spirituelle naturelle utilise un transfert d’énergie électromagnétique qui part du corps physique sain et du Corps de Lumière étendu d’un individu spirituellement avancé, pendant qu’il est dans l’état d’Illumination, pour soigner les autres.

Dans ses traitements spirituels, dits miraculeux, Jésus recourait au flux naturel des énergies électromagnétiques, la fusion de l’Amour magnétique et de la Lumière électrique de Dieu, pour guérir les autres au niveau cellulaire de leur corps physique.  D’abord, Jésus amenait les gens à se pardonner eux-mêmes parce qu’il savait que le pardon produit un impact physiologique par l’harmonisation des actions passées, ce qui purifie le champ d’énergie individuel, libérant des blocages énergétiques de la colère et du ressentiment, séquelles d’évènements passés de sa vie.  Une personne incapable de se pardonner et de  pardonner à autrui ne peut se rétablir complètement dans la santé.

En passant, il n’y a qu’une très petite partie des enseignements de Jésus qui ont survécu à la tentative, menée par l’Empire romain, pour détruire absolument toutes les informations concernant la vie du vrai Jésus. L’Empereur romain a envoyé des Légions romaines dans toute l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord pour détruire ou ramener à Rome tous les documents qui auraient pu contredire, d’une façon ou d’une autre, la version du «Nouveau Testament» de la «Bible chrétienne» qu’il avait fait rédiger.  Du reste, le même type de zèle intéressé, destiné à détruire les renseignements concernant la vraie vie de Jésus, s’est poursuivi pendant deux mille ans.  En fait, c’est la même peur de la vérité qui a nourri les diverses formes d’Inquisition de l’Église romaine qui ont sévi pendant des centaines d’années, éliminant ou estropiant des millions d’hommes, de femmes et d’enfants innocents.

Cependant, grâce à la bravoure d’hommes et femmes, l’humanité possède encore certains documents prodigieux, provenant du temps de Jésus. Certains de ces documents, qui débordent de merveilles sur les enseignements réels, ont été découverts enterrés dans des jarres de terre cuite à Nag Hammadi, en Égypte. Cette merveilleuse collection d’anciens documents contenait, parmi d’autres trésors,jesus-apotres-disciples une copie intégrale du magnifique Évangile de Thomas. On savait que l’Évangile de Thomas existait parce que, à une époque, on en avait découvert un petit fragment, soigneusement conservé, écrit en grec. On peut encore dénombrer l’Évangile de Philippe, celui des Égyptiens, celui de Marie celui de Marie-Madeleine.  Au total, on peut compter environ cinquante évangiles et autres documents chrétiens primitifs, non censurés par l’Empire romain, qui furent découverts, parce qu’ils avaient secrètement été enterrés en Égypte, d’où ils diffèrent grandement des textes canoniques, approuvés par l’Église catholique.

Les merveilles contenues dans les paroles du Vrai Jésus apparaissent rapidement, juste à la lecture du premier verset de l’Évangile de Thomas.  En effet, il assure que Jésus a dit : «Celui qui découvre le sens de ces paroles ne fera pas l’expérience de la mort».  C’est dire que la compréhension des paroles véritables de Jésus pouvait produire l’Illumination et élever dans l’immortalité.  Du reste le troisième verset du même Évangile affirme : «Si ceux qui vous guident vous disent : «Voyez, le royaume est dans le ciel», alors les oiseaux du ciel vous précéderont. S’ils vous disent : «Il est dans la mer», alors les poissons vous précéderont. Plutôt, le royaume est à l’intérieur de vous, et il est à l’extérieur de vous. Quand vous en arrivez à vous connaître vous-même, alors, vous serez connu et vous saurez que c’est vous qui êtes les Fils du Père-Mère vivant.  Mais si vous ne devez pas en arriver à vous connaître, vous demeurez dans la pauvreté et c’est vous qui êtes cette pauvreté.»

Comme Jésus l’expliquait, a son époque, quand un être quitte son véhicule physique temporaire et qu’il retourne à son corps de Lumière, il y retourne avec les expériences de sa vie et avec la quantité d’Amour et de Lumière qu’il a ajoutée ou soustraite à son champ d’énergie spirituelle dans la dite vie.

Quant on la découvre entièrement, à partir des Archives akashiques, la vie et l’enseignement de Jésus prend un tout autre sens et il produit des effets initiatiques bien différents.  Peut-être, un jour, complètera-t-on cette introduction qui, en rétablissant une part de la vérité, devrait avoir éveillé votre curiosité.

Pour ma part, pour avoir entonné un seul son de la technique d’intégration des Énergies christiques, puisées dans les techniques réactualisées, en son temps, par Jésus, que j’avais découvertes, comme par hasard, dans une certaine documentation, j’ai vécu à quelques reprises, pendant plus d’un mois, un phénomène visuel inoubliable de la décomposition et de la recomposition des énergies, signalant que je pouvais porter une part de l’ADN de cet illustre personnage qui eut des enfants de son épouse, Marie-Madeleine, qui n’avait rien d’une prostituée, mais avait tout de la femme initiée.  Cela ne m’a pas surpris puisque je savais, de pleine certitude, que j’avais connu Jésus, m’étant réincarné à son époque dans la forme de l’un de ses disciples, et que j’avais assisté à son sacrifice suprême, avec sa Mère Marie, au pied de la croix.

NOTE DE BERTRAND DUHAIME : Exceptionnellement ce texte n’est pas de moi, il résulte d’une collection d’emprunts sur la Toile et ailleurs, mais il résume une large part de mes convictions intimes, en raison de souvenirs d’antan, et de mes lectures personnelles des Archives akashiques.

A propos de l'auteur

Une réponse

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *