LA COLOMBE, L’UNE DES PRINCIPAUX SYMBOLES DES RELIGIONS JUDÉO-CHRÉTIENNES…

La colombe désigne le nom poétique du pigeon blanc, parfois plus largement attribué à divers pigeons et tourterelles, emblème de l’amour, de la douceur, de la gentillesse, de l’amabilité, de la pureté, de l’innocence, du détachement, de la fidélité et  de la paix, qui illustre la sublimation de l’âme et le renouveau de la vie.

La colombe évoque tantôt le Saint-Esprit tantôt la Déesse-Mère, ce qui, pour le mystique, revient au même, le Saint-Esprit devant presque toujours être perçu comme l’Intelligence créatrice en action.  Or lCOLOMBE‘Intelligence créatrice, c’est la Mère divine.  Dans ce contexte, la colombe désigne souvent la matrice de la Déesse créatrice et amoureuse.  Mais on l’associe diversement à l’âme fidèle, à la Vie spirituelle, à l’âme en pèlerinage dans le temps et l’espace emprisonnée dans un corps humain.  Selon les cultures, elle évoque l’amour, de ses degrés les plus charnels aux plus divins.  En Alchimie, elle identifie l’Œuvre au blanc, l’illumination de la conscience.  Par son alliance intérieure dans les profondeurs, un être grandit dans la Lumière et se fortifie en elle.  Elle désigne parfois un être élevé dans la conscience christique.  On va jusqu’à l’associer à la raison dans son appréhension du monde visible.  Et en psychologie, elle désigne l’amour conjugal, le besoin de douceur ou de tendresse, un amour platonique ou une aspiration vers l’idéal.  Dans le couple, elle suggère la fidélité conjugale et les intentions pures dans cette union.  Pour un groupe, elle figure sa conscience collective.

Dans la Tradition mystique, la colombe évoque la vie, la lumière, l’amour, la pureté, la  simplicité, l’harmonie, la paix, l’espoir.  Elle établit un lien avec la pensée et l’énergie des Archanges, ces entités qui portent la Parole de l’Esprit saint.  Elle figure la Messagère de Lumière qui apporte à l’âme un message pour l’éclairer sur un point important.  Mais cette messagère et prophétesse est reliée à l’Énergie cosmique de polarité féminine.  Oiseau d’Aphrodite et d’Astarté, c’est l’oiseau initiateur de Vénus.  C’est elle qui ramena à Noé une branche d’olivier, après qu’il l’eût lâchée de l’Arche, à la fin du déluge, pour savoir si la terre avait émergé des eaux, ce qui lui permettrait de trouver un endroit pour mettre pied sur la terre ferme.  C’est donc la Messagère privilégiée de l’Esprit-Saint, mais aussi l’emblème de l’Égrégore christique auquel il faut se lier consciemment puisque les Grands Maîtres travaillent de ce plan.  Comme Messagère du Saint-Esprit, elle représente probablement une transposition du  cygne de Léda, provenant de la mythologie grecque.

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La colombe auréolée symbolise l’Esprit-Saint ou l’Initié, cet être illuminé.  La colombe auréolée en vol descendant exprime la descente de la Conscience cosmique en incarnation ou l’illumination imminente d’un adepte.  La colombe blanche désigne le Saint-Esprit, l’Égrégore christique ou l’âme impérissable.  Elle  suggère les pures forces spirituelles vierges que les sens n’ont pas encore touchées.  Elle incline vers l’espoir.  Elle figure une transposition du cygne de Léda.  Dans la Tradition hindoue, la colombe descendant du ciel réfère au troisième œil.  La colombe en ascension sert de figure à la conscience individuelle qui, par ses efforts, cherche constamment à s’élever et à purifier ses buts.  Une colombe en descente, surtout en projection vers soi, exprime un afflux d’énergie ou de lumière pour aider ou encourager dans son périple évolutif.

La colombe de Noé désigne l’oiseau mystérieux qui accompagne toujours le Christ ou le révèle.  Portant dans son bec une branche d’olivier, emblème de la paix, elle lui annonce que ses efforts évolutifs ont porté fruit, qu’il recevra bientôt la couronne du triomphe, qu’il trouvera enfin les assises stables et solides qu’il cherchait.  La colombe noire donne l’image culturelle de la femme qui reste veuve jusqu’à sa mort, ce qui constitue une négation de la vie à cause de son éros frustré.

Le Firmament de la Colombe désigne le ciel pur de nouveau révélé au terme de l’Ascension planétaire, lors de l’illumination de la Grille magnétique, mis en latence à la fin des expériences de Mu et de l’Atlantide et remplacés par une grille terrestre purement électromagnétique engendrant la dualité.  Son installation a commencé en mars 2009, à l’équinoxe printanier, par l’implantation de point d’ancrage en quatorze points du globe.  Cela s’est manifesté sous forme de deux bandes elliptiques d’arcs fréquentiels iridescents qui encerclèrent la Terre comme c’était le cas il y a des éons de temps, l’une de nature électromagnétique (or et argent) et l’autre, purement cristalline (énergie diamantine).  Celles-ci opéreront une rotation au-dessus des 144 double penta-dodécaèdres de la grille 144. En termes hautement techniques, le firmament assurera la fonction de transduction des oscillations de la fréquence supra-cristalline en un dévoltage piézo-électrique pour assurer l’interface avec la grille. Ce dispositif subtil permettra une totale intégration dans le circuit des énergies gamma-cristallines provenant du Champ unifié de Tula, le Grand Soleil Central. En termes plus faciles à comprendre, le firmament fournira aux puissantes vagues d’énergie céleste une forme bénéfique, les atténuant pour les rendre plus facile à capter sur le plan terrestre.

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