GAÏA, LA DÉESSE GRECQUE DE LA TERRE, LA PACHAMAMA DES CRÉATURES TERRESTRES…

Dans la culture grecque, Gaïa représente l’un des noms de la Terre.  Ce mot signifie «ce qui donne» ou «supporte la vie».

Dans la spiritualité contemporaine, le nom de Gaïa, la Déesse Terre, revient souvent pour appeler l’humanité à considérer la planète comme une entité consciente et vivante qui poursuit sa propre évolution, entraînant avec elle les créatures d’autres univers qu’elle héberge pour leur servir d’école de développement.  Gaïa, la Terre-Mère, représente une immense sphère d’énergie créatrice qui comprend un nombre incalculable de cellules intelligentes.  Elle puise son énergie dans tout l’Univers, voire dans l’Omnivers et dans la Source universelle.  Elle constitue un corps viTerrevant à la manière de l’être humain, qui en forme le psychisme, et elle ressent toutes les vibrations autours de son corps, peu importe d’où elles proviennent.  Ainsi, à sa propre surface, elle est aussi consciente de l’existence d’un petit caillou que d’une entité humaine, et, par ses antennes subtiles, elle capte autant une vibration émanant des étoiles que des autres galaxies et des sublimes Purusas (Pouroushas).  En effet, tous les corps célestes procèdent à un échange de fréquence dans le respect mutuel.  En outre, notre planète possède son propre cœur qui lui permet de ressentir tout ce qui vient de l’intérieur.  Elle agit comme une entité unie à sa Source divine, sa partie spirituelle, qui reste sa vraie identité.

Avant l’apparition de l’espèce humaine sur Terre, celle-ci hébergeait déjà la vie et elle s’occupait diligemment de chacune des espèces vivantes.  Elle était structurée de manière à produire un équilibre parfait dans la Nature entre les différends règnes minéral, végétal, animal, comme entre le monde terrestre et le monde marin.  Tous ces mondes avaient appris à vivre en harmonie de manière à s’assurer de poursuivre leur évolution commune.  Les mondes minéral, végétal, animal vivaient dans un équilibre total et l’évolution de chaque espèce s’ajustait à son environnement respectif. Tout se passait dans le respect puisque chacun d’entre eux comprenait son propre rôle dans la chaîne évolutive.  Cet univers suivait son cours en favorisant les espèces les plus combatives, leur permettant de poursuivre les divers cycles de vies, tandis que celles qui ne réussissaient pas à suivre le rythme général s’éliminaient d’elles-mêmes.  Pour comprendre cela, il faut se rappeler que la Création poursuit toujours son expansion.

Les premières formes humaines qui ont foulé le sol terrestre vivaient en harmonie avec la planète.   Elles vénéraient spontanément sa nature et ils respectaient  ses divers milieux.  Elles avaient conscience des règles de la vie et du rôle que devaient jouer les différents règnes.  Elles vivaient ainsi en harmonie parce qu’elles avaient développé des connaissances leur permettant de s’alimenter, de se soigner, de se guérir, de se vêtir, de se trouver un gite.  Grâce à leur ressenti profond, elles savaient ne faire qu’un avec la vie.  Pour cette raison, elles savaient honorer chaque espèce pour les bienfaits qu’elles en retiraient.   Elles invoquaient même les ancêtres pour acquérir leur sagesse.

En fait, ces premières formes humaines avaient acquis ses connaissances dans les astres et les étoiles.  Par là, elles connaissaient les cycles saisonniers et elles pouvaient prédire leur avenir d’après les aspects du ciel et d’autres indices. Pour ces premiers êtres humains, Gaïa était un véritable paradis.  Comme ils avaient la conscience tranquille, ils agissaient au meilleur de leur intérêt personnel et du bien-être de tous.  Comme espèce, ils reconnaissaient former un tout dans un tout plus grand.  Comme ils vivaient dans le respect mutuel et respectaient les lois de l’ordre, de l’harmonie et de l’équilibre, Gaïa exauçait leurs moindres demandes en les manifestant tangiblement.

À la vérité, Gaïa a manifesté concrètement la vie sur cette Terre.  De ce fait, elle est la Mère de tous.  Sans elle, la Terre, avec toutes ses formes, n’existerait pas.  Même la forme humaine procède de ses énergies intelligentes et créatrices.  La Grande Déesse Gaïa représente plus que la Terre qui ne représente que la forme qui lui permet d’évoluer dans le plan de la densité matérielle.  Elle représente une entité divine descendue dans le système solaire pour apprendre et expérimenter la manière de concrétiser des formes de vies, en des espèces différentes, leur permettant de faire un apprentissage dans le monde de la matière.  Sur ce plan, peu à peu, ces formes de vie peuvent parvenir à manifester concrètement leurs moindres désirs et besoins.  Par le processus de la créativité, ils peuvent réussir à se perfectionner et à poursuivre leur évolution, autant au plan  personnel que collectif.  Gaïa détient la mission d’aider toutes les espèces qu’elle accueille à s’élever en conscience et à faire leur ascension avec elle afin d’atteindre un plan vibratoire supérieur.

La Terre a connu de grands bouleversements : elle est passée par des périodes glaciaires où presque la totalité des espèces vivantes ont disparu de sa surface.  Elle a traversé nombre de cycles puisque la Création se poursuit sans cesse, continuant à prendre de l’expansion.  Au cours de l’un de ces cycles, deux grandes civilisations finirent par en fouler le sol après avoir traversé les cinquième et quatrième dimensions.  Il s’est agi des civilisations de l’Atlantide et de la Lémurie qui, pour un bon moment, ont été des contemporaines.  En raison de la densité matérielle, qui engendre une certaine opacité spirituelle, toute civilisation finit par s’alourdir.  Et ce n’est que lorsque cette densification finit par devenir un piège douloureux qu’une civilisation commence à chercher une manière de s’en sortir.   En raison de leur insouciance, certains des représentants de ces deux civilisations ont provoqué un désastre planétaire et leurs créations de la troisième dimension finirent par être englouties.

Voilà qui a engendré une profonde répercussion sur le monde matériel : la densité s’y est amplifiée.  Pour cette raison, il a fallu attendre plusieurs cycles avant que Gaïa puisse réintroduire la vie à la surface de la Terre.  Des résidus, qui couvraient toute la planète, empêchaient les rayons du Soleil d’y pénétrer et Gaïa d’y faire renaître la vie.  Pour sa part, la forme humaine n’a pas eu d’autre choix que de s’y faire et d’attendre que la vie lui permettre de poursuivre son évolution.  Comme la densité était plus intense, ce qui rendait la matière plus lourde, les Étincelles divines, chargées de prendre la forme humaine, ont connu un grand problème.  En effet, une part de l’Essence divine a pu intégrer le véhicule humain, mais une autre partie, la plus lumineuse et la plus vibrante, la Monade divine, sa Source divine, dut se maintenir à un niveau vibratoire plus élevé, tout en restant reliée à l’autre partie qui a pu s’incarner dans la matière.  Ce n’est qu’ainsi qu’elle a pu poursuivre son expérience évolutive et reprendre son apprentissage de la Réalité divine.

Gaïa n’a pas pu émaner de modèle concret qui aurait permis à ces Étincelles divines de s’intégrer complètement.  Nous référons ici à l’espèce humaine actuelle qui procède des deux grandes civilisations d’Atlantide et de Lémurie.  À cause des karmas communs aux deux civilisations, l’humanité doit présentement redécouvrir le processus d’éveil de la conscience à sa vraie Identité divine, réintégrer la Conscience de l’Unité.  Ainsi, les êtres humains des temps présents doivent mettre tous leurs efforts dans l’apprentissage de la vie en augmentant son taux amoureux, le seul moyen de renouer avec le processus d’éveil, pour le produire, et de fusionner avec sa partie divine, restée à niveau vibratoire plus élevé.  Cette nouvelle espèce humaine, régie par le mental, lui a trouvé un succédané, donnant naissance à l’ego, la volonté d’affirmation du moi.  Ce pouvoir a engendré la personnalité qui s’est forgé des règles et un code de conduite tellement centrés sur les intérêts égotiques de l’individu qu’il a largement coupé l’humanité de son Créateur.

Ce nouvel habitant de la Terre a du créer ses propres règles, d’après ses propres valeurs, pris dans son combat pour la survie.  Alors, peu à peu, il a dû chercher à restaurer l’équilibre en tout.  Encore récemment, il ne respectait plus rien, d’où il ne vivait plus en harmonie avec les autres règnes qui l’entouraient.  Ces règnes sont devenus de plus en plus hostiles à l’endroit de ce nouveau résident  Au point que presque tout, dans le monde matériel, en est venu à se retourner contre lui.  À partir de ce moment, l’espèce humaine ne pensa plus qu’à s’approprier le monde où elle vivait pour l’asservir.  Dans son inconscience, l’être humain en est venu à se croire le roi du monde terrestre, se considérant comme l’être le plus intelligent de toute les espèces vivantes de la planète.  Peu importe le comportement d’une espèce ou de l’autre, il se mit à les défier toutes, même à défier la sienne, assuré qu’il détenait, par la force des choses ou de droit divin, le pouvoir sur tout et sur tous.  Dans sa pensée, cet univers devait se soumettre à ses volontés ou périr.

C’est ainsi que, depuis son apparition sur cette planète, l’être humain utilise les ressources à outrance, d’une abondance qui lui a fini par lui faire croire qu’elles étaient inépuisables.  Mais ce comportement inadéquat, fondé sur usage des ressources dénué de respect, peu soucieux d’éliminer d’autres espèces vivantes, entraîna, de façon cumulative, des conséquences négatives et désastreuses à long terme, voire des conséquences directes irréversibles sur la planète entière.  Il a fini par rompre l’harmonie et l’équilibre entre les différends règnes de la Nature.  Il a fini par nuire à toutes les espèces, y compris à la sienne.

Impuissante, la Grande Mère Gaïa a dû apprendre à vivre avec cette nouvelle forme humaine.  La Terre ne peut manifester concrètement la vie que si toutes les formes de vie qui existent à sa surface est respectueuse d’elle-même et des autres formes de vie qui l’entourent.  Partout dans le Cosmos, tout se tient.  Dans un univers particulier, les créatures vivantes doivent faire un avec la planète qui les héberge.  En réalité, ces formes ne peuvent être que des extensions de cette planète.  Quand l’une de ces formes de vie méprise et  ne respecte plus la planète où elle mène son expérience, elle ne peut que redouter les justes retours de la Causalité, aussi appelée la Justice immanente.  Celle-ci ne peut s’attendre qu’à récolter concrètement toute la négativité qu’elle a semée.

Présentement, il urge que l’humanité redécouvre le processus d’éveil à sa véritable Identité divine.  Pour y arriver, elle devra dépasser sa création mentale, l’ego, qui comporte la somme des acquis de toutes ses vies antérieures sur cette Terre à travers diverses formes humaines.  Chaque être humain doit atteindre un niveau vibratoire supérieur qui lui permettra de franchit le Portail de l’Ascension.  Il doit s’éveiller à sa divinité, le seul moyen de s’unir à sa portion divine et de revenir un Être divin complet.  Le seul moyen de parvenir à cette fin, c’est d’augmenter son taux d’amour en s’identifiant de plus en plus à sa divinité.  Car c’est par l’amour que s’enclenche le processus de fusion avec l’Étincelle divine.

Au cours de ses nombreuses incarnations, la plupart des êtres humains ont connu tous les continents, toutes les races, tous les peuples, toutes les cultures, toutes les religions, tous les modes de gouvernement de cette Terre.  À chacune de ses incursions ici-bas, chaque être humain a produit une empreinte sur son propre cristal, conservé à un niveau supérieur.  Pour se permettre de fusionner avec sa Source d’amour, son Identité vraie, son double et sa présente personnalité doivent passer par une démarche d’épuration afin de permettre à son ego et à toutes les facettes de sa personnalité de se libérer des résidus cristallisés.  Cette démarche doit permettre de dissoudre ou de supprimer toutes les voiles formés par l’ensemble des émotions, des passions,  des peurs, des doutes, des souffrances, des erreurs, des échecs, des traumatismes, le résultat de comportements antérieurs inappropriés, qui alourdissent, qui produisent un blocage, qui enchaînent à la densité et qui, de ce fait, empêchent  de s’élever.

Tous ces résidus ne peuvent disparaître de la conscience humaine que s’ils passent à travers la douce lumière de la compréhension et du feu de l’amour de soi.  C’est ainsi qu’un être peut ouvrir la porte à sa véritable Identité divine afin de mener à terme le processus de fusion de la forme humaine, du mental, de l’ego et du double épurés de tous les résidus et libérés de toutes les ombres.

En ce moment même, l’espèce humaine a atteint, même dépassé, la masse critique qui a permis à Gaïa d’ascensionner et à plusieurs de ses êtres chers de s’élever avec elle.  Présentement, l’humanité arrive à la fin d’un cycle de douze mille ans.  Dans son calendrier sacré, l’un des peuples terrestres, le peuple maya, doté de grandes connaissances, a prévu la fin de ce cycle pour le 12 décembre 2012.  À cette date, avec la Terre, l’humanité entrera dans un nouveau cycle appelé à être plus lumineux, plus paisible, parce que plus amoureux.

Mais, d’ici là, l’espèce humaine devra prendre conscience des torts qu’elle a causé à sa planète d‘adoption et à ses divers règnes et elle devra en payer le prix pour prendre une salutaire leçon de vie.  Ce n’est pas en vain que se manifestent tant de déséquilibres comme le réchauffement de la planète, la fonte des glaciers, les pluies torrentielles, les feux dévastateurs, les grandes fluctuations climatiques, les tremblements de terre, les éruptions volcaniques, certaines désertifications et tant d’autre désastres naturels.

Il faut toujours garder en mémoire que Gaïa, en tant qu’entité vivante, ne peut faire autrement que de retourner aux hommes, individuellement et collectivement, leurs propres vibrations.  Comme il a été dit, c’est elle qui manifeste concrètement toute forme de vie sur cette planète, ce qui inclut les formes de l’espèce humaine.  À sa surface, tous les êtres sont assujettis aux mêmes lois.  Pour le meilleur ou le pire, ce qu’un être vivant émet comme vibrations individuelle, il le reçoit au moment le plus opportun dans un juste retour.   C’est la même chose pour une collectivité : elle récolte ce qu’elle a semé.  En fait, on peut dire que chaque être est ce qu’il vibre ou sème par ses paroles, ses pensées, ses actes et ses ressentis conscients et inconscients.

C’est en cela que vous pouvez trouver l’explication des présents déséquilibres planétaires.  La technologie humaine est en train de la détruire, avec sa planète.  S’il n’avait été de la masse critique lumineuse que l’espèce humaine a récemment atteinte, le destin de l’humanité serait déjà scellé.  Jusqu’à récemment, la planète courrait un réel danger de destruction irréversible en raison de l’inconscience et de l’immaturité de l’espèce humaine.  Il n’en reste pas moins un risque de grandes destructions sur tous les continents.  Ce qui se passe sur la planète Terre affecte tout le système solaire et toute la galaxie sur toutes les dimensions inférieures de l’existence.

La Création poursuit son expansion.  Comme l’univers terrestre en fait partie, elle reçoit présentement une nouvelle énergie en provenance de la Source divine, de la Hiérarchie spirituelle et des grandes familles de lumière évoluant dans d’autres dimensions vibratoires.  La nouvelle grille magnétique de la terre permet à cette lumière de parvenir à Gaïa, d’illuminer sa forme concrète et toutes les espèces vivantes qui vivent à sa surface.

Depuis que l’humanité a dépassé sa masse critique d’êtres amoureux désireux d’ascensionner, la grille magnétique de la terre se transforme rapidement.  La Grande Gaïa, qui en est consciente, vient d’ascensionner.  Elle s’est élevée sur un  autre plan vibratoire afin de mieux fusionner avec sa forme.  Elle représente un nouveau monde émettant un taux vibratoire, plus rempli d’amour et de lumière.  Elle a vécu ce qui arrive à tout être qui atteint un certain degré vibratoire : elle a ascensionné.  Désormais, toutes les formes de vie qu’elle porte peuvent s’élever à son niveau de leur vivant, pour certains, mais après avoir quitté leur enveloppe humaine, pour les autres.

Dans peu de temps, tous ceux qui porteront le taux d’amour requis pour ascensionner s’élèveront et se dirigeront en conscience vers cette nouvelle Terre.  Ceux-ci émettront leur nouveau rayonnement vers les autres espèces de vie, ce qui leur permettra de vivre en harmonie dans un nouveau degré d’unité.  Voilà qui produira la vibration du Paradis terrestre ou du Ciel sur Terre où tous vivent dans le respect mutuel et dans l’amour dans l’amour absolu.  En fait, aux niveaux supérieurs, cet état s’est produit au tournant de l’année 2009, bien que la majorité des êtres humains n’en soient pas encore conscients.

Toutes les formes de vies détiennent leur propre Vaisseau de Lumière (que certains appellent Merkaba).  Il en est de même pour Gaïa.  Tous les êtres humains sont des êtres dimensionnels.  Chaque dimension ou niveau de conscience contient le vaisseau ou véhicule de lumière propre de l’entité qui y pénètre.  De ce fait, à la fin d’un cycle, tous ceux qui sont prêts quittent leur présente forme pour en revêtir une autre, bien plus subtile et fluide, donc moins dense.  Alors, ils ascensionnent, c’est-à-dire qu’ils s’élèvent vers un niveau supérieur.  Ceux qui se trouvent au nouveau niveau où ils accèdent font de même, s’élevant sur le plan suivant.  Dans une spirale sans fin, il se produit une permutation de ce genre dans tous les plans de la Conscience cosmique, jusqu’à la Perfection ultime ou la Vérité pure.

Hélas, ceux qui n’auront pas atteint le niveau requis, comme taux d’amour, seront dirigés vers d’autres mondes correspondant à leur taux vibratoire où ils La-Terre-Mèrepourront continuer leur cheminement. Si la planète avait été menacée de disparition, ce qui a bien failli se passer, la Hiérarchie céleste aurait procédé à un sauvetage par lequel tous et chacun auraient été déplacés vers des mondes d’accueil temporaires en correspondance avec leur degré de lumière pour y poursuivre la découverte de leur nature de Dieu voilé.

Chacun gagnerait à prendre conscience que le Créateur, dans son Amour infini, n’oublie jamais personne.  Tout être humain et toute espèce humaine seront tenus en compte dans le présent processus évolutif et tous trouveront leur juste place dans le Plan divin.  Quant à ceux qui ont entrepris une démarche d’éveil à leur véritable Identité, ils bénéficieront de l’aide requis et de l’amour absolu pour s’accomplir dans la Lumière.  Tous sont attendus par leur grande famille de lumière qui se prépare à les fêter pour célébrer leur retour à la maison.

Pour le moment, sur cette Terre, il restera une minorité qui ne parviendra pas à élever son taux vibratoire au point d’ascensionner, parce qu’elle manque encore d’amour.  Pour ces êtres, leur carence amoureuse a réprimé leur lumière et ils n’ont pu réaliser à temps leurs errements et s’amender.  Alors, ils continuent d’augmenter leur densité et d’accumuler des résidus cristallisés, en raison de leurs attaches matérielles, n’ayant pas compris la véritable Voie à suivre dans le message de leurs douleurs et de leurs souffrances.  De ce fait, désormais, ils ne peuvent que déchoir.  Cette déchéance ouvrira dans leur être un canal qui attirera des entités créées spécifiquement pour dévorer les entités sombres et leur enveloppe corporelle.

C’est ainsi qu’il se produit un nettoyage naturel lorsque qu’une Étincelle divine ne parvient pas à établir dans un être incarné un niveau vibratoire acceptable lui permettant de continuer son cheminement. Toute entité qui séjourne trop longtemps dans les basses fréquences remplies d’ombres, donc dépourvues de lumière, finit par imploser ou par être dévorée.  Plus tard, le Créateur se servira des ces énergies larvées –purifiées et retournées au Grand Réservoir universel– pour en créer d’autres formes plus viables.

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La Conscience de Gaïa désigne l’unité de tous les êtres vivants et de la Terre, une unité indissoluble.

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Une réponse

  1. Lise patenaude

    Bonjour un immense merci pour tous ces renseignements qui me fond réfléchir et prendre conscience de toujours agir en pensée parole action pour le bien de tous quand faite je vais automatiquement en bénéficier

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